Le développement commercial au services des ventes

Le développement commercial est vital pour une entreprise. Il ne doit jamais être sous-estimée. Les techniques commerciales et les stratégies de vente sont des facteurs clés de succès pour atteindre les objectifs de vente et de croissance d’une entreprise.

Sans un plan clair et précis pour développer les ventes, l’entreprise et ses équipes commerciales risquent de se retrouver à patauger dans un marché compétitif sans avancer.

Conséquences d’un mauvais développement commercial

L’absence de techniques commerciales adéquates et de stratégies de vente peut entraîner différents problèmes tels que :

  1. Ventes insuffisantes. Sans techniques et méthodes pour développer les ventes, une entreprise peut ne pas réaliser les ventes nécessaires pour atteindre ses objectifs financiers.
  2. Mauvaise image de marque. Sans une stratégie commerciale et marketing efficace, une entreprise peut avoir du mal à se faire connaître, à se différencier et à se faire remarquer parmi ses concurrents.
  3. Insatisfaction client. Sans process de vente avec une bonne gestion de la relation client, les clients peuvent ne pas recevoir le support et les réponses qu’ils recherchent. Ce qui peut les inciter à chercher des solutions chez la concurrence.
  4. Baisse de productivité. Sans performance commerciale, et avec de mauvaises techniques de vente, une entreprise ne sera pas compétitive.

Apprendre les techniques commerciales, les stratégies de vente peut apporter de nombreux avantages et bénéfices à une entreprise. Le développement commercial est un élément clé pour le succès d’une entreprise.

Cela permet à une entreprise d’améliorer ses ventes, renforcer son image de marque et améliorer la satisfaction des clients.

Découvrez vite toutes nos ressources : articles, conseils et formations sur le développement commercial, l’efficacité commerciale et la stratégie commerciale !

Que vous soyez vendeurs, commerciaux ou dirigeants, vous allez y trouver votre compte pour gagner de nouveaux clients, vendre plus et les fidéliser…

le setting

Dans l’univers commercial, le setting est une étape de la vente cruciale souvent sous-estimée. Pourtant, maîtriser cette pratique peut transformer vos interactions en véritable levier de conversion. Mais qu’est-ce que le setting exactement ? Pourquoi est-il si important ? Et comment pouvez-vous l’intégrer efficacement dans votre stratégie commerciale ?

Cet article explore en profondeur les techniques de setting, des bases aux exemples concrets, afin de vous fournir toutes les clés pour réussir à vendre facilement. Que vous soyez entrepreneur, commercial ou responsable d’équipe, ces conseils vous permettront de passer au niveau commercial supérieur…

Qu’est-ce que le setting en vente ? Définition


Le setting, terme emprunté de l’anglais, désigne l’art de préparer le terrain avant une interaction commerciale clé. Qu’il s’agisse d’un rendez-vous client, d’un appel téléphonique ou d’une négociation importante il convient de différencier le setting du closing.

Dans la plupart des entreprises aujourd’hui il y a des closers et des setters qui sont différents…

L’objectif du setting est simple : maximiser vos chances de succès en structurant vos échanges et en créant les conditions idéales pour une conversion (= closing).


Un bon setting facilite le closing commercial


Voici les piliers du setting afin de mieux qualifier les prospects, et les engager dans le processus de vente

  • La préparation de la vente : connaître votre client, son secteur, et ses besoins
  • La définition d’objectifs commerciaux clairs : savoir ce que vous voulez obtenir à chaque étape / intéractions
  • La création d’un cadre : établir un climat de confiance et structurer vos échanges

Exemple : Imaginez que vous préparez un rendez-vous avec un prospect stratégique. Grâce à un bon setting, vous aurez déjà anticipé ses objections potentielles et préparé des solutions adaptées pour mieux conclure la vente.


Pourquoi le setting est-il crucial pour réussir ses ventes ?


Beaucoup d’échecs en vente ne sont pas dus à un manque de talent, mais à un manque de préparation commerciale. Le setting vous permet 3 choses :

  • Optimiser vos chances de succès. Une préparation minutieuse améliore votre taux de conversion
  • Gagner en crédibilité. Vous démontrez que vous comprenez les enjeux du prospect / client
  • Réduire les objections. En anticipant les blocages, vous facilitez la prise de décision

Selon HubSpot, 75 % des clients sont plus enclins à travailler avec des vendeurs qui comprennent leurs besoins spécifiques dès la première interaction.


Les techniques de setting essentielles à maîtriser


La recherche d’informations sur le client AVANT le rendez-vous


Avant de contacter un prospect, renseignez-vous sur son activité, ses objectifs et ses éventuels problèmes. Faites vos devoirs et utilisez :

  • LinkedIn pour comprendre son rôle, ses connexions, son contexte, ses challenges actuels…
  • Google pour les actualités de l’entreprise et afin d’identifier des événements marquants ou récents
  • Les CRM pour centraliser et exploiter les données existantes (exemple : noCRM)

La structuration de votre discours commercial


Un bon setting repose sur une structure claire et percutante. Suivez ce schéma :

  1. Une introduction engageante avec un elevator pitch commercial (accrochez dès les premières secondes)
  2. Une exploration des besoins avec un plan de découverte (posez des questions ouvertes)
  3. Une proposition de valeur claire et adaptée avec un bon argumentaire de vente (soyez percutant)

Exemple d’application simplifié en reprenant les 3 étapes de setting :

  1. Bonjour XYZ, ici Victor de TDV, les entreprises font appel à nous doubler leurs ventes sans courir après les clients
  2. Comment faites-vous actuellement pour trouver de nouveaux clients, et développer les ventes sereinement ?
  3. Nos solutions de formation commerciale et d’accompagnement sont prises en charge jusqu’à 100% par divers dispositifs (Opco, CPF…). Quel est le meilleur moment pour en discuter ?

L’art de poser les bonnes questions pour engager la vente


Utilisez des questions ouvertes calibrées pour orienter la discussion et engager le prospect dans le cycle de vente.

Par exemple :

  • Quels sont vos objectifs prioritaires cette année ?
  • Quels obstacles rencontrez-vous actuellement dans votre processus ?
  • Comment avez-vous prévu d’intégrer la nouvelle norme / législation XYZ qui impacte votre marché ?
  • Votre actualité indique que … quel impact cela a-t-il eu sur … ?
  • Etc.

Ces techniques de setting permettent de comprendre les besoins et motivations profondes de vos prospects et clients.


Exemples concrets de setting réussi


Exemple 1 : Un rendez-vous B2B


Un commercial rencontre un directeur marketing pour présenter une solution SaaS. Avant la réunion, il :

  • Consulte le site web de l’entreprise pour analyser ses produits phares (connaissance client)
  • Étudie le profil LinkedIn du directeur pour cerner ses priorités professionnelles (profilage)
  • Prépare des études de cas similaires à son secteur d’activité (preuve sociale)

Lors de la réunion, il personnalise son argumentaire commercial en fonction des besoins spécifiques identifiés. Résultat : une démonstration convaincante et une envie du prospect de recevoir une propale (proposition commerciale).

Après la réunion, il ne reste plus qu’à présenter l’offre commerciale, traiter les objections éventuelles et conclure la vente.


Exemple 2 : Setting lors d’un appel téléphonique


Un téléprospecteur contacte un prospect pour proposer un audit gratuit. Avant l’appel, il :

  • Prépare une phrase d’introduction accrocheuse adaptée aux attentes potentielles du client cible
  • Identifie un problème courant dans le secteur du prospect
  • Prévoit un enchaînement fluide pour engager une discussion naturelle afin de qualifier le prospect

Ce setting commercial garantit un appel structuré et pertinent, en direction du closing de la vente.

Exemple d’application pour un setter qui reprendrait ces étapes commerciale dans son pitch téléphonique ou email :

  • La plupart des sites web cherche à acquérir plus de trafic pour générer des clients
  • Cependant, il est de plus en plus difficile de se rendre visible avec les techniques SEO classiques
  • Que diriez-vous de bénéficier d’un audit gratuit de votre site Internet afin de mettre en évidence les axes de développement stratégique pour booster votre trafic ?

Les erreurs à éviter dans le setting d’une vente


Même les meilleurs commerciaux peuvent commettre des erreurs en matière de setting. Voici les pièges les plus fréquents :

  • Manquer de préparation. Ne pas collecter d’informations sur le prospect / client
  • Être trop rigide. S’en tenir à un script sans s’adapter aux réponses et au profil du prospect
  • Ignorer le timing. Contacter un client à un moment inapproprié
  • Négliger le suivi commercial. Ne pas planifier d’étapes post-interaction

Quels outils utiliser pour un setting efficace ?


Un bon setting repose aussi sur les bons outils commerciaux. Voici quelques solutions pour optimiser votre préparation :

  • CRM : Centralisez les informations clients
  • Outils de recherche : LinkedIn, Google Alerts pour surveiller les actualités
  • Outils d’automatisation : Calendly pour planifier des rendez-vous
  • Tableaux de bord : Analysez vos performances de setting et autres indivateurs de vente pour vous améliorer

Quels sont les bénéfices à long terme d’un bon setting ?


Investir du temps dans le setting a des retombées positives sur :

La plupart des entreprises restent focalisées sur le closing commercial. Mais comme vous l’avez compris tout se joue dans les étapes de la vente précédentes. Et le setting commercial est la première d’entre elle …


FAQ : Les questions fréquentes sur le setting et le closing

Conclusion


Le setting n’est pas une étape optionnelle dans le processus de vente : c’est la clé de voûte de toute interaction réussie. En maîtrisant les techniques de setting et en évitant les erreurs courantes, vous pourrez non seulement augmenter vos conversions en closing, mais aussi renforcer la satisfaction et la fidélité de vos clients. Adoptez dès aujourd’hui une stratégie de setting solide et transformez vos interactions commerciales en succès durables.

Envie d’améliorer vos techniques de setting pour faire passer vos ventes au niveau supérieur ? Découvrez notre formation Réussir sa Prospection Commerciale :




meilleur crm

Quel est le meilleur CRM pour une gestion de la relation client (GRC) optimale ? Quels sont les critères d’un bon CRM pour piloter efficacement l’activité commerciale ? Réponses dans cet article …

Pourquoi un logiciel CRM pour gérer la relation client ?


Le quotidien de l’activité commerciale est devenu tellement complexe aujourd’hui. Il est vital de pouvoir se reposer sur des outils et systèmes facilitateurs.

C’est à dire des systèmes qui ont fait leurs preuves de préférence. Qui permettent justement d’avoir accès en deux clics à toute l’information commerciale sur le portefeuille de clients.

Que ce soit des clients existants ou sur des prospects qui sont en cours dans le pipeline des ventes. Il faut pouvoir également accéder et renseigner facilement de l’information.

Les bons logiciels CRM permettent de pouvoir lire les infos stratégiques facilement, et surtout de pouvoir en renseigner en quelques clics afin de faire évoluer sa base de connaissances de ses prospects / clients.

Cela tout en permettant d’avoir une visibilité et des perspectives de chiffre d’affaires que ce soit à la fin du mois, au trimestre, semestre, ou à la fin de l’année.

C’est ainsi que peut intervenir le pilotage conscient des objectifs commerciaux qui ont été définis.

Voilà quel est l’intérêt, et pourquoi il est vital, de mettre en place son CRM, un logiciel de gestion de la relation client, qui soit pratico-pratique et utile au quotidien.


1. Éviter les CRM logiciels usines à gaz (trop d’info tue l’info)


1er conseil sur les critères de choix qu’il est important de prendre en considération lors du choix d’un CRM : il faut éviter les usines à gaz.

Evitez les logiciels de gestion relation client qui font tout, qui veulent trop en faire et qui deviennent très compliqués dans l’utilisation commerciale du quotidien. Pourquoi ?

Parce qu’il y a des onglets partout. Il y a des informations, des sous-rubriques, des endroits complexes à repérer… bref, il faut une formation d’une à deux semaines pour être efficace.

Et bien souvent, pour le faire vivre au quotidien, il faut y passer des heures et des heures. Donc ça, effectivement, c’est bien sur le papier. C’est bien en démonstration quand on est avec le commercial de l’entreprise qui nous le propose…

Mais après, dans la vie commerciale de tous les jours, cela s’avère contre-productif parce que les équipes auront peine à l’utiliser. Elles seront réfractaires à faire vivre le CRM pour prendre la bonne information au bon moment, ou à renseigner l’information des reportings commerciaux comme il se doit.

Or, pour avoir de la productivité commerciale, pour avoir une organisation commerciale efficace il faut un meilleur CRM.

Si c’est trop complexe, cela démotive les commerciaux à utiliser l’outil GRC.


Les caractéristiques du meilleur logiciel CRM : simple et efficace


Au final, pour éviter d’être contre-productif le meilleur logiciel CRM devrait se concentrer sur :

  • accéder et renseigner facilement de l’information en quelques clics,
  • avoir des règles et des procédures automatiques pour fluidifier et accélérer le cycle de vente,
  • recevoir des alertes et des rappels automatiques sur les prochaines actions clés,
  • avoir accés à des indicateurs commerciaux et des rapports clés,
  • de pouvoir l’utiliser en situation de mobilité sur un smartphone même hors ligne…

C’est tout ça que doit venir combler un bon logiciel CRM.

Malheureusement, force est de constater qu’il y a beaucoup plus d’usines à gaz sur le marché que de logiciels CRM pratico-pratiques au service de la productivité commerciale.


2. Avoir un CRM qui prend 5 min à remplir pour avoir des infos à jour


Deuxième conseil, et je pense que vous l’avez déjà compris, le meilleur CRM doit pouvoir se remplir en 5 à 10 minutes, être rapide et intuitif dans son ergonomie.

C’est vital pour préparer les rendez-vous client en piochant les infos clés dans le fichier de prospection client du logiciel CRM. C’est aussi vital pour les rappels, et les règles automatiques… Mais surtout, ça permet de se maintenir systématiquement à jour, et de ne rien oublier.

Et pour ne rien oublier, il faut pouvoir renseigner les données clés d’un suivi client en moins de 5 minutes.

  • Renseigner les prochaines actions commerciales qui sont prévues dans le pipeline des ventes,
  • Planifier les rappels automatiques que l’on souhaite avoir pour réduire l’effort cérébral au quotidien
  • Ajouter les dernières news ou une pièce jointe reçue (devis signé, bon de commande, contrat, etc.)

Et pour faire ça, bien évidemment, il faut un outil CRM qui soit simple. Parce que sinon, on ne le fera pas à l’instant T. On va attendre la fin de journée… puis on va perdre une partie de l’info en cours de route.


La procrastination sape l’efficacité commerciale


Force est de constater, au travers l’analyse de bon nombre d’entreprises de différentes tailles, avec des forces de vente assez conséquente : les outils ne vivent pas dans le temps parce que les forces de vente n’arrivent pas à les utiliser fluidement. Ils n’arrivent pas à intercaler des actions simples qui vont leur faire gagner du temps par la suite.

En général, ce n’est pas une mauvaise volonté des équipes commerciales.

C’est juste que techniquement, on rentre encore une fois dans des choses et qui sont trop complexe. Donc, le deuxième critère des meilleurs CRM, c’est vraiment de vérifier que l’outil est rapide à utiliser au quotidien !


Le meilleur CRM commercial est un logiciel centré sur l’essentiel


Dans les outils d’aide à la vente recommandés pour faciliter l’organisation commerciale et gérer les pipelines des ventes, vous avez la possibilité de :

  • Créer un fichier prospect ou une fiche client en un clic et pouvoir renseigner tout de suite les infos clés (coordonnées, valeur du deal, probabilité de conclusion, deadline, etc.)
  • D’avoir accès à tout l’historique client en faisant défiler chronologiquement comme sur un fil Facebook ou Linkedin (par dates et actions menées : appels passés, emails envoyés, etc.)
  • Synchroniser les emails reçus de la part des clients ou les échanges WhatsApp automatiquement dans la fiche client correspondante.

Ainsi, vous pouvez renseigner sur votre smartphone à l’issue d’un rendez-vous un copier-coller de vos notes, insérer des photos, un enregistrement audio, des captures d’écran… et l’implémenter dans la fiche client.

Également, il peut être important de pouvoir synchroniser toutes les informations et attribuer des rôles si plusieurs collaborateurs travaillent le même compte client.

Les collaborateurs peuvent ainsi travailler en simultanée et alimenter le CRM pour rendre les infos accessibles sans avoir à ouvrir 50 onglets par la suite.

La centralisation de l’information commerciale est un game changer en termes de productivité. Tout le monde peut accéder et mettre à jour la fiche client sans aucune excuse. Et c’est ce que l’on veut pour que les équipes commerciales soient performantes !


3. Le meilleur logiciel CRM est orienté sur l’action commerciale


Le troisième critère fondamental, c’est un CRM qui est visuel et qui est axé sur l’activité commerciale.

Comme expliqué dans bon nombre d’articles et vidéos, on ne doit pas investir son temps de la même manière avec toutes les affaires potentielles.

Pour cela, on doit avoir visuellement accès à la substantifique moelle de l’activité commerciale. C’est à dire :

  • A quel niveau du pipeline des ventes on se situe (prise de contact, qualification, négociations, closing…) ?
  • Quel est le potentiel business de l’affaire en question (1k€, 10k€, 100k€, 1M€…) ?
  • Quelle est la probabilité de conclure la vente (scoring du deal) ?
  • La prochaine action commerciale planifiée est-elle la bonne ?

La visualisation sur l’avancée de chaque deal


Voilà pourquoi les meilleurs CRM commerciaux offrent un tableau de bord visuel sur l’avancée du cycle de vente avec les différentes étapes.

En voyant clairement où se situe le prospect, il est plus facile d’apporter l’action commerciale adéquate pour avancer (et conclure) le deal.


Le potentiel business d’un deal


Deuxième item hyper important, c’est d’avoir la visibilité sur la valeur de l’affaire. Pouvoir quantifier la valeur d’une affaire avec un prospect / client ça permet tout simplement de ne pas gaspiller son temps et ses ressources pour des affaires non stratégiques. On ne gère pas pareil les affaires qui valent plusieurs centaines de milliers d’euros et celles qui valent quelques milliers d’euros, tout simplement.


La probabilité de conclure la vente (et son timing)


Le scoring de l’affaire permet d’avoir un indicateur de probabilité de conclusion, et une date potentielle de closing commercial de l’affaire.

Ce qui veut dire que très rapidement, quand on arrive à croiser où on en est dans le cycle de vente, quelle est la valeur potentielle de l’affaire et quelle est la probabilité de conclure, mécaniquement, en croisant ces trois données, on sait chaque jour, où est-ce qu’il est judicieux d’investir notre temps en priorité. C’est le B.A.BA d’une bonne gestion commerciale…


La prochaine action prévue dans le CRM


Les meilleurs CRM permettent de voir directement dans le tableau de bord commercial s’il y a une action planifiée, et quelle est cette action ?

Ainsi, on peut rapidement déterminer si on est en retard sur certaines affaires, si tout est à jour dans l’activité commerciale, et si les actions sont pertinentes.

Par exemple, une action du type « Relancer si pas de nouvelles sur le devis » nécessitera de s’interroger sur ce que l’on pourrait faire pour apporter de la valeur ajoutée à son client pour faciliter sa prise de décision.

Exemple d’action à planifier dans le CRM :

  • Envoyer une étude de cas
  • Calculer la rentabilité / l’amortissement de l’investissement proposé
  • Mettre en relation avec un ou des clients ambassadeurs (du même secteur)
  • Etc.

En sachant où on en est dans le cycle de vente, combien l’affaire représente, quelle est la probabilité de conclure, et quelle est la prochaine action planifiée, il est plus facile de prioriser et d’être rentable sur ses actions commerciales du quotidien !


Le meilleur CRM permet de prédire les ventes futures


Cerise sur le gâteau, le meilleur logiciel CRM est capable, via ses algorithmes et du machine learning, de vous communiquer des projections réalistes sur les ventes à venir par rapport aux actions commerciales planifiées.

Car au-delà des rapports d’activité pour analyser les performances commerciales passées, ce qui nous intéresse c’est le futur ! C’est là que l’on va vivre…

Ces projections futures pourront ainsi être confrontées aux objectifs commerciaux à atteindre.

Ainsi, le pilotage commercial n’en sera que facilité. Car, pour réussir à générer tel chiffre d’affaires, nous saurons si le nombre d’actions commerciales planifiées dans le CRM actuellement est suffisant ou non.

C’est le meilleur moyen d’anticiper. Et charge à vous de recalibrer la planification de l’activité commerciale en modifiant ou en rajoutant des actions stratégiques.


Vidéo : Le meilleur logiciel CRM pour gérer la relation client





NB : depuis la publication de cette vidéo, nous avons changé de logiciel CRM commercial pour noCRM. Bien que le logiciel crm recommandé à l’époque dans la vidéo (PipeDrive) soit une bonne alternative, nous considérons que noCRM est un meilleur CRM aujourd’hui. C’est d’ailleurs devenu l’un de nos partenaires de confiance, avec lequel nous réalisons des webinars et contenus régulièrement :

Découvrez par exemple cet article sur le pipeline commercial : 4 erreurs + 5 étapes clés pour vendre plus !


Conclusion sur le choix du meilleur CRM commercial


meilleur crm

Voilà selon nous les critères essentiels dans le choix du meilleur CRM commercial pour votre activité. Cela évite les erreurs de casting avec des logiciels de gestion de la relation client inadaptés. Et cela permet d’être productif, au service de la performance économique de l’entreprise.

Tout le reste est à considérer à la marge. C’est en fonction de vos besoins spécifiques liés à la nature de votre activité. Mais cela ne doit pas prendre le pas sur le cœur de l’efficacité commerciale

Vous n’avez pas encore de logiciel CRM ? Ou vous souhaitez simplement tester pour comparer ? Voici le meilleur logiciel CRM commercial actuellement selon nos critères :




Vous êtes entrepreneur, commercial, agent co, responsable terrain, directeur des ventes ? Ou vous exercez un autre des métiers de la branche commerciale ? Vous êtes sans doute un peu (beaucoup ?) nomade. Et êtes parfois (souvent ?) amené à faire des déplacements professionnels sur des durées allant d’une journée à plusieurs jours voire plusieurs semaines. Mais avez-vous toutes les clés en main pour effectuer ces voyages serein, facilement et sans prise de tête aux meilleurs tarifs ?

Même avec l’avènement du télétravail la plupart des salariés d’une entreprise sont amenés à faire des déplacements pro. Y compris durant les périodes de confinement et couvre feu. Puisqu’il y avait bien une attestation de déplacement professionnel comme motif légitime de sortie…

Or, il n’est pas toujours aisé de trouver hôtel à son pied lorsqu’on est amené à bouger régulièrement, et qu’on n’a pas ses habitudes. Surtout lorsque la politique voyage de votre entreprise n’est pas très claire.


Les chiffres de la réservation pour déplacements professionnels


Le phénomène des voyages d’affaires au sein d’une entreprise est assez évocateur. Surtout en ce qui concerne les métiers de la vente, souvent sur la route pour soigner leurs clients ou dans une démarche de prospection commerciale. Nous avons voulu revenir sur quelques données chiffrées.

Aujourd’hui, près de 3,8 millions de personnes effectuent des déplacements professionnels en France1. Certaines entreprises mettent à leur disposition des outils de réservation pour organiser au mieux leurs voyages et établissent une politique voyage d’entreprise spécifique régissant les conditions de déplacement et de remboursement de frais.

D’autres mettent seulement en place une politique voyage d’entreprise et laissent à leurs salariés le choix et la liberté des réservations. D’autres encore ne fixent rien de spécifique et se cantonnent au cadre légal en vigueur fixé par l’URSSAF.

16% des entreprises ont des contrats avec des agences de voyages professionnels (Source : étude EPSA « Marché du voyage d’affaire en France » & DGCIS chiffres 2013). Et moins de la moitié utilisent les outils corporate mis à leur disposition, et préfèrent passer eux-mêmes leurs réservations lors d’un déplacement pro.

Au total, c’est près d’un voyageur d’affaires sur 2 qui organisent leurs déplacements professionnels eux-mêmes.


La politique voyage d’entreprise, qu’est-ce que c’est ?


La PVE se définit comme un document régissant les conditions de voyages dès lors que l’on est rattaché à cette entreprise. On y trouve, en outre, les bonnes pratiques à respecter (délais de réservation, procédures d’avertissement aux supérieurs, etc). Mais également les accords passés avec des agences de voyages professionnels, les conditions de réservation des nuits d’hôtels, les hébergements à respecter, ou encore les conditions tarifaires permettant aux salariés de se faire rembourser s’ils doivent avancer les frais.

Certaines entreprises choisissent d’adhérer à des contrats corporate de voyage leur permettant de mettre à disposition des employés des outils de réservation interne spécifiques. Si c’est le cas, ces outils sont mentionnés dans la politique voyage d’entreprise et il y est stipulé s’il est obligatoire ou non de les utiliser.

(Pour aller plus loin, le magazine Chef d’entreprise explique en détail la politique voyage d’entreprise.)


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pilotage commercial

Comment piloter l’activité commerciale et suivre le développement des ventes ? Quels sont les secrets d’un bon pilotage commercial ? Quel CRM utiliser pour gérer son pipeline des ventes ? C’est ce que nous allons voir dans cet article au travers 3 conseils concrets pour piloter la performance commerciale …

Pourquoi mettre en place un pilotage commercial ?


Rentrons dans le vif du sujet. Pourquoi est-il important (et même capital) de piloter l’activité commerciale ? C’est tout simplement pour ne pas naviguer à vue. Comme le disait Saint Exupéry : « un objectif sans plan s’appelle un vœu« .

Imagineriez-vous partir faire une traversée en mer sans boussole, sans GPS et sans radio ?

Et bien en entreprise, c’est pareil ! Il faut un GPS. C’est tout l’objectif de la planification stratégique et du pilotage commercial

Je sais que pour certains ça peut paraitre laborieux et fastidieux de planifier, suivre et mesurer toutes les actions commerciales. Mais voilà, inspirez-vous de toutes les entreprises qui performent. Il n’y a pas de secret, il suffit de recopier ce qui marche déjà.

Les multinationales ont toutes un plan d’action commercial clair et précis. Elles font du pilotage commercial quotidien, avec un tableau de bord commercial avec des indicateurs commerciaux pour chaque activité stratégique…

Donc, peu importe la taille de votre structure. Même si vous êtes seul, il est vivement conseillé d’avoir un pilotage commercial cohérent pour ne pas vous éparpiller au quotidien avec des actions qui au final ne vous rapprochent pas de vos objectifs commerciaux.


Comment piloter l’activité commerciale en 3 étapes


Aujourd’hui, si vous n’en êtes pas encore convaincu, la meilleure chose que vous avez à faire de votre temps, c’est de vous concentrer sur une action commerciale qui vous permet de réaliser des ventes !

Avoir un beau bureau, une belle carte de visite… c’est bien jolie. Mais si ça n’est pas une action commerciale qui vous rapproche d’une vente, vous vous écartez du chemin de votre développement commercial. Et donc, du développement des ventes !

Voyons donc 3 conseils concrets pour piloter l’activité commerciale efficacement en direction de vos objectifs commerciaux …


pilotage commercial

1. Définir les indicateurs de pilotage commercial


La première des choses, c’est d’avoir un système de mesure de l’activité commerciale.

J’y reviens souvent : si vous n’avez pas encore de logiciel CRM / GRC, utilisez à minima un fichier Excel. C’est un peu archaïque, mais ça fonctionne au démarrage. Il faudra simplement établir des indicateurs de mesures qui vous rapprochent de votre objectif commerciaux.

Si vous avez un objectif de CA annuel, c’est déjà pas mal. Et si vous n’en avez pas c’est plus grave, vous devez en fixer un.

Mais une fois que vous avez fixé votre objectif de chiffre d’affaires annuel, il convient de décortiquer ça en volume d’actions commerciales à réaliser.

Pour savoir mesurer sa performance commerciale actuelle (si vous êtes déjà en activité) il faut simplement évaluer combien d’actions commerciales vous menez. Et de corréler tout ça avec les résultats obtenus.


Exemple d’indicateurs commerciaux de pilotage


  • nombre de coups de téléphone passés
  • volume d’emails envoyés
  • nombre de rencontres clients effectuées
  • combien il vous faut d’échanges avec les clients pour arriver à conclure une vente

Vous trouverez d’autres KPI pour la vente ici >>

Ça va vous donner des taux de transformation à différents stades du pipeline des ventes. Vous saurez ainsi que pour réaliser une vente, vous avez X volume d’actions commerciales à réaliser.

Par exemple, pour obtenir un client (je prends des chiffres complètement au hasard) vous aurez besoin de :

  • contacter 100 personnes par email
  • qui vont générer 60 coups de téléphones
  • aboutissants à 30 propositions commerciales
  • qui vont générer 10 négociations
  • et qui vont générer 1 client au final !

Ce sont des statistiques très faibles, mais peu importe, c’est pour l’exemple.


Le pilotage commercial est une simple équation mathématique


Vous savez ainsi que pour un client, il vous faut 100 contacts, 60 coups de téléphone, 30 propositions commerciales, etc.

En fonction de ça, vous savez que si vous voulez atteindre votre objectif commercial, tout simplement par la loi des nombres, il vous faut contacter X fois 100 clients, émettre X fois des propositions commerciales

Et cela vous permet d’avoir une vision réaliste de ce que vous avez à mener en termes d’actions commerciales pour atteindre avec certitude les objectifs que vous vous êtes fixés.

Cela devient une équation mathématique simple à résoudre !


2. Définir un objectif sur chaque indicateur de pilotage commercial


Le 2e levier à bien comprendre pour piloter l’activité commerciale comme les pros, c’est qu’il faut une hypothèse haute et une hypothèse basse.

Si vous êtes sur une performance commerciale stable, très bien. Après dans la vie commerciale, en règle générale, ce n’est pas souvent le cas. Donc, il est judicieux d’avoir une hypothèse haute et une hypothèse basse pour pouvoir piloter au quotidien ce volume d’action commerciale qui a été défini au point numéro 1.

Ça veut dire que lorsque vous avez votre objectif commercial annuel, vous allez définir un objectif trimestriel, un objectif mensuel, un objectif hebdomadaire, et un objectif quotidien.

Et au quotidien, à la fin de la journée, vous savez si l’hypothèse haute a été atteinte. Ou si vous êtes plutôt dans l’hypothèse basse.


Comment piloter l’activité commerciale et rectifier le tir ?


En procédant ainsi, vous avez la possibilité de recalibrer du jour au lendemain les objectifs afin de compenser les actions commerciales qui n’ont pas été émises.

Cela vous permet de piloter au quotidien votre efficacité commerciale d’une main de maître.

Plutôt que de vous rendre compte à la fin du trimestre (ou à la fin de l’année) que vous n’êtes pas dans les clous. Vous avez ainsi toutes les cartes en main pour adapter tout de suite le nombre d’actions commerciales nécessaires pour rester en phase avec les objectifs business à atteindre.

Car au final, on peut s’écarter très vite du résultat que l’on souhaite atteindre au quotidien si on ne prend pas le temps de rééquilibrer ses actions en fonction du pilotage commercial.


Exemple d’application commerciale


Imaginez par exemple :

  • si à la fin de la journée vous vous rendez compte que vous deviez passer 10 appels téléphoniques en cold calling et que vous en avez passé seulement 8. Alors, le lendemain vous allez en passer 12. C’est aussi simple que ça !
  • Si vous deviez émettre 3 propositions commerciales à des clients potentiels, et que vous n’en avez émise qu’une, alors cherchez à en émettre 5 dés demain. Etc.

Quand vous recalibrez quotidiennement / hebdomadairement le volume d’actions commerciales en lien avec les objectifs commerciaux que vous souhaitez atteindre, il est quasi impossible d’être surpris par les résultats obtenus à la fin de l’année.


C’est la règle de base dans le pilotage commercial


Pour rester dans les clous : ne soyez pas focalisé sur le résultat. Mais soyez focalisé sur les objectifs de moyens : sur le volume d’actions commerciales à réaliser.

Mesurez et pilotez ça au quotidien pour rester dans vos objectifs commerciaux.

Idem, à la fin de la semaine, faites un bilan. Et si le pilotage au quotidien ne vous a pas permis d’être dans les clous des objectifs de moyens hebdomadaires et des moyens mensuels, et bien vous recalibrez… tout simplement.

Vous recalibrez ainsi à chaque période de temps nécessaire pour pouvoir être dans la performance commerciale attendue à la fin de l’année.


3. Piloter l’activité commerciale avec un CRM


Le pilotage commercial sera beaucoup plus facile si vous utilisez un logiciel CRM. Car il vous permet d’avoir une vision au quotidien sur ces statistiques de ventes, les différents taux de conversion, etc.

Ici, je vous recommande 2 outils d’aide à la vente qui sont simples, efficaces et très accessibles…


Pipedrive


D’ailleurs vous pouvez tester gratuitement 30 jours avec notre lien partenaire : Pipedrive.

Pipedrive est un CRM réellement optimisé pour les équipes commerciales qui vous permet à chaque étape du pipeline des ventes, que vous soyez en prise de contact, en rendez-vous de qualification, en rendez-vous de proposition commerciale, en phase de négociation ou en closing… de savoir précisément où vous en êtes dans le volume d’activité réalisé / à réaliser.

Et vous avez accès à des rapports commerciaux en un clic, qui vous permettent de véritablement savoir au quotidien comment piloter l’action commerciale (et de recalibrer si besoin) afin de mettre en musique le point n°2. Tout ceci de manière très visuelle.

pilotage commercial

Et vous recevez également chaque matin par email un rappel des actions commerciales de la journée.


NoCRM


Vous avez également son alternative made in France avec 30 jours gratuit sans carte : noCRM.io, un logiciel 100% prospection commerciale qui va plus loin qu’un CRM !

Pensé pour les équipes de vente, noCRM permet de gagner plus de deals … plus vite ! C’est l’outil CRM idéal pour les TPE/PME qui cherchent un logiciel simple et efficace pour organiser leur prospection commerciale. C’est d’ailleurs le CRM que nous utilisons chez Technique de Vente Edition.

Grâce à ses différentes éditions il convient au 1er commercial comme à des équipes de vente de 100 personnes.

noCRM est noté 4.9 par les commerciaux sur Trustpilot. Car il est simple à prendre en main et efficace pour transformer vos prospects en clients :

  • Création rapide d’opportunités
  • Séparation des prospects froids et des leads chauds
  • Toujours une prochaine action sur chaque lead
  • Représentation visuelle du pipeline commercial
  • Des scripts d’appels pour bien qualifier les prospects
  • Historique des échanges avec les prospects
  • Une équipe commerciale qui collabore mieux
  • Pilotage des performances avec des rapports clés
  • Application mobile et intégration avec vos applis tierces
  • Respect du RGPD et haut niveau de sécurité

Une vue directe sur les actions commerciales stratégiques


Donc, si vous avez un suivi commercial digne de ce nom, si vous prenez le temps chaque soir de recalibrer les actions commerciales qui ont été émises et celles que vous devez compenser le lendemain, alors vous avez chaque matin dans votre boîte email une vision claire et précise de ce que vous devez faire en priorité.

C’est une vision directe sur les actions commerciales qui sont stratégiques pour atteindre vos objectifs business. Et ça, croyez-moi, ça fait gagner un temps considérable en termes de clarté pour être sûr de mener les bonnes actions au quotidien.

Parce qu’il faut avouer que l’on a tous tendance à se disperser au quotidien.


Piloter l’activité commerciale en évitant la dispersion


Plutôt que de passer des coups de téléphone stratégiques, ou plutôt que d’envoyer une proposition commerciale suite à un appel important, certains vont envoyer des emails qui ne servent à rien, ou alors regarder les réseaux sociaux…

On est tous sujet à ce type de distractions improductives à un moment ou un autre.

Donc, utilisez des outils (et des systèmes) qui vous permettent de rester concentré chaque jour sur les priorités business. C’est à dire sur les actions commerciales stratégiques qui vont vous permettre d’atteindre les objectifs fixés.

C’est la seule et unique manière d’atteindre la croissance que vous souhaitez pour votre entreprise !

Ces trois conseils sont simples et directement applicables dans le pilotage commercial de votre activité. Cliquez ci-dessous pour tester NoCRM gratuitement durant 30 jours (notre préférence). Vous allez voir, l’essayer c’est l’adopter.



Synthèse vidéo : comment piloter l’action commerciale ?





pipeline de vente commercial

Qu’est ce que le pipeline de vente ? Comment avoir un pipeline commercial en bonne santé ? Quelles sont les erreurs courantes à éviter dans le suivi commercial des étapes de la vente ? Voyons tout cela en détail…

Comprenez tout d’abord qu’une gestion du pipe commercial mal optimisée peut transformer une opportunité prometteuse en une occasion manquée. C’est pourquoi une bonne gestion du pipeline de vente est essentielle pour maximiser les conversions et maintenir une efficacité commerciale optimale.

Avant de voir en détail les stratégies et outils pour gérer efficacement le pipeline de vente commercial, ainsi que les erreurs fréquentes à éviter, commençons par la base…

Le pipeline de vente c’est quoi ?


Le pipeline de vente c’est tout simplement une représentation visuelle des étapes de vente que traversent vos prospects. Ces étapes vont du ciblage, la première prise de contact, jusqu’au closing commercial de la vente et parfois le SAV et la fidélisation client

Une gestion efficace de son pipe commercial permet d’éviter les fuites dans le processus de vente, d’optimiser son temps et ses ressources afin de générer plus de business.

Gérer son pipeline de vente quotidiennement permet d’identifier rapidement les opportunités nécessitant une attention immédiate. Cela permet également de suivre les actions commerciales précédentes et de planifier les prochaines étapes. Cette démarche permet de maintenir une dynamique de vente constante en évitant les retards ou les oublis qui pourraient saboter une vente…


Les 4 erreurs à éviter dans un pipeline commercial des ventes


Même avec des outils de CRMs puissants, certaines erreurs peuvent nuire à votre processus de vente. Voici donc quatre des pièges les plus courants et comment les éviter.

Ces erreurs sont extraites d’un webinaire coanimé avec Grégoire Murgue, Head of Growth chez noCRM. Les prendre en compte vous aidera à améliorer la gestion de votre pipe commercial et vos taux de conversion marketing.


pipeline de vente commercial

1. Un pipeline de vente trop long et confus


Avoir un pipeline de vente trop long va causer des problèmes de clarté et de confusion. Pour y remédier, il suffit de créer des pipelines de vente distincts.

On peut créer un pipeline de vente pour chaque équipe, produit ou service. Ou par exemple, un pipeline pour la prospection commerciale, un pipeline pour la transformation, un pipeline pour la fidélisation et le développement des comptes clients, etc.

Pour gérer les tâches récurrentes, cela peut se faire à part grâce à des processus après-vente distincts par exemple.


2. Définir des statuts de clôture comme étapes du pipeline commercial


L’ajout d’étapes de vente basées sur les statuts de clôture comme « Gagné » ou « Perdu » est improductif ! Cela complexifie inutilement le pipeline de vente commercial en entraînant une perte de visibilité.

Pour rectifier cela, centralisez les leads, qu’ils soient gagnés ou perdus, dans une unique étape de closing. Puis éliminez ces étapes commerciales redondantes. Un outil comme noCRM permet de définir les statuts de chaque opportunité business sans avoir besoin de créer une étape commerciale supplémentaire.


3. Définir des activités comme étapes du pipe commercial


Les activités commerciales comme les prises de rendez-vous, l’envoi d’email… ne sont pas des étapes du pipeline de vente. Encore une fois, ne rajoutez pas de la complexité susceptible de masquer la progression réelle des affaires commerciales en cours.

Simplifiez le processus de vente en regroupant les activités similaires sous une seule étape de vente. Puis identifiez les moments cruciaux du processus de vente pour vous concentrer sur ces étapes et maintenir de la clarté.


4. Intégrer la recherche / la qualification de leads dans le pipeline de vente


En termes de performance commerciale, tous les leads ne se valent pas ! Une qualification efficace permet de se concentrer sur les prospects commerciaux ayants le plus fort potentiel de conversion marketing.

Cela inclut la vérification des besoins, du budget et la capacité de décision du prospect.

Mais ces étapes de vente sont un processus à part entière. Elles doivent être réalisées en dehors du pipeline commercial de vente. Sinon vous risquez de vous retrouver avec de trop nombreux prospects qui viennent polluer votre pipe commercial, et qui n’aboutiront jamais à une vente.

Vous pouvez plutôt réaliser ce processus à part, dans un fichier de prospection dédié par exemple.


Pourquoi utiliser noCRM pour optimiser son pipeline des ventes ?


Contrairement aux CRM traditionnels, noCRM est conçu pour simplifier la gestion des prospects et se concentrer sur la vente proprement dite. Il est utilisé par plus de 14 000 commerciaux dans plus de 80 pays depuis plus de 10 ans.

Voici pourquoi noCRM se démarque dans la gestion du pipeline de vente :

1. Simplicité et Intuitivité : noCRM est conçu pour être facile à utiliser. Avec une interface intuitive qui ne nécessite pas de longues formations pour être maîtrisée. Cela permet à vos équipes de se concentrer sur la vente plutôt que sur l’apprentissage d’un outil complexe.

2. Personnalisation : Chaque entreprise est unique. Et noCRM permet une personnalisation poussée pour s’adapter à vos besoins spécifiques. Vous pouvez configurer des étapes personnalisées dans votre pipeline commercial. Ce qui vous permet de suivre les prospects selon un processus qui reflète votre stratégie de vente.

3. Intégrations Puissantes : noCRM s’intègre avec de nombreuses autres applications commerciales. Ce qui permet de centraliser vos données et de fluidifier les opérations. Que ce soit avec des outils de marketing, des plateformes de messagerie ou des logiciels de gestion de projet, noCRM vous permet de tout gérer à partir d’un seul endroit.



5 étapes clés pour optimiser son pipeline de vente avec noCRM


L’optimisation du pipeline commercial et votre processus de vente avec noCRM implique plusieurs étapes essentielles. Voyons lesquelles :


1. L’identification des suspects / prospects


Utilisez noCRM pour capturer et suivre tous vos leads provenant de diverses sources. Plus vous avez d’informations sur un prospect, plus il sera facile de le convertir en client. Avec noCRM, vous avez un tableau de bord centralisé pour gérer tous vos prospects commerciaux et marketing.


2. La qualification des leads


Analysez les prospects pour déterminer ceux qui ont le plus de potentiel commercial. noCRM vous aide à prioriser vos efforts commerciaux en vous concentrant sur les leads les plus prometteurs. Grâce à des fonctionnalités telles que la mise en avant de leads importants et les tags personnalisés, vous pouvez identifier rapidement les prospects les plus qualifiés.


3. Le nurturing des leads


Maintenez l’engagement des prospects grâce à un suivi commercial personnalisé. Envoyez des emails, planifiez des appels et suivez les interactions directement dans noCRM. Avec des rappels automatisés et des modèles d’email prêts à l’emploi, vous pouvez rester en contact avec vos prospects de manière efficace et régulière. C’est un véritable facteur clé de succès.


4. Une véritable proposition de valeur


Préparez des propositions de vente personnalisées qui répondent aux besoins spécifiques de chaque prospect et clients. Ne pas être générique augmente considérablement vos chances de succès dans la vente…


5. Closing de la vente


Lorsque le moment est venu de finaliser la vente, noCRM vous aide à suivre les étapes finales jusqu’à la vente définitive / signature du contrat. Grâce à des fonctionnalités telles que le suivi des activités et les intégrations pour la gestion des documents, vous pouvez faciliter le processus de clôture et conclure efficacement les transactions.

Optimiser le pipeline de vente commercial est vital pour augmenter les conversions et atteindre vos objectifs commerciaux. noCRM est un outil puissant et intuitif permettant de gérer chaque étape du processus de vente de manière fluide et efficace. En suivant les meilleures pratiques et en évitant les erreurs courantes, vous allez transformer vos prospects en clients satisfaits et fidèles. C’est le chemin vers plus de performance commerciale !



devenir entrepreneur

Beaucoup rêvent de devenir entrepreneurs, mais rares sont ceux qui parviennent à le concrétiser (avec succès). Il n’est pas donné à qui le souhaite d’être un entrepreneur accompli. Cela implique de la volonté et des sacrifices, tant en termes de temps que d’argent. Disposer d’un certain nombre de qualités essentielles est nécessaire pour espérer y arriver. Il y a 9 qualités d’un entrepreneur à succès selon nous : voyons lesquelles…

Quelles sont les qualités pour devenir entrepreneur ?


1. La conviction et la détermination de réussir son entreprise


Pour devenir un entrepreneur à succès, vous devez être convaincu de pouvoir l’être. Aborder un tel tournant dans votre vie sans avoir la conviction de réussir débouchera à coup sûr sur un échec retentissant.

De même, il est essentiel d’être déterminé dans votre projet d’entreprise pour traverser les échecs et revers. Plus précisément, dès lors que vous lancez votre activité, vous devez savoir jusqu’où vous êtes prêts à aller et comment y parvenir (avoir un plan).

Toutefois, ne confondez pas conviction et détermination avec obstination. Être convaincu et déterminé signifie avoir un objectif précis et tout faire pour l’atteindre. Être obstiné revient, en revanche, à répéter les mêmes erreurs en espérant réussir un jour votre entreprise malgré des signaux de marché négatifs.

Démarrer un projet entrepreneurial, sortir du lot sur marché mature et saturé, ce sera forcément plus difficile que de pénétrer un nouveau segment de marché…


2. Devenir entrepreneur nécessite une forte capacité de travail et de concentration


La plupart des personnes qui rêvent d’être entrepreneurs espèrent mener la belle vie et ne plus avoir à travailler. Si vous en faites partie, mieux vaut rester salarié et faire les 35 heures par semaine.

Pour cause, être entrepreneur est aux antipodes de ce cliché. Surtout au départ !

Pour le devenir, il faudra commencer par travailler au-delà des 35 heures, bien plus sans toucher la moindre heure supplémentaire. Aussi, avoir une forte capacité de travail et être en excellente santé sont des plus non négligeable au vu de l’investissement personnel requis.

Pour lancer et développer votre entreprise, il est impératif de lui consacrer beaucoup d’heures de travail. Tout du moins au démarrage, puis ensuite, Il est indispensable d’apprendre à maximiser votre temps et à déléguer pour croître sans exploser en plein vol.


3. Un entrepreneur à succès est organisé et discipliné


Le choix de devenir entrepreneur est en général associé à la recherche de liberté : ne plus obéir aux ordres de quelqu’un d’autre et faire ce qui vous passionne. Cependant, cette liberté ne doit pas vous détourner de votre objectif.

Afin d’être un bon entrepreneur et embrasser le succès, il est vital d’être organisé et discipliné. Cela signifie planifier vos différentes tâches pour la semaine et respecter cette planification. Les entorses arriveront bien sûr, mais cela doit rester exceptionnel pour garder le cap.

En plus, il arrive parfois que les choses n’aillent pas dans votre sens. L’organisation et la discipline vous évitent d’agir sous le coup des émotions et de faire n’importe quoi.


4. Avoir une bonne faculté d’analyse et être réaliste pour bien décider


Quand vous entreprenez, vous n’avez pas la maîtrise de l’environnement. Celui-ci est en constante évolution. Selon Jeff Ma, ancien joueur de Blackjack et CEO de trois start-ups, vous devez avoir une excellente faculté d’analyse pour anticiper les changements et prendre les décisions qui s’imposent.

Aux jeux comme en affaires, il faut analyser une masse de données et rester rationnel. Parfois vous perdez, il faut alors le reconnaître et délaisser les stratégies inutiles tout en faisant preuve de persévérance dans l’action. Comme l’a dit Connor Mc Gregor suite à sa première défaite « Je n’ai jamais perdu. Soit je gagne, soit j’apprends ! »

Enfin, vous devez être capable de vous entourer des bonnes personnes et devenir un leader dans votre domaine.


5. Entreprendre, c’est être capable de se relever en toute circonstance


En tant que bon entrepreneur, il faudra à un moment ou un autre reprendre la route en dépit des problèmes et des échecs. La persévérance est une des premières clés de votre réussite.

Ne songez pas à abandonner dès la moindre difficulté. L’entrepreneuriat n’est jamais un long fleuve tranquille. Les problèmes sont une constante comme expliqué dans cet article : comment créer son entreprise et survivre !

En vous exerçant régulièrement, vous apprendrez rapidement à affronter les imprévus et à trouver des solutions à chaque situation. Face à la défaite, prenez des risques calculés pour vous sortir des situations délicates.

Soyez alors opportuniste et voyez un problème comme une opportunité d’agir différemment et d’innover.

Chacune des crises traversées dans l’histoire a vu ses entreprises sortir du lot et tirer leur épingle du jeu…


6. Devenir entrepreneur, c’est être un visionnaire


Pour que votre entreprise soit pérenne, trouvez votre motivation et vos aspirations en vue de les retranscrire à travers une vision. Cette dernière vous permettra de mieux cerner l’objectif que vous cherchez à atteindre (au delà du chemin à accomplir).

C’est la base qui vous servira à ériger votre business model. C’est de ce point que partent votre stratégie commerciale et votre communication auprès des prospects, clients et partenaires. Il s’agit d’un préalable indispensable à la concrétisation de tous vos projets.


7. Entreprendre, c’est savoir nouer des partenariats stratégiques


Le développement commercial d’une entreprise se fait dans un environnement social, économique et règlementaire. Il y a de plus en plus de risques et de choix qui s’imposent. Comme vous serez toujours face à des problématiques, il est conseillé de s’entourer de partenaires pour avoir une vision plus large.

Vos partenaires pourront combler vos lacunes éventuelles. Ils vous apporteront les compétences manquantes afin de vous mener au bout de votre projet d’entreprise.

Pour avoir le plus de partenaires stratégiques possibles, ayez une large ouverture d’esprit pour les séduire tout en vous faisant remarquer. Le meilleur moyen de les fidéliser reste de leur offrir des parts dans la boite…


8. Une entreprise qui dure doit savoir rester authentique


Dans le monde du travail et de la consommation, beaucoup préfèrent livrer la quantité au détriment de la qualité. Pour que votre entreprise puisse évoluer dans un monde où la concurrence est rude, offrez une entière satisfaction à vos clients tout en restant authentique aux valeurs de l’entreprise.

Par exemple, si les formules de votre production sont purement bio, ne les modifiez pas pour accroître la quantité. Gardez ce petit plus qui fait que vos clients achètent chez vous et pas ailleurs.

Aucun profit à court terme ne vaut le sacrifice de votre positionnement et de vos valeurs.


9. Pour devenir un bon entrepreneur, il faut être un bon vendeur


Toute entreprise a besoin de clients pour se développer, et pour devenir entrepreneur et réussir dans la durée il faudra vendre encore et encore vos produits et services. Il n’y a personne de mieux placé que le pdg ou le créateur / fondateur pour faire la promotion de sa boite.

Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas déléguer la vente à son équipe commerciale ou une force de vente externalisée, mais celui qui fixe le cap c’est le chef d’entreprise.

C’est d’ailleurs lui qui aura le plus d’occasion de pitcher son entreprise auprès du public, des partenaires etc. car il mange, dort et respire par son activité entrepreneuriale. C’est bien souvent son bébé, toute sa vie… et chaque occasion du quotidien est un bon moyen d’en parler pour générer des opportunités business. N’est-ce pas ?

Tout entrepreneur qui souhaite évoluer sur son marché devra donc tôt ou tard songer à muscler son intelligence commerciale et se former pour développer ses compétences commerciales et celle de ses équipes…


Vidéos complémentaires pour entreprendre avec succès


Idée création d’entreprise : comment entreprendre en temps de crise ?





Devenir entrepreneur : comment créer son entreprise et survivre ?





Vous souhaitez aller plus loin et sauter le pas pour devenir entrepreneur et créer une entreprise à succès qui ne connait pas la crise ? Découvrez 2 possibilités de formation création d’entreprise éligibles CPF avec prise en charge jusqu’à 100% par l’état :



comment devenir entrepreneur

Devenir entrepreneur et survivre n’est pas si facile si l’on en croit les statistiques. Alors comment créer son entreprise et survivre dans un environnement de plus en plus complexe ?

Dans cet article, nous analysons 3 erreurs classiques qui pénalisent / font échouer la plupart des entrepreneurs. 95 % des entrepreneurs tombent dans ces pièges ! Et c’est ce qui explique les statistiques chocs en création d’entreprise aujourd’hui. Puisque vous savez probablement qu’une entreprise sur deux disparaît d’ici un à cinq ans selon l’INSEE.

Comme vous le savez probablement, l’entrepreneuriat n’est pas un long fleuve tranquille. Pour arriver à survivre il faut savoir s’adapter, rebondir, traverser les situations de crise et c’est ce qui fait qu’autant entrepreneurs ne survivent pas dans les 5 premières années.

Mais il y a trois principales erreurs que plupart des gens commettent, et c’est ce que nous allons décortiquer ici.

1. Devenir entrepreneur et survivre nécessite d’avoir le bon mindset


Première erreur : pour devenir entrepreneur il faut le mindset (état d’esprit). Effectivement, la plupart des entrepreneurs qui réussissent ont un câblage cérébral différent. Ils ont une psychologie qui leur permet de traverser toutes ces difficultés et d’arriver à survivre pour se développer.

Donc ça veut dire quoi ? Eh bien ça veut dire tout simplement que l’entrepreneur qui réussit aujourd’hui est enthousiaste, optimiste, motivé et persévérant. Il dispose d’une confiance en lui qui lui permet de mieux rebondir et d’avoir une résistance à l’échec plus significative.

Si vous avez une confiance en vous qui est affectée au moindre revers et au moindre refus de la part des clients vous avez du soucis à vous faire ! Effectivement ça n’est pas le bon état d’esprit pour réussir dans la durée.


Les entrepreneurs qui réussissent sont convaincus que l’échec est le germe de la réussite


Tôt ou tard, confronté à la roche, l’eau finit toujours par trouver son chemin et à traverser comme le disait Confucius !

C’est cet état d’esprit que je vous invite à vraiment cultiver pour devenir entrepreneur. Et pour cela je vous invite à lire des biographies ou des success-stories d’entrepreneurs à succès. Ou encore des livres audio comme « French start up » ou des podcasts qui vous permettront de vous familiariser et de modéliser l’état d’esprit des entrepreneurs qui ont réussi malgré les difficultés. Ceux qui ont réussi à parfois pivoter entre le projet initial qu’ils avaient en tête et ce qu’ils ont réussi à développer par la suite.

Ca vous permettra d’être immergé dans un écosystème positif et donc de passer votre mindset au niveau supérieur pour mettre en oeuvre toutes les chances de succès de votre côté.


2. Devenir entrepreneur et survivre nécessite de savoir vendre



Deuxième conseil pour créer son entreprise et survivre : c’est de savoir vendre ! Avoir de beaux bureaux ou avoir une belle carte de visite ça ne suffit pas ! Bien sûr, si vous n’en avez pas encore commencez par là. Ce sera utile pour vos prospects et clients : imprimer carte de visite à Helloprint >>

De la même manière, avoir un produit qui rend vraiment service à ses clients, c’est bien ! C’est un bon départ. Mais si vous n’arrivez pas à très rapidement trouver des clients et si vous ne développez pas cette capacité à prendre des contacts, générer des opportunités, convaincre, transformer l’essai (et donc vendre) alors malheureusement votre entreprise c’est comme un château de cartes qui va au moindre coup de vent s’écrouler.


Savoir vendre, c’est vital aujourd’hui pour devenir entrepreneur.


Le chef d’entreprise, c’est le premier vendeur de sa boîte. C’est celui qui est chargé à la fois de trouver des clients comme on vient de le dire mais également de vendre les idées en interne : la vision de l’entreprise aux associés / aux collaborateurs / aux futures recrues, mais également aux investisseurs. Car il y a parfois nécessité de lever des fonds pour développer une entreprise.

Donc la capacité de savoir vendre ses idées / ses produits / ses services… elle est vitale.

Rassurez-vous, pas de panique. C’est une compétence entrepreneuriale qui s’apprend. Mais vous devriez l’apprendre vite. Pourquoi ? Parce que être très bon dans son domaine, être un expert technique… ça ne suffit plus !

Quelqu’un qui a une réelle valeur ajoutée sur le plan technique ne sera pas forcément convaincant auprés des prospects et clients. Ne pas savoir vendre, malheureusement c’est manquer de trésorerie et des fonds suffisants pour continuer à se développer.

Puisque ce sont les ventes qui vont permettre à l’entreprise de pouvoir tourner et se développer…

Donc malheureusement, si vous ne développez pas cette capacité à savoir vendre efficacement, si vous n’arrivez pas à acquérir ces compétences commerciales là, même avec le meilleur produit au monde vous ne pourrez pas faire survivre l’entreprise suffisamment longtemps pour rencontrer le succès.


3. Devenir entrepreneur et survivre c’est s’adapter au changement



3e erreur pour devenir entrepreneur : ne pas s’adapter suffisamment vite à la demande ! Vous avez compris que c’est bien d’avoir le bon état d’esprit, et d’acquérir des compétences commerciales pour savoir vendre au quotidien. Maintenant, il se peut qu’entre l’idée de base et la réalité opérationnelle du terrain ça ne marche pas totalement du premier coup.

Pourquoi ?

Parce que le seul juge de paix, c’est la demande : ce sont les clients ! Ce sont les gens qui sont prêts à payer pour votre idée / votre produit / service / solution. Il convient donc d’être en mode agile et d’arriver à très rapidement rectifier le tir si jamais ça ne marche pas totalement.

Il faut être à l’écoute à la fois dans la phase de découverte commerciale jusqu’à la phase de closing. C’est à dire que si vous avez des taux de transformation qui sont bas, il faut être en écoute active durant les entretiens commerciaux pour savoir ce qui freine les clients potentiels à passer à l’action = à acheter / vous faire confiance pour tester votre produit ou service.

Être en écoute active durant chaque entretien de vente permet de détecter des points d’amélioration à la fois marketing et commerciaux, mais également au niveau de l’offre en elle-même. Et donc peut-être sur la conception technique du produit ou service…

Ensuite, il va falloir également être en écoute active et en amélioration continue au niveau du produit en lui même. Il se peut que les premières versions que vous allez mettre entre les mains de vos clients ne soient pas forcément le produit idéal / la solution parfaite qui permet de créer un blockbuster sur le marché.


L’erreur classique pour le créateur d’entreprise c’est de ne pas arriver à réaliser de pivot


Pour la majorité des start up à succès, quand vous analysez le parcours des startupeurs c’est toujours la même chose, souvent il y a un pivot qui s’est opéré.

C’est à dire de ne pas arriver à améliorer l’offre. Ou de carrément faire un switch entre le produit de base que vous aviez en tête et le produit qui marcherait vraiment. Il existe peut-être une solution qui n’est peut-être pas du tout celle à laquelle vous avez pensé au départ mais qui permettrait en tout cas de créer une offre à succès sur le marché.

Si vous n’êtes pas suffisamment réactif d’une part vous pouvez vous faire piquer l’idée. Et d’autre part, vous pouvez vous entêter à vouloir commercialiser quelque chose qui a un potentiel limité sur le marché. Ceci ne vous permettra pas de tenir dans la durée et de vous développer suffisamment vite.

En conséquence, c’est vraiment cette cette capacité d’adaptation qu’il faut travailler. Ceci pour pouvoir régulièrement être force de proposition sur votre marché. Mais il faut également analyser les résultats / prendre du feedback et co-construire le produit idéal avec vos clients.

Faire se synchroniser l’offre et la demande est votre chemin pour devenir un entrepreneur à succès. C’est l’essence même d’un parcours entrepreneurial !


Vidéo : comment devenir entrepreneur et survivre ?





En prenant toute la mesure de ces erreurs pour ne pas les commettre dans votre projet de création d’entreprise vous prenez une longueur d’avance. Entreprendre avec succès n’est pas un long fleuve tranquille. Mais si votre souhait est de devenir entrepreneur, alors il vaut mieux connaître les règles du jeu. C’est ainsi que vous gagnerez la partie…

Vous souhaitez aller plus loin et réussir votre projet de création d’entreprise ? Découvrez ces formations création d’entreprise / reprise d’entreprise pour devenir un entrepreneur à succès


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pipe commercial

Qu’est ce qu’un pipeline commercial ? Comment construire un pipeline des ventes fluide et efficace ? Comment éviter les principales erreurs pour ne pas engorger le pipe commercial ? Réponses ici…

Dans un environnement commercial compétitif, la gestion efficace d’un pipeline commercial est cruciale pour transformer des prospects en clients fidèles. Un pipeline bien structuré permet non seulement de suivre l’avancement des opportunités de vente, mais aussi d’identifier les goulots d’étranglement et d’optimiser les performances de l’équipe commerciale. C’est un véritable facteur clé de succès pour suivre et fluidifier le processus de vente.

Dans cet article, nous explorerons les meilleures pratiques pour construire et gérer un pipeline de vente efficace. Nous aborderons les stratégies pour maximiser votre pipe commercial, tout en répondant aux questions fréquentes des entrepreneurs et commerciaux.

Comprendre les fondements du pipeline commercial des ventes


Qu’est-ce qu’un pipeline commercial ?


Un pipeline commercial (ou pipeline des ventes) est une représentation visuelle de votre processus de vente. Il montre les différentes étapes de vente par lesquelles passent vos prospects avant de devenir des clients.

Chaque étape du pipeline de vente correspond à une phase du processus de vente, depuis la prospection initiale jusqu’à la conclusion de la vente.


L’importance du pipeline des ventes


Gérer efficacement son pipeline commercial permet de :


  • Suivre l’évolution des prospects : Identifiez à quelle étape se trouvent vos prospects.
  • Anticiper les ventes futures : Estimez les ventes potentielles en fonction des opportunités en cours.
  • Optimiser les performances : Identifiez les étapes problématiques et améliorez les processus de vente commercial.

Exemple d’un pipe commercial


Imaginez que vous soyez responsable commercial dans une entreprise de logiciels. Votre pipeline commercial des ventes pourrait inclure les étapes suivantes :

  1. Prospection
  2. Qualification
  3. Démonstration
  4. Négociation
  5. Conclusion

Le nombre d’étapes dépend de votre processus de vente. Cela peut même être encore plus simple comme dans cet exemple de pipe commercial :

pipeline commercial

Comment mettre en place un pipeline commercial de vente ?


Étape 1 : Définir les étapes du pipeline des ventes


Pour commencer, définissez clairement les étapes de votre pipeline commercial. Chaque entreprise a ses propres processus commerciaux. Mais il est crucial que chaque étape de vente soit bien définie et compréhensible par l’équipe commerciale.

Demandez-vous :

  • Quelles sont les étapes de vente incontournables pour vous ? Exemple : le chemin le plus court pour signer une vente dans l’idéal
  • Qu’est-ce qui est optionnel (non vital) dans votre cycle de vente ? Exemple : un R2 quand la vente peut se faire un 1 rdv, un audit, etc.
  • Existe-t-il une ou des étapes qui permettent d’accélérer le cycle de vente ? Exemple : une démo, periode d’essai, etc.

Comme le disait Léonard de Vinci : « La simplicité est l’ultime sophistication ». Donc essayez d’élaguer et de simplifier au maximum votre pipe commercial pour ne pas créer une usine à gaz !


Étape 2 : Utiliser le bon outil CRM


Les outils de gestion de la relation client (CRM) sont essentiels pour gérer efficacement un pipeline de vente. Ils permettent de suivre les interactions avec les prospects, de stocker les informations pertinentes et de générer des rapports commerciaux d’analyse (ou de projection des ventes).

Mais encore une fois, certains outils CRM sont des usine à gaz. A tel point que cela rebute les équipes commerciales et les entrepreneurs à bien les utiliser. Notre conseil : privilégiez un CRM simple, efficace, économique et orienté performance commerciale !


Étape 3 : Former l’équipe commerciale


Vous avez choisi votre outil CRM ? Parfait ! Assurez-vous maintenant que votre équipe commerciale comprend l’importance du pipeline des ventes et sait comment utiliser les outils CRM. La formation doit inclure des simulations et des cas pratiques.

Puis, suivez la bonne santé du pipeline commercial en vérifiant régulièrement la bonne tenue du CRM par l’ensemble des parties prenantes…


Comment construire un pipeline des ventes (et suivre l’activité commerciale) ?





Optimisation et suivi du pipeline commercial


Analyser les performances


Utilisez des KPI (indicateurs de performance clés) pour évaluer l’efficacité de votre pipeline commercial. Les indicateurs peuvent inclure :

  • Taux de conversion : Pourcentage de prospects qui deviennent des clients.
  • Cycle de vente moyen : Durée moyenne pour conclure une vente.
  • Valeur moyenne des ventes : Montant moyen des transactions conclues.

Choisissez vos KPI en fonction des meilleurs indicateurs de performance commerciale.


Identifiez les goulots d’étranglement du pipe commercial


Examinez les étapes de vente où les prospects abandonnent le processus commercial. Si une étape particulière présente un taux d’abandon élevé c’est un signe qu’elle nécessite des améliorations. Idem pour la stagnation des opportunités en cours, si trop de deals stagnent à une étape du pipe commercial c’est qu’il y a un problème à régler.


Comment suivre le pipeline commercial des ventes et gérer son business ?





Stratégies pour booster son pipeline de vente


Priorisation des prospects


Utilisez des scores de lead pour prioriser les prospects les plus prometteurs. Un scoring efficace permet de concentrer les efforts sur les prospects ayant le plus de chances de conclure.

Exemple de scoring : CA potentiel, deadline pour closer le deal, etc.


Personnalisation des approches


Adaptez votre approche commerciale en fonction des besoins spécifiques de chaque prospect. La personnalisation des communications peut significativement augmenter le taux de conversion.

Exemple : cibler avec un pitch commercial spécifique les entreprises qui recrutent, qui viennent de lever des fonds, etc.


Techniques avancées et innovation


Intégrer l’Intelligence Artificielle


L’intelligence artificielle peut analyser les données du pipeline commercial pour identifier les tendances et prévoir les résultats. Des outils comme le machine learning peuvent automatiser certaines tâches et améliorer l’efficacité globale. C’est un secteur en plein développement et les possibilités sont multiples. Renseignez-vous…


Automatisation des tâches répétitives


Automatisez les tâches répétitives telles que les suivis par email et la mise à jour des informations dans le CRM. Cela permet à votre équipe de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. Tout ce qui peut-être automatisé enlèvera des frictions et de la charge mentale…


Quel est le meilleur outil CRM pour gérer son pipeline commercial ?


Il existe plein d’outils d’aide à la vente mais nous avons actuellement une préférence pour NoCRM :

  • Un logiciel 100% prospection commerciale (et pas qu’un CRM)
  • Pensé pour les équipes de vente
  • Orienté simplicité et performance commerciale
  • 100% français
  • Avec un SAV efficace et réactif



Questions Fréquentes sur le pipe commercial


Quelles sont les erreurs courantes dans la gestion du pipeline commercial ?

Les erreurs courantes sont : une mauvaise conception, le manque de suivi des prospects, une mauvaise qualification des leads et l’absence d’utilisation d’outils CRM…


Comment améliorer le taux de conversion dans un pipeline de vente ?

Pour améliorer le taux de conversion, il est crucial de bien qualifier les leads, de personnaliser les approches et d’utiliser des techniques de nurturing efficaces. Un bon suivi et des régles d’automatisation efficaces font aussi la différence.


Quels outils CRM recommandez-vous pour gérer un pipeline des vente ?

Parmi les outils CRM populaires, on trouve Salesforce, HubSpot, Zoho CRM, Pipedrive et d’autres. Ces outils offrent diverses fonctionnalités pour suivre et optimiser le pipeline commercial. Nous recommandons NoCRM pour les raisons indiquées plus haut.


Quelle est l’importance de la formation continue pour l’équipe commerciale ?

La formation continue est essentielle pour maintenir les compétences à jour, introduire de nouvelles techniques de vente et améliorer l’efficacité globale de l’équipe.


Comment mesurer l’efficacité d’un pipeline commercial ?

L’efficacité d’un pipeline de vente peut être mesurée à l’aide de KPI commerciaux tels que le taux de conversion, la durée du cycle de vente, et la valeur moyenne des deals conclus, etc.


Conclusion


Un pipeline commercial bien géré est la clé du succès dans le domaine des ventes. En définissant clairement les étapes, en utilisant les bons outils et en formant votre équipe, vous pouvez maximiser les opportunités de vente et booster les performances de votre entreprise. N’oubliez pas d’analyser régulièrement vos performances et d’apporter des améliorations continues pour rester compétitif. La gestion proactive de votre pipeline de vente vous permettra de transformer plus de prospects en clients satisfaits, garantissant ainsi la croissance et la prospérité de votre entreprise.

plan action commercial exemple
livre vendre et capturer de la valeur

Grâce aux techniques de vente modernes, les commerciaux d’élite ont augmenté leur performance commerciale en misant sur la création de valeur pour le client. Aujourd’hui, cela ne suffit plus pour prospérer dans un environnement commercial soumis à des pressions financières accrues. Il faut vendre et capturer de la valeur ! Face à des acheteurs professionnels plus aguerris, le chiffre d’affaires n’est plus la seule priorité des équipes commerciales. Afin d’accomplir pleinement leur mission, les forces de vente doivent adopter une nouvelle approche plus stratégique : la création de valeur pour l’entreprise.


Dans cet ouvrage, Jean-Claude Larréché explique comment « capturer » une partie de la valeur créée pour le client et la placer au cœur du processus de vente. À travers l’histoire de Tom Werner, un vendeur confronté à ce nouveau paradigme, il transmet les compétences et les outils indispensables à tous les acteurs de la vente pour réussir cette transformation.

Qui est Jean-Claude Larréché ?


Professeur émérite à l’INSEAD, Jean-Claude Larréché a été consultant pour de nombreuses grandes entreprises internationales et a siégé au conseil d’administration de plusieurs sociétés. Il est également le président fondateur de StratX Simulations, un fournisseur de simulations commerciales d’apprentissage par l’expérience, avec des bureaux à Paris et à Boston. Il est l’auteur du livre Vendre et Capturer la Valeur : L’objectif Stratégique de la Vente.


Vendre et Capturer de la Valeur : Pourquoi ?


La première transformation de la vente a renforcé la relation avec les clients. La deuxième a renforcé la relation avec le marketing. La troisième apporte une nouvelle relation et une nouvelle harmonisation du commercial avec la stratégie. Elle confère à la vente une responsabilité accrue en tant que contributrice à la valeur d’entreprise.

Cette transformation installe aussi la vente dans une position centrale unique entre les clients, le marketing et la stratégie, tout en valorisant le rôle de la fonction commerciale.

Cette nouvelle priorité stratégique qu’est la création de valeur d’entreprise implique que la vente cherche davantage à « capturer » une plus grande partie de la valeur créée pour le client. Cela suppose de former les commerciaux à la « capture de valeur ».

C’est l’essence de la troisième transformation de la vente et le sujet du livre Vendre et Capturer de la Valeur !

Évidemment, la capture de valeur ne remplace pas la création de valeur pour le client. Dans la première phase de la vente, les commerciaux doivent démontrer à leurs clients et prospects la valeur de leur offre commerciale, tout en suscitant leur intérêt.

Cette vente orientée valeur pour le client sera toujours cruciale.

Dans la deuxième phase de la vente, les commerciaux doivent parvenir à un accord sur les termes de l’offre avec des interlocuteurs qui sont très souvent des acheteurs professionnels bien formés aux techniques de négociation. Là, il s’agit de capture de valeur. Les professionnels de la vente ont pour mission d’engendrer une valeur d’entreprise pour leur firme.


Quelle est la différence entre la valeur pour le client et la valeur d’entreprise, et pourquoi s’en préoccuper ?


Simplement définie, la valeur pour le client est la valeur d’un produit ou service tel que le client la perçoit.

La valeur d’entreprise, en revanche, est très différente. C’est la valeur actuelle d’une entreprise. C’est-à-dire ce que quelqu’un serait disposé à payer pour l’acheter, ou plus couramment pour en acheter une partie sous forme d’actions en Bourse. Cette valeur reflète directement la force de l’entreprise et l’efficacité de son équipe de direction.

La valeur d’entreprise est assurément l’indicateur commercial le plus important de la force d’une entreprise car elle influence :

  • ce qu’elle vaut pour les actionnaires, les banques et les partenaires financiers (actuels et potentiels) ;
  • son attractivité pour les salariés, clients et partenaires commerciaux (actuels et futurs) ;
  • sa capacité à réaliser des investissements stratégiques dans l’innovation, les capacités de production, l’expansion géographique et autres domaines ;
  • sa puissance par rapport à ses concurrents.

Il a longtemps été admis implicitement dans les conseils d’administration qu’une augmentation du chiffre d’affaires d’une entreprise ferait automatiquement progresser sa puissance et sa valeur. Autrement dit, « plus grand, c’est mieux » (« bigger is better »). À l’orée du xxie siècle, ce postulat implicite s’est révélé faux ! Dans bien des cas, il a mené à une destruction de valeur au lieu d’une création de valeur.


La création de valeur réelle plutôt que l’augmentation du chiffre d’affaires


Par conséquent, beaucoup d’entreprises se sont recentrées sur leur création de valeur réelle plutôt que sur ce succédané simpliste qu’est l’augmentation du chiffre d’affaires. Ce qui, par ruissellement en leur sein, a entraîné la troisième transformation de la vente et le remplacement du « plus grand, c’est mieux » par un nouvel état d’esprit : « plus riche, c’est mieux » (« richer is better »).

La première transformation de la vente, axée sur l’impératif client, et la deuxième, axée sur l’impératif de l’alignement marketing/vente ont surtout été, pour les professionnels de la vente, des sources d’enrichissement accompagnées d’ordinaire par une augmentation numérique de la force de vente.


Cette troisième transformation de la vente est différente


Côté négatif, certaines forces de vente verront probablement leur taille réduite. Et certains professionnels de la vente pourraient ne pas être à la hauteur des nouveaux défis. Côté positif, elle valorisera bien davantage la fonction vente, dont les perspectives et les responsabilités s’élargiront. Cela exigera toutefois des professionnels un nouveau rôle et de nouvelles compétences en vente, en plus de celles existantes.

Vendre et capturer de la valeur est un défi majeur pour les commerciaux, priés d’élargir leur activé à de nouveaux domaines, souvent peu familiers pour eux.

Les vendeurs, entre autres capacités nouvelles, ils doivent apprendre à :

  • acquérir une lucidité financière et un sens des affaires solides
  • intégrer plus d’informations dans le processus vente-négociation. Surtout à propos de la dynamique des coûts, de la rentabilité des contrats et de la satisfaction des clients
  • refuser les contrats qui détruisent de la valeur. Même quand ils pourraient apporter du chiffre d’affaires supplémentaire
  • jongler avec des objectifs multiples. En pénétrant sur le terrain de la création de valeur d’entreprise, vous devez non seulement tenir compte du chiffre d’affaires, mais aussi de la rentabilité, de la force concurrentielle et de la satisfaction du client, entre autres objectifs.

Lorsque vous aurez maîtrisé les fondamentaux de la capture de valeur, vous constaterez que vous êtes capable de dégager plus de valeur non seulement pour vos clients mais aussi pour l’entreprise qui vous emploie.


Jean-Claude Larréché n’oubliera jamais ma première rencontre avec Tom Werner.


Professionnel de la vente, Tom travaillait pour le fabricant d’équipements électroniques Eltron, dont les clients étaient des entreprises de secteurs variés. Tout était parfait dans le monde de Tom. Du moins jusqu’au jour où sa direction lui fit savoir, ainsi qu’aux autres commerciaux de l’entreprise, que la « création de valeur d’entreprise » serait désormais une priorité. Et que le système d’intéressement des vendeurs allait être modifié en conséquence.

Tom ne connaissait rien à la finance. Il fut naturellement angoissé par cette nouvelle priorité et par les éventuels effets négatifs de ce nouveau facteur sur sa rémunération.

Il s’est avéré que Tom n’était pas le seul commercial à s’alarmer. Beaucoup de ses collègues ont fait part de leurs inquiétudes à la direction commerciale. Pour les aider à franchir l’étape de la transformation, l’entreprise a donc organisé un séminaire sur la capture de valeur appelé WAWS, pour « We All Win Selling » (« Nous gagnons tous en vendant »). Cet intitulé avait été choisi pour souligner que la firme entière profiterait de la nouvelle priorité donnée à la valeur d’entreprise et à la capture de valeur.

À leur grand étonnement, Tom et ses collègues ont en réalité été ravis de participer à ce programme. Tom a été soulagé de comprendre enfin la logique de la transformation et ses implications. Et en particulier son effet sur sa rémunération. Rassuré, il a apprécié cette occasion d’élargir le champ de ses activités tout en faisant ce qu’il aimait le plus : vendre.

Le livre Vendre et Capturer de la Valeur est basé sur l’expérience de Tom au sein du programme WAWS. Il vous apportera les outils dont vous avez besoin pour réussir dans la troisième transformation de la vente en vous attachant à la capture de valeur. Comme Tom, libérez tout votre potentiel pour vendre et capturer de la valeur pour vous et pour votre entreprise !


Où trouver le livre Vendre et Capturer de la Valeur ?


Vous êtes libre de commander le livre Vendre et Capturer de la Valeur de Jean-Claude Larréché en cliquant ci-dessous.

vendre et capturer de la valeur
Vendre et Capturer la Valeur de Jean-Claude Larréché
améliorer la performance commerciale

Comment améliorer la performance commerciale ? Maitrisez-vous la capture de valeur ? Détectez ce qui freine votre croissance grâce à une simulation de vente, et préparez vos équipes commerciales pour les nouveaux défis à venir !

Dans un environnement commercial en constante évolution, il est essentiel de s’adapter pour améliorer la performance commerciale. La vente consultative s’est imposée comme une approche efficace pour optimiser les performances de vente et créer de la valeur ajoutée. Mais comment passer d’une réussite ponctuelle à une performance durable en capturant efficacement la valeur ? C’est ce que nous allons explorer dans cet article.


Les différentes transformations des ventes : Comment s’adapter pour améliorer la performance commerciale


L’efficacité commerciale est-elle vraiment ce que vous croyez ? Affirmer que le paysage commercial est en constante évolution serait un euphémisme. Des stratégies de production aux équipes commerciales, les entreprises ont rapidement compris qu’il était nécessaire d’établir des stratégies de vente afin de suivre la croissance de la capacité de production et répondre à la demande des clients potentiels.

Mais que faire pour retrouver de l’efficacité commerciale lorsque les clients ne sont plus aussi demandeurs ? Comment réagir lorsque la nécessité devient une option, un confort, voire un luxe ? Que faire lorsque les techniques de vente basiques ne suffisent plus ?


La vente consultative : La clé pour optimiser les performances de vente et créer de la valeur ajoutée


Dans ce contexte, il devient vital de transformer le processus de vente. La productivité commerciale ne peut plus se limiter à des commerciaux capables de simplement identifier un besoin et de proposer un produit ou service en réponse.

La vente consultative émerge alors comme la solution pour optimiser les performances de vente : il ne s’agit plus de vendre un produit, mais de vendre sa valeur ajoutée. Désormais, tout doit être abordé en collaboration avec le client. Une phase de qualification précise est nécessaire pour entamer une phase de découverte cruciale, bien avant la conversion du prospect.

Cette approche présente deux avantages : elle se concentre sur le client et ses enjeux professionnels, ce qui instaure une véritable relation de confiance en vous positionnant en tant qu’expert. Vous ne vendez pas simplement un produit, vous vendez de la valeur. Vous n’êtes pas seulement un commercial, vous êtes un véritable consultant, étroitement impliqué dans les missions de votre client.


De la réussite ponctuelle à la performance durable : Comment capturer efficacement la valeur pour une croissance à long terme


Félicitations, la vente est conclue ! Vous venez de créer de la valeur pour votre client et de générer des revenus pour votre entreprise. Mais comment faire en sorte que cette réussite devienne une routine, avec une gestion des ventes pérenne et une amélioration des résultats commerciaux à long terme ?

En effet, la capacité à capturer efficacement la valeur est la clé du succès des entreprises. C’est un retour de valeur essentiel qui permet de générer une croissance durable. Cependant, de nombreux défis peuvent entraver cette capture de valeur, nécessitant une approche stratégique et une formation commerciale adéquate pour les équipes.

Tout d’abord, il y a l’incompréhension : la capture de valeur est intangible et non quantifiable, elle n’est pas toujours la priorité principale des commerciaux, à tort. Même si certains sont sensibilisés à la création de valeur, ils ne voient pas toujours comment l’intégrer dans le processus de vente.

De la stratégie de capture de valeur aux cycles de vente plus opérationnels, analysons les principales erreurs à éviter et les solutions à mettre en place pour surmonter les obstacles à la capture de valeur. Cela vous permettra d’optimiser vos pratiques commerciales et de préparer vos équipes à relever les nouveaux défis des marchés à venir !


Valeur client vs Valeur d’entreprise : Comprendre la distinction pour optimiser la performance commerciale


Pour bien distinguer ces deux concepts, explorons les deux phases de la vente car elles nous permettent d’introduire clairement la notion de Capture de Valeur. En effet, lors de la première phase, notre objectif est de créer de la valeur pour le client. Mais il est important de comprendre que la valeur à capturer, celle que nous recherchons réellement, c’est la valeur d’entreprise. Alors comment faire la distinction ?


La volonté de payer


La première phase pour améliorer la performance commerciale vise à susciter l’intérêt d’achat et à maximiser la Volonté De Payer (VDP) du client. Comme vu précédemment, durant cette phase, la création de valeur pour le client est primordiale.

Si le produit est vendu à un prix fixe, la vente est conclue lorsque le vendeur réussit à créer une VDP supérieure au prix chez le client. En effet, le consommateur recherchant constamment la combinaison optimale entre caractéristiques du produit et prix, si la VDP est inférieure au prix du produit, la vente échoue.

C’est ici que la vente consultative prend tout son sens. En adoptant une approche de consultant, le commercial peut facilement transformer les caractéristiques du produit en Avantages distinctifs par rapport à la concurrence, puis en Bénéfices adaptés à la situation du client. Ainsi, la VDP devient plus claire pour le client s’il parvient à voir le produit comme une somme de Bénéfices, plutôt qu’une simple liste de Caractéristiques.


Lors d’une négociation


La situation devient plus complexe lorsque le prix du produit est négociable. La vente entre alors dans sa deuxième phase, celle de la négociation. À ce stade, l’objectif du vendeur évolue de la création de valeur client (déjà acquise si la négociation est engagée) vers la Capture de Valeur pour l’entreprise.

Il s’agit d’obtenir une part plus importante de la VDP initialement créée lors du processus de vente, au bénéfice de l’entreprise. D’autant plus que, les acheteurs en entreprise eux, sont déjà formés aux techniques d’approvisionnement qui reposent sur la capture de valeur créée par leurs fournisseurs.

Ils sont sensibilisés à tirer le maximum de valeur de leur processus d’achat. Car les professionnels de la vente ont certes rapidement compris l’importance de créer de la valeur pour le client, mais trop focalisés et spécialisés, ils ont souvent négligé la nécessité de se préparer à la Capture de Valeur.

Face à des acheteurs bien préparés, il est donc primordial que les vendeurs soient enfin sensibilisés à la Capture de Valeur.

L’objectif d’une vente ne se résume plus à créer de la valeur pour le client. La finalité du processus de vente doit désormais résider dans la Capture de Valeur pour l’entreprise, enfin que les commerciaux jouent à jeu égal avec leurs homologues acheteurs.

Ainsi, les objectifs du commercial se transposent aux objectifs de l’entreprise. Améliorer la performance commerciale ne se résume plus à une succession de ventes réussies, mais repose désormais sur une approche stratégique et une gestion des ventes efficace, qui permettent de capturer le maximum de valeur afin de créer de la valeur d’entreprise.


Les obstacles à la capture de valeur : Identifier et surmonter les principaux défis pour améliorer la performance commerciale


Les entreprises font souvent face à plusieurs freins lorsqu’il s’agit de capturer efficacement de la valeur. Ces facteurs peuvent entraver la capacité des entreprises à maximiser leur valeur perçue et à développer des relations solides avec leurs clients.


Surmonter le manque de compréhension des besoins clients pour maximiser la valeur perçue


Tout d’abord, et c’est le plus évident, un manque de compréhension des besoins des clients, que ce soit en termes de qualité ou de quantité, peut entraîner des conséquences préjudiciables. Les entreprises doivent investir du temps et des ressources dans la collecte de données qualitatives et quantitatives, dès la qualification d’un prospect.

Cela leur permettra de comprendre les besoins, les préférences et les motivations de leurs clients. Sans cette compréhension précise et approfondie, il vous sera impossible de proposer des produits ou services qui répondent réellement aux attentes du marché à long terme.


Construire une relation de confiance solide : La clé pour capturer une valeur continue et diffuse


Tisser une relation de confiance avec les clients est la seconde étape, et très certainement la plus importante. Cependant, quel défi !

En particulier dans un environnement où la concurrence est intense, et tente de se démarquer sur d’autres terrains, comme le prix. Les entreprises doivent alors mettre l’accent sur la satisfaction client, la transparence, la fiabilité et la qualité constante pour entretenir une relation solide et durable.

Cette relation de confiance favorise la fidélité et permet aux entreprises de capturer une valeur continue et diffuse au fil du temps.


L’autocritique et la formation commerciale : Améliorer les compétences pour optimiser les performances de vente


Un obstacle présent tant au niveau individuel qu’au niveau de l’entreprise est la connaissance limitée de vos propres compétences et le manque d’autocritique. Il est essentiel de se connaître objectivement, d’évaluer ses forces et faiblesses. Cependant, cette prise de conscience n’est que le début. Il est également nécessaire de mettre en œuvre des mesures correctives, notamment par le biais de la formation commerciale, afin d’améliorer les domaines identifiés.


L’agilité face au changement : Surmonter la résistance pour maximiser la capture de valeur


La résistance face aux changements peut également entraver la capture de valeur. Les commerciaux doivent faire preuve d’agilité et de résilience pour s’adapter aux évolutions du marché et aux demandes changeantes des clients.

En effet, la conversion d’un prospect n’est pas un lien indéfectible. La réticence au changement peut entraîner une perte d’opportunités de capture de valeur.

De plus, il est important de garder à l’esprit que cette rigidité est perçue par le client et peut être amplifiée par l’environnement qui l’entoure, car elle est relative aux pratiques de vos concurrents !

Par exemple, si un concurrent propose des prix dégressifs plus incisifs et des politiques plus souples, vous serez perçu comme une entreprise peu disposée au changement. Même si vous avez mis en place une politique de prix plus flexible qu’auparavant.


La négociation habile : Maximiser la création de valeur tout en maintenant une relation équilibrée


Même si tous ces aspects sont maîtrisés à la perfection, ils ne pourront pas vous épargner une négociation complexe avec un client.

Bien sûr, les entreprises et leurs commerciaux doivent être en mesure de négocier des accords avantageux avec les clients, afin de maintenir leurs objectifs de rentabilité, que ce soit au niveau individuel du commercial ou au niveau stratégique de l’entreprise.

Une négociation habile peut conduire à des conditions plus favorables, en valorisant à la fois le produit/service et l’acheteur. Mais attention, quelle satisfaction l’acheteur peut retirer d’une négociation trop rapide ? Aura-t-il l’impression d’avoir négocié « jusqu’au bout » ?

D’un autre côté, si la négociation est trop longue et affecte le moral de l’acheteur par la suite, serons-nous les partenaires privilégiés l’année suivante ?


Le point de bascule entre valeur client et valeur d’entreprise ?


En tant que vendeur, c’est un point de bascule crucial. Vous devez vous assurer d’obtenir un accord qui soit à la fois acceptable pour le client et qui maximise la création de valeur pour l’entreprise.

Cette partie est intéressante également car les techniques pour maximiser la création de valeur s’appliquent à tous les secteurs. Entre vendre des biens de consommation en retail, ou vendre des airbags à un acheteur senior d’une firme automobile, la Capture de Valeur se concentre sur les aspects financiers de l’accord et non sur les spécificités de l’offre, qui seront elles définies au cours de la première phase de vente (Rappelez-vous, une somme de Bénéfices qui s’accordent sur une fourchette de prix).

Deux avantages, elle est donc moins dépendante du contexte qu’avec une recherche de valeur client à tout prix, et la formation à la Capture de Valeur n’a donc pas besoin d’être contextualisée. Elle exige simplement une compréhension plus approfondie et détaillée des éléments financiers afin que le vendeur reste en adéquation avec la Valeur d’Entreprise à capturer (prix, volume, parts de marché VS objectifs…).

Ainsi, dans cette logique à la fois opérationnelle et stratégique, la négociation est inévitable, il est donc préférable de se préparer à toutes les éventualités d’une négociation, avec des commerciaux prêts à aborder ces éléments financiers d’une façon fluide pour mettre toutes les chances de leurs côtés lors d’une négociation complexe.


Adopter une vision à long terme : Éviter le piège du court-termisme pour une performance commerciale durable


Enfin, la vision court-termiste constitue le dernier piège à éviter pour créer et capturer de la valeur. Effectivement, si les primes commerciales dépendent uniquement du chiffre réalisé, alors comment inculquer une vision long terme à ses commerciaux ?

Qu’en est-il des parts de marché, ou de la satisfaction client ? Faut-il qu’une entreprise soit plus grosse, ou plus riche ?

Aucune entreprise ne peut véritablement prospérer en exploitant ses clients sans prendre en compte le coût d’acquisition de nouveaux clients. Il est essentiel de comprendre qu’un client satisfait sera non seulement susceptible de rester fidèle, mais également de devenir un promoteur de votre entreprise. C’est la manière la plus pérenne d’améliorer la performance commerciale.

Alors pourquoi se priver de cette opportunité et se concentrer uniquement sur le chiffre d’affaires à renouveler chaque année, sans construire une position solide sur le marché et sans cultiver une base de clients fidèles ?


La formation commerciale : L’outil essentiel pour surmonter les obstacles à la capture de valeur et améliorer la performance commerciale


Sensibiliser les commerciaux et optimiser ses pratiques pour une performance commerciale optimale


Pour surmonter ces obstacles à la capture de valeur, il est essentiel de sensibiliser vos commerciaux aux différentes problématiques évoquées précédemment. Diviser la capture de valeur en objectifs de progression distincts peut constituer un premier pas, en commençant par analyser les compétences à renforcer ou à acquérir au sein de vos équipes.

Ensuite, plusieurs approches de formation commerciale peuvent être appropriées. Les jeux de rôle sont recommandés pour analyser les signaux émis par un acheteur agacé ou convaincu, et permettent également à vos commerciaux de mieux se connaître. Ils sont également efficaces pour apprendre les bases de la vente consultative en pratiquant la découverte et l’accompagnement du client.

Certaines formations commerciales peuvent être utiles pour maîtriser les principes fondamentaux de la découverte client et la structure d’une stratégie de vente efficace.

Cependant, comment concilier tous ces apprentissages et engager une transformation des ventes de manière efficace, sans avoir à multiplier les formations de vente ?


Former ses équipes commerciales avec un simulateur de vente


Apprendre pour vendre ou vendre pour apprendre ?


Intéressons-nous à d’autres secteurs où la formation revêt une importance vitale. L’aviation en est un exemple notable. Les pilotes d’avion se forment depuis toujours sur des simulateurs, leur permettant d’acquérir de l’expérience en toute sécurité, dans un environnement réaliste.

Cette approche leur permet de perfectionner leur toucher, d’affiner leurs compétences et de mettre en pratique tout ce qu’ils ont appris. Alors, pourquoi ne pas adopter une approche similaire avec vos équipes, afin de les sensibiliser à la capture de valeur de manière autonome ?

Tout d’abord, cette approche offre à vos équipes commerciales la possibilité de s’exercer dans un environnement sécurisé, sans aucun risque pour l’entreprise ni pour ses clients.

Grâce à la formation expérientielle, vos équipes peuvent explorer différentes stratégies et tactiques afin de comprendre comment optimiser la valeur perçue par les clients et comment capturer une partie de cette valeur.

De plus, contrairement aux formations plus traditionnelles, la simulation de vente favorise la collaboration et l’apprentissage entre les membres de l’équipe, renforçant ainsi l’esprit d’équipe et les compétences collectives, indispensables pour développer les compétences relationnelles de vos collaborateurs.

Cela peut faire l’objet d’une activité ludique et différenciante lors de vos séminaires d’entreprise et autres activités team building


Le simulateur de capture de valeur REVMANEX


C’est précisément ici que REVMANEX se démarque en offrant une formation spécifique pour aider les vendeurs à exceller dans cette deuxième phase de la vente : la négociation en vue de créer de la valeur pour l’entreprise. Cet aspect constitue la force distinctive de REVMANEX qui, face aux méthodes de formation traditionnelles, se place au complément pour renforcer les performances des vendeurs.


Optimisez l’apprentissage avec le 70-20-10


REVMANEX, la simulation de vente développée par StratX Simulations, se base sur l’apprentissage par la pratique, une méthode qui se révèle 15 fois plus efficace que l’écoute active et 8 fois plus efficace que la lecture. En effet, ne vaut-il pas mieux vendre pour apprendre, plutôt que d’apprendre pour vendre ?

La règle des 70-20-10 le prouve bien !

Cette règle basée sur les recherches du Center for Creative Leadership dans les années 1990, suggère que 70% de l’apprentissage du métier se fait par le biais des expériences et de la pratique, c’est l’acquis expérientiel.

Les 20% représentent les savoirs acquis via le partage de connaissances grâce aux collègues qui nous entourent : l’apprentissage social.

Les 10%, ce sont les compétences acquises grâce à la formation traditionnelle (séminaires, ateliers, présentations, formation en ligne…). Essentielle pour peaufiner les savoirs, pour compléter certaines connaissances ciblées, l’apprentissage formel ne peut être le seul levier pour former vos équipes, mais combiné 2 méthodes précédentes, c’est un véritable accélérateur pour les équipes.

Les commerciaux peuvent ainsi non seulement comprendre les facteurs facilitant la capture de valeur, mais également travailler sur les aspects clés mentionnés précédemment.


Les avantages de négocier avec un acheteur virtuel


Face à six acheteurs aux caractères différents, ils peuvent développer leur adaptabilité et leurs techniques de négociation afin d’obtenir les meilleurs accords. Il s’agit ici de maximiser la rentabilité tout en prenant en compte le volume des ventes pour accroître les parts de marché, en collaborant avec le client pour assurer une satisfaction maximale.

Grâce à une intelligence artificielle basée sur des principes clés de la négociation tels que la ZOPA (Zone d’Accord Possible) et le BATNA (Meilleure Alternative à une Négociation), les commerciaux sont mis au défi de sortir de leur zone de confort pour préserver la valeur à tout moment.

Les avantages de l’intelligence artificielle sont nombreux : face à des acheteurs virtuels, la puissance de calcul permet de prendre en compte de multiples variables de négociation et des moteurs de valeur pour l’entreprise, ce qui n’est pas possible dans un simple jeu de rôle. Cette puissance de calcul crée davantage de réactivité chez l’acheteur, ce qui favorise l’apprentissage chez le vendeur.

L’autre avantage du simulateur est la reproductibilité de l’expérience de capture de valeur. Vous pouvez répéter une négociation avec le même acheteur virtuel à plusieurs reprises et analyser l’impact de différentes stratégies et tactiques. De plus, avec une simple modification des paramètres, un simulateur offre de toutes nouvelles situations de négociations, multipliées par le nombre d’acheteurs virtuels.

Enfin, lorsque plusieurs vendeurs se confrontent au même acheteur, cela permet une comparaison des expériences de capture de valeur, encourageant l’apprentissage social.

Ces quatre caractéristiques – puissance de calcul, reproductibilité, diversité et comparaison – font d’un simulateur un outil particulièrement efficace pour l’apprentissage expérientiel de la capture de valeur.

StratX Simulations a donc développé REVMANEX afin d’aider vos collaborateurs à adopter les bonnes attitudes envers leurs interlocuteurs, tout en inscrivant la capture de valeur au cœur de la philosophie de votre entreprise.


Simplifiez l’accès à la formation, révélez vos commerciaux


Que ce soit en présentiel ou à distance, StratX Simulations simplifie la formation commerciale en offrant à vos équipes la possibilité de se connecter rapidement et facilement aux simulations de vente. Avec l’accompagnement d’un formateur certifié, embarquez pour trois heures de jeu où vos équipes peuvent interrompre et reprendre les négociations à leur convenance, où qu’ils se trouvent.

Ce format s’avère donc idéal pour une montée en compétence en matière de vente. Que ce soit comme complément à un programme de formation existant dans votre entreprise ou en tant que conclusion d’un tel programme. Commencez par sensibiliser vos équipes à la gestion des ventes et aux techniques spécifiques à votre secteur. Puis ajoutez REVMANEX à votre formation pour améliorer la performance commerciale à long terme.

La capture de valeur est un élément crucial pour le succès de votre entreprise. Mais de nombreux obstacles peuvent entraver ce processus. Grâce à la formation commerciale, vous pouvez surmonter ces défis et préparer vos équipes à relever les nouveaux défis du marché. De plus, en adoptant cette approche innovante basée sur les simulations de vente, vos commerciaux pourront développer leurs compétences relationnelles tout en comprenant et en appliquant la capture de valeur de manière concrète.

Source : (Ramsay, 2007) – (Lax and Sebenius, 1986) – (Dale, 1946).



Pour aller plus loin, vous êtes libre de découvrir le livre Vendre et Capturer de la Valeur de Jean-Claude Larréché

vendre et capturer la valeur

compétence en vente

Quelle sont les compétences en vente et les qualités des meilleurs vendeurs et vendeuses au monde ? Quelle compétence en vente faut-il acquérir pour réussir en tant que vendeur / vendeuse ? Il y a dix ans en arrière, il aurait été difficile de répondre avec autant de précision sur les compétences commerciales clés pour réussir dans la vente.

Mais aujourd’hui, nous pouvons nous appuyer sur la science de la vente et les données du leader mondial de l’évaluation commerciale avec + de 2 millions de profils commerciaux évalués.

Les compétences d’un vendeur ou les qualités d’une vendeuse performante en vente sont très précises. Il y en a 21 pas une de plus ni une de moins. Et c’est une bonne nouvelle car vous allez pouvoir modéliser chaque compétence dans la vente pour réussir dans la fonction commerciale.


Quelle compétence en vente ont les meilleurs vendeurs et vendeuses ?


Chacune des 21 compétences en vente et qualités des meilleurs vendeurs et vendeuses que je vais partager avec vous est scientifiquement et statistiquement prouvée.

D’ailleurs, restez bien jusqu’à la fin de l’article. Vous pourrez si vous le souhaitez passer l’évaluation commerciale Objective Management Group et vous comparer aux meilleurs vendeurs commerciaux de la planète. Cela vous permettra de prendre une photo de votre niveau de compétence en vente à l’heure actuelle. Et d’avoir un plan d’action précis pour encore élever le niveau commercial d’un cran si besoin est !

Pour que vous compreniez bien, nous parlons ici de l’évaluation des meilleurs vendeurs et vendeuses au monde tous secteurs d’activités confondus, toutes fonctions confondues… Il n’y a donc pas matière à remettre en question les chiffres qui vont suivre.

Parmi + de 2 millions d’acteurs commerciaux évalués, il ressort donc un socle de compétences et de qualités en vente qui sont communes. Ce qui leur permettent de générer un degré de performance commerciale bien au-dessus de la masse des autres vendeurs et vendeuses du marché.

Ces meilleurs vendeurs ont donc un socle de compétences commerciales clés qui étaient peut-être pour certain présentes de manière innée. Mais ils ont mécaniquement su entretenir et développer ces compétences et qualités commerciales. C’est inéluctable !

La liste est longue, mais croyez-moi, le temps que vous allez passer va être largement rentabilisé si vous faites le choix de vous inscrire dans l’activation de ces 21 compétences et qualités commerciales.


Ces 21 compétences en vente sont réparties en 4 items


  • la volonté de vendre
  • l’ADN de vente
  • les compétences tactiques en vente
  • les systèmes et stratégies

Commençons donc l’analyse par les compétences tactiques en vente. C’est probablement ce qui vous semblera le plus évident pour commencer…


A) Les compétences tactiques en vente


Les compétences tactiques en vente, c’est une grande partie de ce que l’on appelle la technique de vente. Et elles ont un rôle prépondérant dans l’efficacité commerciale. Même si on verra après que la psychologie commerciale (la part de « mindset ») n’est pas à négliger…


1. Les talents de chasseur du vendeur / vendeuse


La première compétence d’un vendeur c’est la capacité à chasser. Et la capacité à chasser, c’est savoir trouver des clients potentiels pour vendre ses produits et services. Savoir cibler et entrer en contact avec des clients potentiels de manière proactive pour obtenir un flux continu de nouvelles affaires potentielles dans votre pipeline des ventes.

Effectivement, si vous avez des freins aujourd’hui à la prospection commerciale et si vous ne savez pas chasser avec facilité, il va falloir y remédier. Puisque comme je le dis souvent : le meilleur moment pour prospecter, c’est quand vous pensez ne pas en avoir besoin…


2e compétence des meilleurs vendeurs : avoir la bonne posture de vente


Quand on parle de posture de vente cela touche plus au « savoir être » qu’au savoir-faire. Cela passe à la fois par la maitrise de toute votre communication verbale et non verbale. La capacité à nouer des contacts et entrer en relation en maitrisant ce qu’on appelle l’effet de halo avec la règle des 4×20.

C’est-à-dire, savoir créer un bon climat… Un climat propice à la vente de la première prise de contact jusqu’à la conclusion de la vente.

Mais cela touche aussi à la capacité à vendre la valeur, et non pas un simple produit ou service. Il faut donc être capable de démontrer les bénéfices ultimes de l’achat pour le client en mettant en perspective les conséquences de la résolution de son problème. Ou la satisfaction de son désir…

Pour cela, les meilleurs vendeurs arrivent à quantifier la douleur (de la situation actuelle du prospect), les avantages et inconvénients de l’ensemble des solutions envisagées, et le retour sur investissement attendu.


3e compétence commerciale : maîtriser la vente consultative


Aujourd’hui, force est de constater que bon nombre d’acteurs commerciaux sont des vendeurs à l’ancienne. Qui misent tout sur la force d’argumentation, sur les techniques de persuasion en entonnoir.

La vente consultative, c’est une vente qui se base sur un diagnostic préalable, sur un échange profond et constructif, pour aboutir à une co-construction de la solution lors de l’acte de vente.

Qui dit vente consultative, dit maîtrise des techniques de questionnement, maîtrise de l’écoute active. La compétence d’un vendeur se mesure à sa capacité à intégrer les informations que donne le client et à faire le lien avec vos offres de produits et services / vos solutions. Ceci pour pouvoir ensuite argumenter et présenter vos solutions sous le meilleur angle possible.

C’est ça qu’on appelle la vente consultative. C’est également une vente qui est basée sur un cycle de vente en étape. C’est-à-dire des interrupteurs commerciaux à activer step by step.


4e compétence en vente : la capacité à qualifier les opportunités


Çe n’est pas le tout d’être un bon chasseur et de maximiser les prises de contact. Trop de prises de contact génériques peuvent nuire à la bonne santé du pipeline des ventes.

Les meilleurs vendeurs savent qualifier les opportunités très rapidement :

  • Est-ce je suis en train de parler avec le bon prospect ?
  • Quelle est ma probabilité de conclure avec ce prospect ?
  • Est-ce que c’est le bon timing pour lui / le bon contexte ?
  • Est-ce que mon temps est le mieux investi en ce moment avec ce client ?

Cette compétence en vente passe donc par la capacité du vendeur à filtrer les bonnes affaires en établissant un questionnement axé sur des filtres de qualification. On parle de filtres qui correspondent tout simplement à l’avatar client que vous souhaitez travailler.


Exemple de filtres pour qualifier une vente


Cela peut-être par rapport à différents signaux d’affaires que les outils de Sales Intelligence nous permettent d’avoir :

  • une certaine taille de chiffre d’affaires (100k€, 1M€, 10M€, 100M€…)
  • un certain volume de rentabilité dans l’activité commerciale,
  • une implantation géographique dans une zone de chalandise bien définie,
  • un certain niveau de poste dans l’organigramme décisionnel (PDG, DRH, DirCo, DSI, DAF…)
  • est-ce qu’il y a un appel d’offres qui vient d’être remporté ? Une levée de fond ?
  • est-ce que l’entreprise recrute / licencie ?
  • l’entreprise est en croissance de CA ou en régression ?
  • est-ce que le résultat net est positif / négatif ?
  • etc.

Voilà, il y a tout un tas de signaux d’affaires sur lesquels baser ses filtres de qualification. Ceci pour développer sa capacité à qualifier en posant très rapidement les bonnes questions. Pour savoir si oui ou non vous devez poursuivre en engager votre prospect dans le processus de vente

Ainsi, il y a 2 options :

  1. soit vous avancez et vous passez à la prochaine étape du pipeline des ventes,
  2. soit vous remerciez le prospect et le placez dans un autre pipeline de réactivation, avec du lead nurtering par exemple. C’est-à-dire que vous allez continuer à l’éduquer en envoyant des communications marketing pour faire en sorte de cueillir le fruit commercialement quand il sera plus mûr.

Mais dans ce 2e cas, ce n’est vraisemblablement pas le bon moment pour lui actuellement.

Donc, ça ne sert à rien de vouloir aller plus vite que la musique et d’investir du temps qui de toute façon n’aboutira pas à une conclusion rapide de la vente. C’est ça la compétence en vente consistant à bien qualifier les opportunités.


5. Savoir présenter la bonne information, au bon moment, à la bonne personne


La plupart des acteurs commerciaux ne savent pas adresser les vrais décideurs. Ils ont tendance à perdre du temps à présenter tout un tas de choses à des parties prenantes non essentielles à la prise de décision (secrétaire, chargé de mission, responsable intermédiaire, etc.).

Les meilleurs vendeurs ont cette compétence de faire exactement le contraire. La qualité d’un vendeur se mesure à sa capacité à parler aux bons interlocuteurs pour raccourcir le cycle de vente.

Ensuite, qui dit « savoir présenter » ne veut pas dire faire une présentation générique et soporifique à rallonge.

Au contraire, c’est tout l’inverse encore une fois. Les meilleurs vendeurs savent présenter et argumenter de manière succincte, percutante, afin d’éveiller la curiosité / l’intérêt en stimulant l’appétit de l’interlocuteur.

Ca veut dire quoi ?

Ca veut dire que cette compétence en vente passe par le fait d’adapter sa présentation des informations en étant entièrement axé sur l’interlocuteur. Il convient de prendre en compte son profil DISC, son profil SONCAS, son contexte, ses enjeux et ses priorités du moment…

Savoir pitcher et engager vos interlocuteurs, savoir argumenter d’une manière qui soit légère, fluide, naturelle et percutante, c’est ce que l’on entend par savoir présenter la bonne information, à la bonne personne au bon moment !


6e compétence dans la vente : la capacité à conclure


Savoir conclure une vente grâce à des compétences techniques en vente, cela fait une réelle différence de performance commerciale.

Comme nous le verrons tout à l’heure dans la partie « psychologie commerciale », il convient bien évidement de considérer que la conclusion de la vente est la suite logique, naturelle, lorsque l’on prend contact avec des clients potentiels.

Lorsque l’on a présenté une proposition commerciale après un bon diagnostic, dans une vente consultative en bonne et due forme il ne faut pas avoir peur de passer au closing de la vente.

Et savoir habilement quand et comment conclure une vente pour pouvoir transformer les prises de contact en ventes effectives, ça passe par une compréhension et une maitrise des techniques de closing.


7e compétence en vente : la capacité à nouer des relations


La capacité à savoir activer / réactiver et développer son réseau est également une compétence en vente clé ! Considérez donc toutes les prises de contact que vous effectuez comme des opportunités de signer des clients. Mais également comme des opportunités d’élargir votre réseau.

Même si vous ne signez pas une affaire, rien ne vous empêche, si le contact s’est bien passé et que ça n’est pas le bon moment pour votre interlocuteur (ou le bon contexte), de lui demander à être mis en relation avec son réseau grâce à des questions comme :

  • qui connaissez-vous dans vos contacts qui serait susceptible d’avoir besoin de nos produits et services ?
  • qui dans vos contacts serait intéressé de bénéficier d’une croissance de 30 à 35 % du chiffre d’affaires sans avoir à courir après les clients ?

Je ne vais épiloguer sur le sujet. Mais cette compétence d’un vendeur permet de profiter de chaque occasion, de chaque action commerciale, pour développer un réseau solide et nouer des relations commerciales profitables.

C’est beaucoup plus facile évidemment avec vos clients existants lorsqu’ils sont satisfaits, et que l’expérience client est réussie, de leur demander à être mis en relation avec leur réseau, afin qu’ils vous présentent des personnes qui souhaitent obtenir les mêmes résultats qu’eux.

Gardez simplement en tête qu’il y a autant de manières de le faire, que de contexte. Et ça peut être utilisé avec des clients comme avec des prospects. Ça peut même être fait avec vos amis, votre entourage proche…

Toute occasion est une occasion de pitcher et de nouer des relations pour tisser sa toile, développer son réseau et faire en sorte qu’au bout d’un moment, les personnes vous contactent naturellement pour faire du business. Parce qu’elles ont compris la valeur que vous pouvez leur apporter.

C’est ça la résultante quand vous avez une forte compétence dans la vente à nouer des relations. C’est vital pour les meilleurs vendeurs et vendeuses qui ont été identifié dans le top 1% mondial.


B) Les systèmes et stratégies de vente


Nous avons aborder les compétences d’un vendeur au niveau tactiques de ventes. Nous allons maintenant parler de la maîtrise des systèmes et stratégies de vente


8. Avoir un processus de vente basé sur des étapes


Huitième compétence en vente, c’est tout simplement la capacité à bâtir, à comprendre et à exécuter un processus de vente basé sur des étapes. Comprenez que dans la vente, la conclusion est une suite logique d’interrupteurs à activer…

Pour atteindre ce résultat logique, les meilleurs vendeurs au monde savent planifier dans leur plan de vente ces interrupteurs commerciaux. Et ils sont en capacité de les dérouler et de les exécuter en bonne intelligence commerciale situationnelle.

Ainsi, quand vous êtes dans ce cas de figure, peu importe la typologie du client que vous avez en face de vous. Peu importe le contexte… si c’est de la prospection téléphonique, du cold emailing, de la vente sur un salon, si c’est du lead entrant via le marketing de contenu

Quand vous avez cette capacité à vous repérer dans le processus de vente, vous disposez d’une grille de lecture qui vous permet de savoir exactement où vous en êtes. Et où vous devez aller, par quelles étapes il faut passer pour activer le closing de la vente.


9e compétence dans la vente : maîtriser les outils CRM


Neuvième compétence en vente, c’est la maitrise des outils CRM (= gestion de la relation client). Ça veut dire quoi ? Ça veut dire, comprendre ce qu’est le pilotage commercial. Comprendre comment fonctionne la gestion des ventes et du pipeline commercial afin d’en tirer le meilleur profit.

Cela passe bien évidemment par l’utilisation d’outils d’aide à la vente. Car il existe aujourd’hui des outils qui facilitent la vie comme NoCRM, qui permet de visualiser :

  • où on se trouve à chaque étape du pipeline des ventes
  • quel est l’historique et quelles sont les infos stratégiques pour avancer à la prochaine étape
  • quelle est la valeur et le potentiel business de ce client
  • quelle est la probabilité de conclure avec lui, sous quel délai
  • etc.

Un CRM permet de maitriser les statistiques clés comme les différents taux de conversion afin de savoir qu’on est en train d’avancer doucement, mais sereinement vers la conclusion en générant plus de business à la fin de la semaine, à la fin du mois, à la fin de l’année pour atteindre les objectifs commerciaux.

Une des qualités des meilleurs vendeurs passe donc par la maitrise de ces outils CRM. Et la capacité à lire les tableaux d’analyse / prévision, de savoir-faire du reporting aux manager commercial et à sa direction.

Voilà ce que l’on entend par la maitrise des outils CRM.

Car aujourd’hui, le pilotage commercial est devenu vital. On ne peut plus se contenter d’être un bon vendeur. Il faut savoir gérer et piloter l’activité commerciale dans le temps pour générer des ventes stables, prévisibles et durables.


10. Les meilleurs vendeurs maîtrisent le social selling


Dixième compétence dans la vente que partagent les meilleurs vendeurs au monde, c’est la maîtrise du social selling (= vente sociale). Qu’on le veuille ou non, nous sommes à l’aire du digital. La vente et les processus d’achat ont profondément changé ces 20 dernières années.

Chaque vendeur, chaque commercial est son propre ambassadeur au travers ce que l’on appelle son personal branding ( = sa marque personnelle). C’est l’une des vitrines de son entreprise sur les réseaux sociaux et professionnels.

Les meilleurs vendeurs savent donc faire du personal branding. Ils savent communiquer sur leurs réseaux. Et savent utiliser les outils de prospection et de communication comme LinkedIn pour se présenter et connecter avec des décideurs, des influenceurs de leur marché, afin de participer et nourrir des échanges, publier des contenus à valeur ajoutée… ce qui les rend omniprésents sur leur marché cible.

Ainsi, ils s’assurent de générer des opportunités commerciales de manière régulière. Pourquoi ?

Parce que si votre profil est bien fait, si vous publiez du contenu marketing à valeur ajoutée, si vous participez activement, et que vous êtes proactif aux discussions sur les centres d’intérêt dans des groupes ciblés, alors vous allez vous faire remarquer.

Et tôt ou tard, les gens qui ont besoin de vos produits et services vont se mettre à vous contacter. Ou à répondre à vos sollicitations entrantes de demande de contact.

Les personnes qui ne sont pas directement intéressées, mais qui connaissent des gens ayants besoin de vos produits et services, vont spontanément et naturellement penser à vous.


Le social selling est une compétence en vente à part entière


C’est la raison pour laquelle la maîtrise de la vente sociale / du social selling est devenu vitale aujourd’hui pour exceller commercialement.

Nous avons maintenant passé les compétences en vente plutôt « techniques« . Passons donc aux compétences commerciales qui sont plutôt orientées « mindset ».

C’est à dire de l’ordre de la psychologie commerciale !

Vous allez découvrir cette qualité qu’ont les meilleurs vendeurs à développer une psychologie commerciale gagnante propice à la performance commerciale. Attaquons tout de suite avec « la volonté de vendre« .


C) La volonté de vendre


11e compétence d’un vendeur : un fort désir d’avoir du succès


La onzième compétence et qualité d’un bon vendeur, c’est tout simplement un fort désir d’avoir du succès dans la vente. Dit comme ça, ça peut paraitre banal, basique… mais pas du tout !

Car cela veut dire que c’est inscrit profondément en lui. Ca fait partie de lui, ça l’anime. C’est tellement fort au quotidien que ça se retranscrit sur chaque action commerciale.

Les meilleurs vendeurs et vendeuses vont ainsi mener les actions commerciales nécessaires au quotidien. Peu importe la douleur, le degré de persévérance, les échecs, les rejets…

Le désir d’avoir du succès en vente est tellement fort que ça les pousse à continuer à mener les actions nécessaires dans la durée. Et ce, jusqu’à l’obtention des résultats commerciaux escomptés.

Donc, le niveau de désir que vous avez à réussir dans la vente conditionnera votre niveau de résultat dans votre carrière commerciale. Posez-vous la question. Aujourd’hui, sur une échelle de 1 à 10 : quel est votre désir de réussite dans la vente ?

Si ce désir n’est pas encore à 10/10 vous avez matière à travailler sur ce sujet.

Posez-vous les bonnes questions :

  • pourquoi faites-vous ce métier ?
  • pourquoi êtes-vous dans la fonction commerciale ?
  • quelles sont les motivations profondes qui vous animent quand vous vous levez le matin ?
  • et qu’est ce qui vous pousse à vouloir poursuivre dans le métier de commercial ?

Peut-être que cette réflexion vous permettra de monter d’un cran le niveau de désir que vous avez à avoir du succès dans la vente. Parce que c’est vital comme compétence dans la vente.


12e compétence commerciale clé : maintenir un haut niveau d’engagement


12e qualité d’un bon vendeur, c’est un fort engagement pour avoir du succès dans la vente. Cela peut paraitre assez subtil vis à vis de la 11e compétence de vente qui concerne le désir d’avoir du succès. Mais le désir et l’engagement ne sont pas la même chose.

On peut désirer avoir une Porsche sans jamais rien faire pour avoir les moyens de l’acheter. Vous voyez la nuance ?

Le désir d’avoir du succès dans la vente, c’est l’envie de réussir, c’est ce qui nous anime. Alors que l’engagement, ce sont les actions que vous effectuez au quotidien pour y parvenir.

Vous pouvez donc avoir envie d’obtenir du succès, mais si vous ne faites pas ce qu’il faut au quotidien ça ne marchera pas. Par exemple, si vous avez du mal à décrocher votre téléphone pour prospecter des clients ou à faire suffisamment de rendez-vous commerciaux, alors ce sera compliqué d’atteindre les résultats.

Si vous n’êtes pas totalement engagé, et que vous faites les choses en dilettante, alors vous ne connaitrez jamais le succès escompté.

La notion de « fort engagement » se résume ainsi :

  • Êtes-vous prêt à TOUT ?
  • Êtes-vous prêt à mener TOUTES les actions nécessaires pour obtenir les résultats qui vous font rêver ?
  • Est-ce que vous êtes prêt à mener ces actions aussi longtemps que nécessaire ?
  • Est-ce que votre engagement à mener ces actions est beaucoup plus fort que celui de regarder une série sur Netflix le soir, ou que de passer du temps avec vos amis ou en famille le week end ?

Comment mesurer son degré d’engagement dans la vente ?


C’est ça la question ultime à vous poser : est-ce que votre engagement est tellement fort que tout le reste passe au second plan ?

Car c’est un fait avéré. Au démarrage (et même après) les meilleurs vendeurs au monde ont un niveau d’engagement qui va bien au-delà de la masse des autres commerciaux et vendeurs qui agissent en concurrence sur le marché.

Ils ont l’habitude de faire ce que les autres ne font pas !

Voici quelques exemples :

  • Faire des tâches ingrates ! Quand j’étais responsable de secteur chez Heineken Entreprise, il m’arrivait régulièrement d’aider les gestionnaires de rayon à vider l’arrivage de palettes de marchandises le matin et à mettre en rayon les produits (les miens et ceux de la concurrence) pour développer le relationnel. C’était pourtant leur travail, et non le mien. Pour réussir, changez votre état d’esprit …
  • Faire plus d’heures que les autres (commencer plus tôt / finir plus tard). Idem, quand j’étais dans l’agroalimentaire je saisissais toutes les occasions de réimplanter un rayon (le matin avant ouverture, entre midi et deux, la nuit…) afin de gagner quelques centimètres de visibilité pour mes produits. Il n’y a pas de petites victoires… Ce qui fait la différence entre le n°1 et le n°2 c’est parfois juste quelques centimètres ou quelques secondes !
  • Avoir une résistance à l’échec plus forte que les autres. Quand j’ai démarré le blog technique de vente, j’ai été copié / plagié. On m’a volé des clients. Peu importe, plutôt que de m’apitoyer j’ai doublé mes efforts pour produire plus de contenu, du contenu de meilleure qualité, répondre à toutes les demandes parfois même gratuitement. Aujourd’hui, je suis devenu leader dans mon domaine et ce n’est pas de la chance, ni du hasard.

Voilà, quelques exemples de ce que j’appelle un engagement fort à réussir dans la vente !

Encore une fois, je vous invite à vous auto évaluer sur une échelle de 1 à 10. Où situez-vous votre engagement à avoir du succès dans la vente actuellement ?

Soyez honnête envers vous même. C’est la base pour établir un plan d’action commercial solide et développer ses compétences en vente.


13. Pour avoir du succès en vente, il faut une forte motivation


Treizième compétence commerciale indispensable, c’est la motivation intrinsèque. C’est-à-dire, sans que votre manager ou votre entreprise n’ait besoin de vous motiver ou de vous rappeler ce que vous avez à faire.

Quel est votre niveau de motivation personnelle ?

Quel est votre niveau d’enthousiasme au quotidien pour aller au charbon et :

  • prendre des contacts, passer les coups de téléphone / appels de prospection qui sont nécessaires ?
  • poster tous les jours des contenus sur les réseaux sociaux / faire du social selling comme on l’a vu plus haut ?
  • vous rendre à des networking / des salons alors que rien ne vous y oblige ?
  • aller rencontrer des clients le week-end alors que vos collègues et vos concurrents sont en train de se détendre ?

Quand on parle de motivation profonde, c’est ça !

Quel est votre degré de motivation, d’enthousiasme, de punch pour effectuer ces tâches que vous avez à effectuer au quotidien sans rechigner et sans le vivre comme une contrainte ?

Encore une fois, cela fait une différence significative en termes de performance commerciale. Et les meilleurs vendeurs au monde ont un degré de motivation bien supérieur aux autres.


14e compétence des meilleurs vendeurs : un moral à toute épreuve


La 14e qualité d’un bon vendeur / vendeuse, c’est d’avoir un moral au beau fixe quoiqu’il arrive. Vous voyez, tout est lié en fin de compte. Cela fait le lien avec ce que je disais précédemment. Mais avoir un « bon moral » c’est quoi exactement ?

C’est tout simplement avoir la patate, avoir la niaque ! C’est avoir une stabilité au quotidien dans votre niveau d’énergie, d’enthousiasme de leadership.

Donc, il faut muscler son mental pour continuer à percevoir les choses positivement, peu importe ce qu’il se passe dans l’action commerciale et dans votre vie perso.

C’est quelque chose de vital car l’activité commerciale est celle qui confronte plus qu’aucune autre à l’échec et au refus. Cela peut donc user lentement (ou même broyer) les acteurs commerciaux fragiles qui ne développent pas cette compétence en vente indispensable.

Les meilleurs vendeurs et vendeuses au monde ont un moral à toute épreuve. C’est un fait incontestable si l’on analyse les statistiques !


15e compétence en vente : prendre ses responsabilités


La 15e compétence des meilleurs vendeurs au monde, c’est la capacité à être responsable de ses résultats. Et là, on touche du doigt un des syndromes que 99 % des commerciaux ont en commun. Il s’agit du syndrome de l’excusite ! Kesako ?

C’est la capacité à rejeter systématiquement la faute sur le marché, la concurrence, les produits qui ne sont pas assez bons, les clients qui ne comprennent pas, etc.

Cette posture psychologique consiste à se chercher tout un tas d’excuses pour justifier les faibles performances commerciales et économiques.

Or, les meilleurs vendeurs au monde ont cette capacité à assumer leur part de responsabilité. Si les résultats commerciaux n’ont pas été atteints, c’est tout simplement parce qu’il y a dans l’analyse du processus de vente et des actions commerciales menées, des choses qui ont probablement fonctionné. Mais surtout des choses qui ont été mal ou partiellement exécuté.

Il y a donc des axes d’amélioration dont on est directement responsable en tant que vendeur. Et cette prise de responsabilité permet d’assumer et de repartir du bon pied afin d’enclencher un plan d’action correctif / des actions commerciales correctives.

Ainsi, en recalibrant les objectifs commerciaux on peut finir par les atteindre.

Alors que celui qui reste câblé sur le syndrome de l’excusite ne pourra pas évoluer puisqu’il cherche la faute ailleurs que sur lui-même. Malheureusement, si les résultats ne sont pas au rendez-vous, vous en êtes probablement responsable (au moins en partie).

Donc, assumez-le et prenez le plus rapidement possible le contrepied. Cette compétence dans la vente est également indispensable pour réussir.


Comment réagir aux résultats en vente ?


  • voyez comment contrebalancer les choses
  • modifiez votre attitude
  • voyez comment vous former et comment améliorer les techniques commerciales qui font défaut
  • entrainez-vous pour être plus efficace
  • voyez comment augmenter votre énergie / votre enthousiasme
  • et voyez comment muscler votre « mindset » (votre état d’esprit)

Vous allez voir que si vous faites tout ça… si vous assumez vos responsabilités, alors vous allez systématiquement repartir du bon pied. Ce n’est qu’une question de temps. Vous allez obtenir les résultats que vous méritez, et vous rejoindrez le cercle fermé des tops vendeurs.


D) L’ADN de vente


Le meilleur pour la fin. Nous attaquons une de mes parties préférées : l’ADN de Vente. Rien à voir avec l’ADN humain et les génomes. Là on parle bien d’ADN de vente.

Il s’agit de prédispositions mentales. Et de qualités mentales qui peuvent se développer en tant que compétence de vendeur / vendeuse.

J’irai même jusqu’à dire qu’il s’agit d’un muscle mental. Puisque vous pouvez vraiment renforcer cette capacité en travaillant consciemment dessus chaque jour. Passons au crible les 6 compétences clés liées à l’ADN de vente que partagent les meilleurs vendeurs au monde.


16e compétence d’un vendeur d’élite : s’affranchir du besoin d’approbation 


16e compétence des meilleurs vendeurs au monde, c’est la gestion du besoin de l’approbation. Les meilleurs vendeurs n’ont pas besoin de l’approbation des prospects et clients.

Le besoin d’approbation, c’est quoi ?

C’est tout simplement le besoin de plaire à ses prospects et clients, à ses partenaires. C’est le besoin de vouloir éviter les conflits, le besoin de vouloir éviter la discorde et donc de rester trop consensuel.

Ce besoin d’approbation exacerbé chez la plupart des acteurs commerciaux peut vous freiner dans chaque action commerciale et dans votre technique de vente en général. Comment cela se manifeste ?

Peut-être que :

  • vous n’allez pas oser poser des questions difficiles (dérangeantes) pour véritablement comprendre les enjeux / douleurs du client ?
  • peut-être que vous n’allez pas oser répondre aux objections au risque de contredire certains propos ?
  • vous allez retarder le moment de conclure par peur d’être mal vu ?
  • et mettre un petit peu plus de temps que les autres lorsqu’il s’agit de décrocher votre téléphone et de prospecter ?

Alors que les vendeurs qui n’ont pas besoin d’approbation sont fluide et exécutent très rapidement leur plan de vente. Pourquoi cette différence ?

Parce qu’ils sont concentrés sur les moyens à mettre en oeuvre, et les objectifs de moyens, pour atteindre les résultats attendus. Ils n’ont pas spécialement besoin que leurs clients les trouvent « sympa ».

Ils ont simplement besoin d’être considérés comme des professionnels de la vente, ou des pros dans leur domaine.

Un spécialiste, un chirurgien orthopédique par exemple, ne cherchera pas votre sympathie. Il cherchera simplement à diagnostiquer comment il peut vous aider du mieux qu’il peut à solutionner votre problème en faisant le meilleur travail possible. Il va chercher les meilleures solutions, avant de chercher à être « sympa ».

Les meilleurs vendeurs au monde partagent cette compétence en vente. Car bien faire leur travail est plus important que d’être apprécié !


17e compétence en vente : le contrôle des émotions


17e compétence en vente : c’est le contrôle des émotions. Comme on l’a évoqué plus tôt, la vente est un métier qui confronte plus qu’aucun autre à l’échec.

Le contrôle des émotions, ça veut donc dire encaissé le choc quand on est confronté à un NON.

Qu’il s’agisse d’un « non » qui a été verbalisé, ou bien d’un « non » tacite. C’est-à-dire quelqu’un qui devait vous rappeler par exemple, mais qui ne rappelle pas. Ou alors, c’est un mail qui est resté sans réponse. Des demandes de contact sur LinkedIn qui sont en suspens depuis un moment…

Bref, vous avez compris !

Le contrôle des émotions, c’est développer sa capacité à ne pas supposer. A ne pas sombrer dans cette tendance humaine contre productive qui consiste à prendre pour argent comptant l’hypothèse la plus négative :

  • S’il n’a pas répondu, c’est qu’il n’est pas intéressé…
  • Il ne m’a pas rappelé, c’est qu’il a changé d’avis…
  • S’il n’a pas accepté mon invitation c’est qu’il m’évite…

Comment maitriser ses émotions dans la vente ?


Dans tous ces cas de figure, le but du jeu en contrôlant ses émotions c’est de ne pas supposer. Et de continuer à mener les actions qui sont nécessaires.

C’est de continuer à suivre son le processus de vente étape par étape, et de prendre la température avec objectivité tout simplement.

Si vous n’avez pas eu de réponse, votre job commercial c’est quoi ? C’est de revenir vers le client pour lui demander où il en est et comment il envisage la suite… Ni plus, ni moins !

Demandez-lui simplement quel est le meilleur timing pour reprendre les échanges, et ce, sans aucune supposition.

Puisqu’il y a autant de raisons et de probabilités qu’il n’ait pas envie de continuer à échanger avec vous, qu’il ait eu un empêchement…

Parfois, à l’inverse, certains acteurs commerciaux pensent signer une affaire en se basant sur des suppositions et des interprétations trop hâtives basées encore une fois sur de l’émotionnel pur. Et cela ne se concrétise pas dans les faits.

Ca leur porte tout autant préjudice émotionnellement !

Donc, la compétence d’un vendeur liée au contrôle des émotions consiste à rester câblé sur les faits en toute objectivité sans jamais sombrer dans la négativité ou l’excès d’optimisme.


18e compétence commerciale clé : balayer ses croyances limitatives


18 compétence en vente, c’est l’absence de croyances limitatives. Les meilleurs vendeurs au niveau mondial partagent des croyances qui viennent supporter la vente.

Quand on parle de croyances limitatives, de quoi s’agit-il ?

Pour avoir accompagné des centaines de vendeurs en coaching commercial, voici quelques exemples qui reviennent souvent :

  • ceux qui pensent que leur produit n’est pas fait pour tel ou tel type de clients
  • les vendeurs qui supposent qu’appeler à tel moment de la journée, ça n’est pas propice parce que c’est dérangeant
  • ceux qui pensent que les meilleurs jours pour la prospection commerciale c’est le mardi ou le jeudi
  • ceux qui pensent que si vous n’avez pas conclu en 2 rendez-vous, c’est foutu parce que les statistiques disent que vous devez conclure en 2 rendez-vous et pas en 3…

Tout ça, c’est peut-être vrai pour une personne, sur un marché en particulier, ou dans un contexte précis… Mais avez-vous la certitude que c’est vrai pour tout le monde, et surtout pour vous dans votre situation spécifique aujourd’hui (et pas hier) ?

La vérité, c’est qu’il y a tout un tas de croyances limitatives qui bloquent les gens dans leurs actions commerciales du quotidien. Alors, comment faire la différence ?

Soyez simplement mobilisé sur des croyances qui viennent supporter la vente. Et vérifiez par vous même en étant dans l’action !


Exemple de croyances qui viennent supporter la vente


  • Fiez-vous à un processus de vente sur lequel vous appuyer

Si vous n’en avez pas, commencez par en créer un. Ce processus de vente génère un certain niveau de performance commerciale si l’on analyse les chiffres de votre CRM (si vous en utilisez un, sinon il faut le faire).

Donc, si vous vous donnez les moyens de le dérouler étape par étape sans faire de suppositions, il fera le travail naturellement pour trier le bon grain du mauvais grain. Contentez-vous d’exécuter ce qui marche et de mesurer les résultats factuellement.

Besoin d’un autre exemple de croyances qui viennent supporter la vente ?

  • Le meilleur moment de signer pour un client, c’est quand il est prêt et quand il l’aura décidé. Pas avant, ni après !

Donc, ça veut dire que vous devez reprendre contact avec lui jusqu’à ce qu’il vous dise OUI ou un NON définitif.

Ne supposez à sa place le NON…

  • Continuons avec une nouvelle croyance : un NON temporaire n’est pas forcément un NON définitif.

Prévoyez une action de reprise de contact dans X semaines ou mois au sein de votre pipeline des ventes pour vérifier si ce qui est vrai aujourd’hui l’est toujours demain !

  • Allez, encore une dernière pour la route : les prospects ne vont pas tomber tout seul !

Il faut mener des actions. Il faut passer des appels, se présenter à des networkings, envoyer des emails, poster des contenus sur les réseaux sociaux. Bref, il faut mener des actions, et être proactif pour amorcer la pompe. Ensuite, peut-être plus tard, la rançon du succès fait que certains clients viendront peut-être tout seul !


Voilà ce que sont les croyances qui viennent supporter la vente


Donc, à chaque fois que vous doutez de quelque chose au quotidien parce que vous êtes confronté à une difficulté – et vous allez en rencontrer, c’est normal car ça fait partie du quotidien commercial – demandez-vous si c’est fondé ? Si c’est rationnel ? Si vous êtes réellement confronté à quelque chose de bloquant, de définitif, de déterminant ?

Ou au contraire, si ce n’est pas plutôt le fruit de votre imagination (non fondé, temporaire), et que vous pouvez passer outre pour continuer à mener les actions nécessaires que vous devez mener pour obtenir du résultat.

Vous verrez qu’après avoir balayé toutes les croyances négatives qui nous polluent tous au quotidien, vous allez vous sentir plus libre, léger, et vous obtiendrez mécaniquement plus de résultats !

Les croyances négatives, il faut que ça devienne une compétence inconsciente et que vous puissiez les balayer assez rapidement. A partir du moment où vous balayez tout ce qui n’est pas réellement fondé, pas définitif, et pas personnel, alors vous pouvez avancer plus vite vers l’atteinte de vos objectifs business.


19. Les meilleurs vendeurs ont des habitudes d’achat qui supportent la vente


19e qualité des meilleurs vendeurs au monde, c’est d’avoir des habitudes d’achat qui viennent supporter la vente. Qu’est-ce que l’on entend par là ?

En fait, on a tendance à vendre comme l’on achète !

Donc, posez-vous la question et essayez de réfléchir. Comment vous comportez-vous lorsque vous achetez un produit ou un service ? Dans quel état d’esprit vous êtes ? Qu’est-ce que vous acceptez / n’acceptez pas ?

Prenons quelques exemples concrets :

  • peut-être que vous avez l’habitude de tout négocier lorsque vous achetez ?
  • avez-vous besoin de tout comparer et de prendre beaucoup de temps avant d’acheter ?
  • peut-être que vous n’êtes pas prêt à mettre un certain niveau de prix pour vous payer la meilleure qualité du marché ?
  • peut-être que vous n’avez jamais investi sur vous-même pour développer vos compétences commerciales ?

Alors, comprenez simplement que lorsque vous serez dans la même situation pour vendre quelque chose à quelqu’un qui nécessite un budget conséquent, ou qui nécessite que votre client investisse sur lui-même, ou encore qui nécessite une prise de décision rapide, vous aurez tendance à accepter de la part de votre client qu’il prenne une décision lentement.

Vous aurez tendance à accepter qu’il vous dise « c’est trop cher » sans broncher. Vous aurez tendance à accepter qu’il veuille négocier les tarifs sans demander de contreparties…

Pourquoi ? Parce que vous procédez pareil lorsque vous êtes en situation d’achat. Pourtant, vous n’êtes pas dans la peau de votre client…


Comment travailler cette compétence en vente pour devenir un bon vendeur ?


Si vous rencontrez ce type de problématiques dans la vente, peut-être que vous devriez préalablement corriger vos habitudes d’achat. Vous devriez revoir un petit peu la manière dont vous achetez au quotidien.

Sinon, il y aura une dissonance cognitive qui vous bloquera inconsciemment.

Prenons un exemple concret. Il va être difficile de vendre des solutions à 10k€, 20k€, 25k€ si vous-même, vous n’avez jamais investi 10 / 20 / 25 mille euros dans un produit et service. Vous comprenez ?

Il y a une incongruence qui s’installe dans votre esprit : vous n’êtes pas aligné !

Et votre interlocuteur le percevra (consciemment ou pas) et il vous le retranscrira sous forme d’objections commerciales. Ce sont les neurones miroirs qui font ça… c’est naturel.

Donc, travaillez sur vos habitudes d’achat pour être aligné sur vos habitudes de vente.

Ce que vous voulez récolter auprès de vos clients, vous devez commencer par le semer lorsque vous êtes en posture d’acheteur. C’est aussi simple que ça pour augmenter ses compétences en vente à ce niveau !


20e qualité d’un bon vendeur : être à l’aise pour discuter d’argent


20e compétence dans la vente : c’est la facilité à discuter d’argent. Encore un très grand nombre de vendeurs ont peur d’aborder la question du prix. Ils ont peur de parler du budget. Ils fuient ça à tel point qu’ils se retrouvent à gérer des objections prix qui sont liées au budget car il les ont eux mêmes créées.

Les meilleurs vendeurs au monde sont à l’aise avec la notion de budget / d’argent / d’investissement.

Ils sont même tellement à l’aise qu’ils sont proactifs dans leur plan de découverte (leur diagnostic) et vont eux-mêmes demander quel est le budget du client ?

ils demanderont au client de se plonger dans le passé, quand il a été confronté à ce type de situation et qu’il à dû effectuer des choix, quel est le budget qu’il a investi ? Quel est le retour sur investissement qu’il en a obtenu ?

Ils vont être à l’aise pour demander quel est le coût des conséquences négatives : quel est le coût de ne rien faire ?

Toutes ces notions qui sont liées à l’argent, à l’investissement, au budget, elles ne doivent pas vous freiner. Pourquoi ?

Parce que les meilleurs vendeurs au monde sont à l’aise, et c’est la raison pour laquelle ils discutent à bâton rompu de ces éléments avec leurs clients. Et ça permet de prendre des décisions beaucoup plus rapidement.

Parce qu’une fois que le client a compris ce qu’il a à gagner, qu’il arrive à le chiffrer, à le quantifier, et qu’il sait quel est le coût des conséquences négatives (s’il se trompe), ainsi que le coût de ne rien faire… alors ça n’est plus qu’une simple équation mathématique à résoudre.

Et la plupart des clients, lorsque cette équation est à leur avantage, arrivent facilement à prendre des décisions rapides.

Donc, si vous n’allez pas sur ce terrain aujourd’hui, mécaniquement, vous allez vous retrouver avec des problématiques liés à l’argent in fine. Encore une fois, les neurones miroirs jouent avec ou contre vous ! La balle est dans votre camp…


21e compétence d’un vendeur d’élite : savoir gérer le rejet


Enfin, la 21e qualité d’un vendeur d’élite, et non des moindres, c’est la gestion du rejet. Pourquoi ?

Parce qu’on est dans une activité où le 100 % de transformation n’existe pas. C’est normal, cela fait partie intégrante de l’activité commerciale d’un vendeur et d’une vendeuse de se voir opposer des rejets et des refus.

D’ailleurs, je ne considère jamais un rejet comme définitif. Pour moi, tout est une question de rejet temporaire. Un client qui dit non maintenant dans l’immédiat ne dira pas forcément non dans 3 mois, 6 mois ou un an.

Qu’en sait-on au final ?

L’histoire me l’a prouvé, et c’est encore souvent le cas. Les clients que vous n’avez pas signé aujourd’hui, vous les signerez peut-être demain dans un autre contexte, ou dans un autre timing.

Donc, cette gestion du rejet, cette capacité à ne pas le prendre personnellement, à ne pas le vivre difficilement, et cette capacité à l’extérioriser comme je viens de vous le dire, pour en faire quelque chose de non permanent, de non personnel, de temporaire… ça vous permettra de supporter avec facilité et avec plus de légèreté les aléas de l’activité commerciale !

Cette compétence en vente clé vous permettra d’écarter plus facilement les personnes avec qui ça n’est pas le bon moment. Ou bien ça n’est pas le bon timing, et ceux pour qui le produit n’est pas forcément le mieux adapté pour eux. Ceci afin de mieux vous concentrer sur les bonnes affaires : les bons clients, au bon endroit, au bon moment.

Cela vous permettra d’avoir une réelle valeur ajoutée à leur apporter. Et votre pipeline des ventes vous en remerciera. Pourquoi ?

Parce que les prospects qui sont au bon endroit, au bon moment avec vous, et pour lesquels vous avez la bonne solution, ce sont des affaires qui se signent vite.

Et plus vite vous signez ces affaires, plus vite vous enclenchez une dynamique de réussite. C’est un effet boule de neige qui vous regonfle le moral, et votre niveau de motivation.

Au niveau mindset, c’est cela qui vous permet de ne même plus vous laisser affecter par le rejet. C’est comme si vous étiez imperméable, avec votre propre parapluie contre les rejets des clients.

Tout ricoche, et plus rien ne vous arrête en direction du succès commercial !


Résumé : Les 21 compétences en vente et qualités des meilleurs vendeurs





J’ai vraiment pris plaisir à partager avec vous ces 21 compétences en vente et les qualités des meilleurs vendeurs au monde. C’est un sujet dont on pourrait parler pendant des heures tellement c’est important pour avoir du succès commercial.

Vous pouvez à présent prendre ces quelques informations et modéliser ces compétences clés pour essayer de rejoindre le cercle fermé du top 1% des meilleurs vendeurs et vendeuses au monde.

Maintenant, comme évoqué au début de cet article, vous pouvez aussi passer l’évaluation commerciale Objective Management Group pour mesurer précisément votre degré de compétence en vente.

Cela revient à prendre une photo de votre niveau commercial actuel au prisme des millions d’acteurs commerciaux qui ont déjà été évalués.

En vous mesurant à la crème de la crème parmi + de 2 millions de vendeurs et vendeuses dans le monde, vous saurez quels sont vos points de forces. Mais aussi quels sont vos points faibles grâce à une évaluation commerciale précise et scientifique de 29 pages.

Ainsi, vous saurez quel est le cheminement et quel est le plan d’action pour booster votre performance commerciale. Bien sûr, pour prendre un raccourci vers le succès vous êtes libre de suivre l’une ou l’autres de nos formations commerciales pour muscler les compétences en vente nécessaires à votre succès !


indicateurs commerciaux

Quels sont les indicateurs commerciaux à suivre ? Qu’est-ce qu’un indicateur de performance commerciale et à quoi ça sert ? Vous allez tout savoir sur le sujet…

Dans le monde compétitif des affaires, mesurer la performance commerciale est essentiel pour assurer le succès d’une entreprise. Les entrepreneurs et les commerciaux cherchent constamment à comprendre comment leur équipe performe et où des améliorations sont nécessaires. C’est là qu’interviennent les indicateurs de performance commerciale, souvent abrégés en IPC ou KPI (Key Performance Indicator).

Dans cet article, nous plongerons dans l’univers des KPI commerciaux. Nous explorerons en profondeur ce qu’ils sont, pourquoi ils sont importants, et surtout, quels sont les indicateurs commerciaux à surveiller. Que vous soyez un entrepreneur cherchant à booster votre activité ou un commercial souhaitant exceller dans votre domaine, ce guide est fait pour vous.


Qu’est ce qu’un indicateur de performance commerciale ?


Un indicateur de performance commerciale est une métrique ou un ensemble de métriques utilisées pour évaluer et mesurer la performance d’une équipe commerciale, d’un département commercial ou de l’ensemble d’une entreprise dans le domaine des ventes et du marketing. Ces indicateurs fournissent des données quantitatives et parfois qualitatives permettant de comprendre à quel point une entreprise atteint ses objectifs commerciaux, sa rentabilité, son efficacité opérationnelle et sa compétitivité sur le marché.


A quoi servent les Indicateurs de Performance Commerciale (IPC) ?


  1. Évaluer la performance : Les IPC permettent de mesurer la réussite ou l’insuccès des actions commerciales et des stratégies marketing. Ils offrent une vision objective de la performance globale.
  2. Prendre des décisions informées : En analysant les IPC, les dirigeants et les responsables commerciaux peuvent prendre des décisions éclairées pour optimiser les opérations, allouer des ressources de manière plus efficace et ajuster les stratégies.
  3. Fixer des objectifs et suivre la progression : Les IPC aident à définir des objectifs spécifiques et mesurables, ce qui permet de suivre la progression vers leur réalisation.
  4. Identifier les opportunités d’amélioration : L’analyse des IPC permet de repérer les domaines où des améliorations sont nécessaires. Par exemple, un faible taux de conversion peut indiquer un besoin d’optimisation dans le processus de vente.
  5. Mesurer la rentabilité : Certains IPC, tels que la marge brute ou le coût d’acquisition client, permettent de calculer la rentabilité des activités commerciales.
  6. Favoriser la compétitivité : En surveillant les IPC, une entreprise peut rester compétitive en ajustant ses stratégies en temps réel pour répondre aux changements du marché.

Il existe de nombreux indicateurs de performance commerciale. Qu’ils soient quantitatifs (exprimés en chiffres) ou qualitatifs (portant sur des aspects non numériques tels que la satisfaction client). Le choix des indicateurs commerciaux à suivre dépend des objectifs spécifiques de l’entreprise et de son secteur d’activité.

En résumé, les IPC sont des outils essentiels pour mesurer, améliorer et optimiser la performance commerciale. Ce qui contribue à la croissance et au succès de l’entreprise.


Pourquoi suivre les KPI commerciaux ?


Les KPI commerciaux, ou indicateurs de performance commerciale, sont comme le tableau de bord d’une entreprise. A l’image d’une voiture, sans tableau de bord à portée de vue, il sera difficile d’arriver à destination en évitant les pannes et accidents…

Les indicateurs commerciaux sont des mesures quantitatives et qualitatives qui évaluent la réussite d’une équipe commerciale, d’un département ou même de l’ensemble d’une entreprise. Ils offrent une vue d’ensemble précise de la santé financière de l’entreprise et de sa capacité à atteindre ses objectifs. Les KPI commerciaux peuvent être personnalisés en fonction des besoins spécifiques de chaque entreprise, mais certains sont universellement reconnus. Et nous allons les voir un par un …


Quels sont les Indicateurs Commerciaux de Performance à suivre ?


Les indicateurs de performance commerciale sont la boussole qui guide les entreprises vers le succès. Voici un éventail complet des KPI commerciaux que chaque entrepreneur et commercial devrait connaître et surveiller attentivement pour évaluer la santé et la performance de leur entreprise. On va commencer par un listing, puis nous les détaillons ensuite …


Les indicateurs de performance commerciale quantitatifs


#Indicateur COMMERCIAL QUANTITATIF
1Chiffre d’Affaires (CA)
2Marge Brute
3Taux de Conversion
4Panier Moyen
5Durée du Cycle de Vente
6Taux de Churn (Taux d’Attrition)
7Coût d’Acquisition Client (CAC)
8Valeur de Vie Client (CLV ou LTV)
9Taux de Satisfaction Client
10Indice de NPS (Net Promoter Score)
11Taux d’Abandon de Panier
12Coût par Clic (CPC) et Coût par Acquisition (CPA)
13Taux d’Engagement Social
14Taux de Répétition des Achats
15Taux de Récupération des Paniers Abandonnés
16Taux de Retour Produits
17Taux de Renouvellement des Contrats
18Taux de Fermeture de Ventes
19Taux de Pénétration de Marché
20Taux de Rentabilité des Campagnes Marketing
21Taux d’Accès au Marché (Market Share)
22Taux de Rotation des Stocks
23Taux de Conversion des Appels à l’Action (Call-to-Action)
24Taux de Conversion des Visiteurs en Leads

Les indicateurs de performance qualitatifs


#Indicateur dE PERFORMANCE QUALITATIF
1Taux de Satisfaction Client
2Indice de NPS (Net Promoter Score)
3Taux de Réponse au Service Client
4Taux d’Engagement Social
5Taux de Conversion des Appels à l’Action (Call-to-Action)

Explication de chaque KPI commercial


1. Chiffre d’Affaires (CA)

Le Chiffre d’Affaires est l’indicateur financier le plus fondamental à connaître. Il représente la somme totale des ventes générées par l’entreprise sur une période donnée. Le CA est un pilier essentiel de la stabilité financière de l’entreprise et de sa croissance. Il peut être ventilé en chiffre d’affaires brut et net, en fonction des coûts déduits.


2. Marge Brute

La Marge Brute est un indicateur de performance mesure la rentabilité de chaque vente. Elle se calcule en soustrayant le coût des marchandises vendues (CMV) du chiffre d’affaires. Une marge brute élevée indique une bonne gestion des coûts de production ou d’achat des produits ou services. Ce qui est essentiel pour maintenir la rentabilité.


3. Taux de Conversion


Le Taux de Conversion est un indicateur commercial et marketing majeur qui suit la proportion de prospects qui se transforment en clients. Le suivi du taux de conversion à chaque étape du processus de vente permet d’identifier les points faibles de la conversion et d’optimiser les stratégies de vente.


4. Panier Moyen

Le Panier Moyen est un KPI qui indique la dépense moyenne d’un client lors d’une transaction. L’augmentation du panier moyen est un moyen efficace d’augmenter les revenus sans nécessairement attirer plus de clients. Cela peut être réalisé en proposant des produits ou services complémentaires (upselling, cross selling, down selling …)


5. Durée du Cycle de Vente

La Durée du Cycle de Vente mesure le temps nécessaire pour conclure une vente, de la première prise de contact à la finalisation. Un cycle de vente court indique une efficacité opérationnelle, tandis qu’un cycle long peut signaler des obstacles à la conversion. Il convient toujours de chercher à raccourcir le cycle de vente au maximum …


6. Taux de Churn (Taux d’Attrition)

Le Taux de Churn est un indicateur de performance commerciale qui mesure la perte de clients sur une période donnée. Il est essentiel de surveiller ce chiffre, car une attrition élevée peut avoir un impact négatif sur la croissance de l’entreprise dans le temps. Identifier les raisons du départ des clients permet de prendre des mesures correctives pour améliorer l’experience client.


7. Coût d’Acquisition Client (CAC)

Le Coût d’Acquisition Client représente le montant dépensé pour attirer un nouveau client. Il se calcule en divisant le coût total du marketing et de la vente par le nombre de nouveaux clients acquis sur une période donnée. Réduire le CAC tout en maintenant la qualité des clients est un objectif majeur pour la direction commerciale et financière.


8. Valeur à Vie du Client (CLV ou LTV)

La Valeur de Vie Client est une métrique cruciale pour évaluer la rentabilité à long terme d’un client. Egalement connu sous le nom de Customer Lifetime Value ou LifeTime Value, cet indicateur commercial mesure les revenus que l’entreprise peut attendre d’un client sur toute sa durée de vie. C’est à dire tant qu’il reste et achète chez vous. L’augmentation de la CLV / LTV passe par la fidélisation des clients et l’incitation aux achats récurrents.


9. Taux de Satisfaction Client

Le Taux de Satisfaction Client évalue la satisfaction globale des clients vis-à-vis de l’entreprise. Des clients satisfaits sont plus susceptibles de rester fidèles et de recommander vos produits ou services à d’autres, ce qui peut stimuler la croissance. Il convient pour cela de bien maîtriser les 4 équations de la satisfaction client.


10. Indice de NPS (Net Promoter Score)

L’Indice de NPS mesure la propension des clients à recommander votre entreprise à d’autres. Les promoteurs (qui donnent une note élevée) sont un atout précieux pour l’expansion de votre entreprise, tandis que les détracteurs (qui donnent une note basse) nécessitent une attention particulière. La recommandation commerciale étant l’un des facteurs clé de succès essentiels en entreprises.


11. Taux d’Abandon de Panier

Le Taux d’Abandon de Panier est un indicateur de performance commerciale essentiel pour les entreprises en ligne. Il mesure le nombre de visiteurs du site web qui quittent la page de paiement sans effectuer d’achat. L’optimisation de cette métrique peut augmenter les conversions de vos tunnels de vente.


12. Coût par Clic (CPC) et Coût par Acquisition (CPA)

Ces indicateurs de performance commerciales sont particulièrement importants dans le marketing en ligne. Le CPC mesure le coût par clic sur une annonce, tandis que le CPA mesure le coût pour acquérir un nouveau client grâce à une campagne publicitaire. Il existe aussi d’autres indicateurs commerciaux associés moins importants comme le CPM (Coût Par Mille impressions), le CPV (Coût Par Vue), etc.


13. Taux d’Engagement Social

Pour les entreprises actives sur les médias sociaux, le Taux d’Engagement Social mesure l’interaction des utilisateurs avec le contenu de l’entreprise. Il peut inclure des likes, des partages, des commentaires, etc.


14. Taux de Rétention des Employés

L’attrition des employés peut avoir un impact direct sur la performance commerciale. Le taux de rétention des employés mesure la fidélité de l’équipe et son moral. Sachant qu’un turn over important au sein de la force de vente va impacter les coûts de recrutement et donc la performance économique…


15. Taux de Réponse au Service Client

Cet indicateur commercial concerne les entreprises axées sur le service client, en mesurant la rapidité et l’efficacité de la réponse aux demandes des clients. Une réponse rapide est souvent associée à une meilleure satisfaction client. Ce qui entraîne naturellement des témoignages clients et des avis client positifs.


16. Taux de Conversion des Leads en Clients

Ce taux mesure la proportion de leads (prospects) qui deviennent effectivement des clients. Il peut aider à évaluer l’efficacité de la génération de leads et de la qualification des prospects.


17. Taux d’Utilisation des Stocks

Pour les entreprises ayant des stocks de produits, le taux d’utilisation des stocks indique la rapidité avec laquelle les stocks sont vendus ou utilisés. Une gestion efficace des stocks est essentielle pour maintenir des coûts bas et développer le chiffre d’affaires.


18. Taux de Répétition des Achats

C’est l’un des indicateurs de performance commerciale clés, qui mesure la fréquence à laquelle les clients effectuent des achats répétés. Les clients fidèles et récurrents sont souvent plus rentables à long terme que les nouveaux clients. C’est l’un des principaux leviers du développement commercial.


19. Taux de Récupération des Paniers Abandonnés

Pour les entreprises en ligne, ce taux mesure combien de paniers abandonnés sont récupérés grâce à des rappels (relance téléphonique ou email) ou des incitations, contribuant ainsi à augmenter les ventes.


20. Taux de Retour Produits

Le taux de retour produits mesure la proportion de produits vendus qui sont retournés par les clients. C’est un indicateur de performance sur la qualité des produits et la satisfaction des clients.


21. Taux de Renouvellement des Contrats

Pour les entreprises proposant des services par abonnement, le taux de renouvellement des contrats mesure la proportion de clients qui renouvellent leur abonnement à la fin de la période initiale. Il est essentiel pour maintenir une base de clients stable et pour augmenter la LTV. Utiliser un logiciel CRM pour assurer la bonne gestion relation client permet d’anticiper, garder le contact, et ne jamais laisser un client dans la nature …


22. Taux de Fermeture de Ventes (closing)

Le taux de closing mesure la proportion de prospects qualifiés qui deviennent clients, et c’est l’un des indicateurs commerciaux les plus important pour les équipes de vente afin d’évaluer leur efficacité. Les techniques de closing commercial ont un impact très fort sur le développement des ventes. C’est pourquoi le recrutement, la formation et le coaching commercial sont vitaux pour une équipe de vente performante.


23. Taux de Pénétration de Marché

Le taux de pénétration de marché mesure la part de marché que votre entreprise occupe par rapport au marché total. Il peut être un indicateur clé de la concurrence et des opportunités de croissance.


24. Taux de Rentabilité des Campagnes Marketing

Pour évaluer le retour sur investissement (ROI) des campagnes marketing, le taux de rentabilité des campagnes mesure les bénéfices générés par rapport aux coûts de marketing.


25. Taux d’Accès au Marché (Market Share)

Le taux d’accès au marché mesure la part de marché de votre entreprise par rapport à vos concurrents directs. Cet indicateur de performance commerciale peut indiquer la position de votre entreprise dans l’industrie.


26. Taux de Rotation des Stocks

Pour les entreprises ayant des stocks, le taux de rotation des stocks mesure combien de fois les stocks sont renouvelés ou vendus au cours d’une période. Une rotation rapide réduit les coûts de stockage et augmente les ventes.


27. Taux de Conversion des Appels à l’Action (Call-to-Action)

Dans le marketing digital, ce taux mesure la proportion de visiteurs qui effectuent une action spécifique. Cela peut être remplir un formulaire, télécharger un livre blanc, remplir le bon de commande sur une page de vente, etc.


28. Taux de Conversion des Visiteurs en Leads

Ce indicateur commercial mesure la proportion de visiteurs du site web qui deviennent des leads en fournissant leurs coordonnées. Il est essentiel pour évaluer l’efficacité des stratégies de génération de leads en ligne.


Chacun de ces indicateurs commerciaux peut être crucial en fonction de l’industrie et des objectifs commerciaux spécifiques de votre entreprise. Le choix des IPC / KPI commerciaux adaptés à votre contexte vous aidera à surveiller et à améliorer la performance commerciale de manière ciblée sans jamais naviguer à vue !


Quels indicateurs commerciaux choisir pour piloter les ventes ?





Questions Fréquentes sur les KPI commerciaux


Qu’est-ce qu’un KPI commercial ?

Un KPI (Key Performance Indicator) commercial est une métrique clé utilisée pour évaluer la performance d’une équipe commerciale ou d’une entreprise. Il peut inclure des mesures telles que le chiffre d’affaires, la marge brute, le taux de conversion, etc.


Pourquoi les IPC sont-ils importants pour les entrepreneurs ?

Les IPC fournissent aux entrepreneurs des données précieuses pour prendre des décisions éclairées. Ils permettent de suivre la croissance, d’identifier les problèmes potentiels et d’optimiser les opérations commerciales.


Comment choisir les meilleurs indicateurs commerciaux pour mon entreprise ?

Le choix des IPC / KPI commerciaux dépend des objectifs et des besoins spécifiques de votre entreprise. Identifiez d’abord vos objectifs commerciaux, puis sélectionnez les IPC qui vous aideront à les suivre et les atteindre.


Comment améliorer le taux de conversion ?

Pour améliorer le taux de conversion, il est essentiel de comprendre le parcours du client, d’offrir un service client exceptionnel et d’ajuster votre stratégie de vente en conséquence.


Comment interpréter les KPI pour prendre des décisions stratégiques ?

L’interprétation des KPI commerciaux implique de comparer les données actuelles aux objectifs fixés. Si un indicateur commercial ne répond pas aux attentes, des actions correctives doivent être entreprises.


Conclusion


En conclusion, les indicateurs de performance commerciale sont des outils cruciaux pour toute entreprise cherchant à prospérer dans un environnement commercial compétitif. En suivant de près des métriques telles que le chiffre d’affaires, la marge brute, le taux de conversion, le panier moyen et la durée du cycle de vente, les entrepreneurs et les commerciaux peuvent prendre des décisions stratégiques et ajuster leurs actions commerciales et marketing en conséquence.

Il est important de noter que le choix des indicateurs commerciaux doit être aligné sur les objectifs spécifiques de votre entreprise. En les utilisant efficacement, vous pourrez améliorer la performance commerciale, augmenter les revenus et atteindre de nouveaux sommets de succès. Mais n’oubliez jamais que le suivi et l’analyse continus sont essentiels pour rester compétitif sur un marché en constante évolution. A vous de jouer …

la croissance des entreprises

Lorsque vous envisagez la croissance des entreprises, vous pensez à stratégies commerciales, investissements et plans de marketing ? C’est naturel ! Et pourtant, il est essentiel de ne pas négliger le rôle fondamental que joue votre personnel. Le facteur humain est un élément clé de la croissance d’une entreprise. Et la manière dont vous gérez vos collaborateurs peut avoir un impact significatif sur vos ventes. Découvrez comment vous pouvez tirer parti de votre gestion du personnel pour stimuler la stratégie de croissance de votre entreprise.

La croissance des entreprises dépend avant tout du facteur humain


Dans un environnement de vente, vous savez à quel point la compétition peut être féroce. Face à ce paysage concurrentiel, le facteur humain devient un élément essentiel pour stimuler la croissance de l’entreprise. Votre équipe de vente se montre tel un atout précieux, et la façon dont vous la gérez et la motivez peut avoir un impact direct sur vos résultats.

Sans surprise, le bien-être des salariés est un indicateur essentiel de la manière dont une entreprise gère son personnel. Les employés heureux sont plus susceptibles de s’investir davantage dans leur travail et de rester fidèles à l’entreprise.


Investir dans le développement de vos employés


Lorsque vous investissez dans le développement de votre personnel, vous investissez également dans la performance de votre entreprise. Une équipe bien formée et polyvalente peut mener à des opportunités de vente incitative. Ce qui potentiellement contribue de manière plus significative à la croissance de votre entreprise.

Pour aider vos employés à acquérir de nouvelles compétences et à améliorer leurs performances, vous pouvez offrir des opportunités de formation approfondie et adaptée notamment :

la croissance des entreprises par le facteur humain

S’équiper d’outils pour une meilleure gestion des ressources humaines


Rémunérations, administration du personnel, gestion des compétences ou encore qualité de vie au travail, la fonction ressources humaines possède de multiples casquettes. Le facteur humain est au cœur de son activité. Alors, pour mieux gérer ses ressources humaines – au centre de la croissance des entreprises – il est essentiel de s’appuyer sur divers outils.

Le paiement des salaires, des notes de frais en temps voulu, mais aussi le calcul des congés sont des points importants pour tout salarié. L’un des éléments sur lequel il est crucial d’avoir la confiance de vos collaborateurs, c’est la gestion de la paie. En s’équipant d’outils RH tels un logiciel pour gérer ses justificatifs et notes de frais, ses formations, sa gestion du temps permettent aux employés d’être plus impliqués et de gérer les tâches de gestion de personnel de manière plus efficace.


La croissance des entreprises dépend d’un environnement basé sur la collaboration


L’environnement de travail a un impact significatif sur la performance de votre équipe de vente. En mettant l’accent sur la collaboration et la communication, vous permettez aux commerciaux de tirer parti des compétences et des forces individuelles de chaque membre pour résoudre des problèmes, explorer de nouvelles stratégies de croissance et atteindre collectivement les objectifs de vente.

De nombreuses idées peuvent être mises en place, mais comment donner une nouvelle dimension à des réunions ou de séminaires classiques ? Offrez une activité plus enrichissante à vos commerciaux en les challengeant lors d’un team building avec des scénarios réalistes de simulation de vente. Ces moments où les idées, les expériences sont partagées librement et où chacun se sent à l’aise de contribuer aux discussions stratégiques sont précieux dans la vie d’une entreprise.


Valoriser les performances et la récompense


Au sein de la croissance des entreprises, la gestion des performances est un autre aspect crucial de la gestion du personnel. Valoriser le travail effectué est indéniablement un puissant levier de motivation. Au-delà d’un remerciement de « groupe » lorsque les objectifs sont atteints, il est plus appréciable d’aller voir personnellement le collaborateur qui a réalisé une belle performance commerciale pour lui montrer votre gratitude.

L’intégration d’outils tels qu’un CRM peut aussi aider les collaborateurs à suivre leurs progrès réalisés. Par exemple, ce mois-ci, un tel a augmenté de 3% son taux de closing. Avec cette simple reconnaissance, votre équipe sera plus enclin à se surpasser et booster ses ventes.


Favoriser l’innovation dans vos équipes


L’innovation est un élément clé pour rester compétitif dans un environnement de vente en constante évolution. Pour cela, osez stimuler la compétition positive. Encouragez votre équipe de vente à proposer des idées novatrices en organisant des défis où chaque membre est libre de partager ses idées. Montrez que vous êtes ouvert aux expérimentations. Offrez des récompenses ou des reconnaissances convoitées pour les idées innovantes qui sont mises en œuvre avec succès.

Au cœur du développement de votre société, le facteur humain est essentiel. Vous connaissez la valeur de vos collaborateurs : sans eux, pas d’affaires. Il est alors capital de créer un environnement de travail valorisant pour engager vos commerciaux. Ceci pour leur donner l’envie de performer au quotidien pour votre entreprise. Avec vos actions de gestion de personnel menées conjointement, vos concurrents n’auront qu’à bien se tenir.

modèle économique freemium

Le modèle économique freemium est une stratégie business rentable. En tant qu’entrepreneurs et commerciaux, vous êtes sans doute conscients de l’importance d’adopter des approches novatrices pour attirer et fidéliser vos clients. Le modèle freemium offre une solution intéressante, en proposant un produit ou service de base gratuit, tout en offrant des fonctionnalités avancées payantes. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects du modèle économique freemium, son fonctionnement, ses avantages, ainsi que des exemples concrets de son application réussie.

Comprendre le modèle économique freemium


Le modèle économique freemium repose sur une stratégie visant à attirer un large public en proposant une version gratuite d’un produit ou d’un service, tout en offrant des options payantes pour des fonctionnalités supplémentaires. Cela permet à l’entreprise d’élargir sa base d’utilisateurs et de créer une relation de confiance avec eux.

Le mot-clé « freemium » est dérivé de la combinaison des termes « free » (gratuit) et « premium » (haut de gamme).

Ce modèle économique repose sur l’idée que certains utilisateurs seront prêts à payer pour des fonctionnalités supplémentaires. Ou encore des services améliorés une fois qu’ils auront goûté à la version gratuite.

Il s’agit donc d’une approche basée sur la valeur ajoutée et l’expérience utilisateur. Le freemium peut être appliqué à différents types de produits ou services, allant des applications mobiles aux logiciels en passant par les plateformes en ligne.


Les avantages du modèle économique freemium


Le modèle freemium présente de nombreux avantages pour les entreprises qui l’adoptent. Tout d’abord, il permet d’acquérir rapidement une base d’utilisateurs importante. Car le côté gratuit attire un grand nombre de personnes. Cela peut être particulièrement bénéfique pour les startups qui cherchent à se faire connaître rapidement sur le marché.

De plus, le modèle freemium permet de recueillir des données précieuses sur les utilisateurs. Ce qui peut être utilisé pour améliorer le produit ou développer de nouvelles fonctionnalités. En comprenant mieux les besoins et les préférences des utilisateurs, les entreprises peuvent adapter leur offre et renforcer leur relation client.

En outre, le modèle freemium favorise le bouche-à-oreille positif. Les utilisateurs satisfaits de la version gratuite sont plus susceptibles de recommander le produit ou le service à leurs pairs. Ce qui contribue à la croissance organique de l’entreprise.


Exemples réussis de modèle freemium pour développer ses ventes


De nombreux exemples de réussite illustrent l’efficacité du modèle économique freemium. Prenons l’exemple de Spotify, le célèbre service de streaming musical. Spotify propose une version gratuite avec des publicités. Puis on vous propose également une version premium sans publicités et avec des fonctionnalités avancées. Cette approche a permis à Spotify de devenir l’un des leaders de l’industrie musicale en attirant un large public et en convertissant un pourcentage significatif d’utilisateurs gratuits en abonnés payants.

Un autre exemple notable est Dropbox, la plateforme de stockage en ligne. Dropbox propose une version gratuite limitée en termes d’espace de stockage. Puis, il y a des options payantes pour ceux qui ont besoin de plus de capacité. Cette stratégie a permis à Dropbox d’acquérir des millions d’utilisateurs et de se positionner comme un acteur majeur du marché du stockage en ligne.

Enfin, peu importe qu’il s’agisse de jeux de guerre gratuits en ligne ou d’applications SaaS de type CRM. C’est toujours le modèle freemium qui est utilisé pour scaler le business. Ce sont les mêmes principes marketing et commerciaux qui sont à l’oeuvre pour booster l’acquisition de nouveaux utilisateurs, les conversions et les revenus.


Les défis du modèle économique freemium


Bien que le modèle freemium présente de nombreux avantages, il n’est pas sans défis. L’un des principaux défis est de trouver un équilibre entre la version gratuite et la version payante. Il est essentiel de proposer des fonctionnalités suffisamment attrayantes dans la version gratuite pour attirer les utilisateurs, tout en offrant des avantages significatifs dans la version payante pour inciter à la conversion.

Un autre défi consiste à gérer les coûts associés à la mise à disposition d’une version gratuite. Bien que les utilisateurs gratuits ne génèrent pas de revenus directs, ils consomment des ressources de l’entreprise. Par exemple, la bande passante ou le stockage. Il est donc crucial de développer une stratégie de monétisation efficace pour rentabiliser ces investissements.


Mettre en place une stratégie freemium réussie


Pour mettre en place une stratégie freemium réussie, il est essentiel de comprendre les attentes et les besoins de votre public cible. Une recherche approfondie de marché et une analyse de la concurrence peuvent vous aider à déterminer les fonctionnalités à inclure dans la version gratuite et à définir une tarification compétitive pour la version payante.

De plus, il est important de proposer une expérience utilisateur fluide et attrayante. Tant dans la version gratuite que dans la version payante. L’objectif est de convaincre les utilisateurs de la valeur ajoutée des fonctionnalités payantes et de faciliter le passage à l’offre premium.


Questions fréquentes sur le modèle économique freemium

1. Quels sont les avantages du modèle économique freemium ? Le modèle freemium permet d’acquérir rapidement une base d’utilisateurs importante, de recueillir des données précieuses sur les utilisateurs et de favoriser le bouche-à-oreille positif.

2. Quels sont les exemples réussis de modèle freemium ? Spotify et Dropbox sont deux exemples réussis de l’application du modèle freemium. Spotify propose une version gratuite avec des publicités, tandis que Dropbox offre un stockage limité gratuitement.

3. Quels sont les défis du modèle économique freemium ? Trouver un équilibre entre la version gratuite et la version payante, ainsi que la gestion des coûts associés à la version gratuite, sont des défis importants du modèle freemium.

4. Comment mettre en place une stratégie freemium réussie ? Une recherche approfondie de marché, une analyse de la concurrence et une proposition de valeur attractive pour la version payante sont des éléments clés pour mettre en place une stratégie freemium réussie.

5. Quelle est l’importance de l’expérience utilisateur dans le modèle freemium ? L’expérience utilisateur joue un rôle essentiel dans le modèle freemium, car elle doit convaincre les utilisateurs de la valeur ajoutée des fonctionnalités payantes et faciliter le passage à l’offre premium.


Conclusion


Le modèle économique freemium offre une approche intéressante pour attirer et fidéliser les clients. En proposant une version gratuite d’un produit ou d’un service tout en offrant des options payantes, les entreprises peuvent élargir leur base d’utilisateurs et créer une relation de confiance avec eux. Toutefois, la mise en place d’une stratégie freemium réussie nécessite une compréhension approfondie des besoins des utilisateurs, une proposition de valeur convaincante et une expérience utilisateur fluide. En appliquant ces principes, vous pourrez exploiter le potentiel du modèle freemium et développer un business rentable.

N’oubliez pas que le modèle freemium n’est qu’une des nombreuses stratégies possibles en matière de vente et de développement commercial. Chaque entreprise est unique et doit choisir l’approche qui correspond le mieux à ses besoins et à ses objectifs. La balle est dans votre camp …

séminaire entreprise

Comment donner une autre dimension à son séminaire d’entreprise ? Et si vous augmentiez la performance commerciale avec une activité team building de simulateur de vente ?

Il est possible d’optimiser grandement les réunions et séminaires d’entreprise classiques. Comment ? En les transformant en une activité team building plus enrichissante et motivante pour vos équipes commerciales. Comme lors de lancements de nouveaux produits/services par exemple.

Ces événements clés offrent l’opportunité de communiquer la stratégie commerciale de votre entreprise, sans oublier d’insuffler des notions moins tangibles, comme la philosophie ainsi que la culture de l’entreprise. De plus, ces évènements apportent de la vision à vos équipes. Une vision claire sur les objectifs, en accord avec la stratégie de l’entreprise, apporte une base de confiance solide aux équipes, ce qui jouera positivement sur leur motivation et l’adhésion.

Voici donc quelques conseils pour rendre vos meetings d’entreprise le plus impactant possible afin de maximiser l’adhésion de vos collaborateurs.

Pourquoi prévoir une activité team building pour les commerciaux ?


Ce n’est pas un secret : organiser une activité team building pour vos commerciaux présente de nombreux avantages. Tout d’abord, elle renforce les liens d’équipe, favorise la collaboration et la communication, et améliore les compétences individuelles et collectives. Cette dynamique positive du team building en séminaire d’entreprise a un impact beaucoup plus important sur les performances, en augmentant l’efficacité commerciale, la motivation et donc les résultats.

Les activités de team building, telles que les jeux de rôle, les défis collaboratifs et les simulations, offrent aux équipes l’occasion de développer leurs compétences de communication, de résolution de problèmes, de négociation et de prise de décision collective, renforçant ainsi leur cohésion et leur soft skills.

Les réunions et séminaire d’entreprise sont le cadre idéal pour promouvoir et mettre en place des activités de team building. Car le double intérêt est, déjà de redynamiser un format qui peut être vu comme redondant pour les salariés, en apportant une touche nouvelle et plus ludique. Mais également, cela permet de joindre deux évènements (bien entendu, avec un sujet commun) ce qui fluidifie les emplois du temps de chacun.


Séminaire d’entreprise : l’erreur à éviter lors d’un lancement de produit 


Les événements tels qu’un séminaire d’entreprise sont généralement organisés au début de l’année financière d’une entreprise ou simplement avant le lancement d’un produit. Cependant, malgré leur importance stratégique indéniable et leur vocation à être évènementiels, presque exceptionnels, ces lancements ne captivent pas toujours l’ensemble des salariés.

Cela est particulièrement vrai lorsqu’ils sont organisés en présentiel, ou lorsque ces évènements, justement de par leur nature exceptionnelle, rassemblent beaucoup de monde voire l’ensemble des équipes.

Dès lors, ce genre de lancement rencontre vite des limites. Certains salariés ne se sentent pas concernés. Car ces événements sont très souvent impersonnels. L’organisation peut également être délicate, car rassembler un maximum de personnes signifie aussi de considérer les agendas de chacun, avec des conflits d’emploi du temps déjà trop présents dans le quotidien des collaborateurs.  

La bonne nouvelle, c’est que ces grandes réunions à distance, quel qu’en soit le motif, peuvent être beaucoup plus captivantes, et plus économiques en temps ainsi qu’en argent. Cependant, quels sont les avantages exacts des grands meetings à distance ? Et comment planifier un séminaire d’entreprise en ligne avec des activités team building pour garantir un impact maximal chez vos collaborateurs


Les principaux avantages des lancements commerciaux à distance 


Commençons par aborder certains avantages des grandes réunions à distance, qui sont de plus en plus populaires dans le paysage post-Covid. Si cela parait instinctif et évident, c’est confirmé par les chiffres. En effet, avec une moyenne de 1,6 jours de télétravail à fin 2019, les Français passent désormais 3,6 jours par semaine en 2021 à travailler à la maison. (source : Malakoff Humanis, 2021). 

Cette tendance s’accélère et ne montre aucun signe de ralentissement à court terme, car l’on estime que 70 % des Américains travailleront à distance au moins une partie du temps d’ici 2025. Cela entraînera également une augmentation spectaculaire du marché mondial des visioconférences, qui atteindra 22,5 milliards de dollars en 2026, alors que la demande d’outils et de plates-formes de communication à distance continue de croître.

En France, le constat est similaire et le télétravail a d’ailleurs déjà conquis le cœur des Français, avec 80% de la population voyant le télétravail d’un bon œil (source : Odoxa, 2021). 


1. Une pertinence croissante


Ces statistiques mettent clairement en évidence la pertinence de ces grandes réunions à distance, qui peuvent être organisés de manière plus flexible et en adéquation avec le cycle d’activité le plus approprié à votre entreprise.

Vous pouvez envisager de réaliser des lancements commerciaux stratégiques à la demande, plutôt que d’investir dans un séminaire d’entreprise unique chaque année, où toutes les annonces devront être regroupées, ce qui justement, accentuera le côté impersonnel du rendez-vous, où chaque salarié sera concerné par une seule et courte partie du lancement.  


2. Les séminaires d’entreprise en ligne sont moins chronophages


Les grandes réunions (comme celles pour un lancement de gamme par exemple) ont tendance à être plus courtes à distance, notamment parce qu’elles peuvent être plus facilement décomposées en événements plus petits et plus engageants tout au long de l’année.

Une réunion ou un séminaire d’entreprise en ligne sont également plus accessibles. Car les collaborateurs peuvent se connecter n’importe où, sans avoir à organiser un déplacement (ou que l’entreprise le fasse pour eux).

La perte de temps est minime pour tous les acteurs de l’entreprise et la motivation des collaborateurs n’est pas écorchée par un déplacement lointain, un emploi du temps à revoir, ou bien une réunion trop longue.  


3. Ils aident à l’amélioration et la personnalisation


Organiser des évènements en ligne de grande ampleur offre l’opportunité de rassembler de grandes quantités de données générales, afin d’étudier quelle partie était la plus intéressante avec le temps de connexion et les questions posées, mais aussi si le sujet de base a déjà suscité de l’adhésion avec le nombre de participants comparé au nombre de salariés concernés…

La communication directe lors de l’évènement avec les participants permet aussi de développer des contenus personnalisés à envoyer par la suite, une fois la réunion ou le séminaire d’entreprise terminée.

Ainsi, moins coûteux, les grands évènements à distance offrent tout de même une valeur ajoutée et un confort bien supérieur aux employés, qui se sentent considérés et concernés. 


Comment planifier une activité team building de lancement commercial virtuel ?


Avec les grands évènements à distance (et la numérisation plus large du milieu de travail) ainsi que les principaux avantages offerts par ce type d’événement, la question qui reste est de savoir comment planifier et organiser votre évènement en ligne ?

Voici quelques étapes pratiques à garder à l’esprit pour organiser une activité team building lors d’un séminaire d’entreprise en ligne


1. Définissez l’objectif de votre séminaire d’entreprise


La première étape, et la plus cruciale est de définir l’objectif principal d’une grande réunion en ligne. Il est souvent trop simpliste de réserver ces réunions aux lancements de produits, et les résumer à de simples événements servant à communiquer une stratégie ou à présenter de nouveaux services. Surtout lorsqu’il peut y avoir une nuance dans votre message et un besoin de transmettre de nouvelles connaissances et compétences, ce que nous en verrons dans la section suivante. 

Réfléchissez donc précisément à ce que vous souhaitez transmettre et à votre objectif commercial global, avant de comprendre comment cela peut être transmis et atteint avec succès grâce à ce moyen de communication.

D’une manière générale, cela vous aidera également à segmenter l’événement en différentes parties (qui peuvent suivre les différentes composantes métiers de l’entreprise), en offrant un aperçu de votre stratégie commerciale annuelle par exemple et en introduisant éventuellement de nouveaux produits, tout en favorisant l’engagement et en fournissant la formation requise pour appréhender les changements. 

La clé est de penser avec clarté et de définir votre séminaire d’entreprise de manière précise. Sinon vous risquez de partager des messages confus qui ne seront bons ni pour la compréhension, ni pour l’implication des participants. 


2. Commencez à planifier stratégiquement votre meeting en ligne 


Une fois que vous avez défini vos objectifs et que vous avez aperçu général de l’événement, vous pouvez commencer à vous concentrer sur votre public cible et à affiner l’ordre du jour plus précisément. 

Cela implique d’abord de structurer votre ordre du jour et de lui donner une séquence définie, en optimisant le contenu pour maintenir un niveau d’attention élevé de votre audience.

Pour cela, il est important d’adopter différents types de contenus et d’interactions, en combinant par exemple :

  • une courte introduction avec un storytelling partant d’une anecdote amusante,
  • suivi d’une séance de questions-réponses,
  • pour finir avec une démonstration pratique d’un cas de vente concret,
  • et conclure en répondant aux questions les plus fréquentes.

Vous éviterez alors les longues séquences et maintiendrez l’attention grâce aux changements de rythme qui suivront le contenu.


La simulation de vente comme activité team building


Dans ce cas, il est possible d’incorporer des éléments plus interactifs tels que le simulateur de vente et de StratX Simulations (REVMANEX). Conçu par Jean-Claude Larréché, professeur émérite de l’INSEAD, et auteur du livre Vendre et Capturer de la Valeur cette simulation permet de traduire les concepts de vente très théorique, en pratique face à un acheteur, en temps réel, créant ainsi une expérience d’apprentissage expérientiel très engageant, avec du challenge et un engagement total grâce à l’intelligence artificielle des acheteurs. 

Cela conduit également à des taux de rétention des connaissances plus élevés (proportionnellement à l’engagement) et peut générer une meilleure connaissance des produits. Ce qui est souvent un objectif fondamental lorsqu’on rassemble l’entreprise en vue d’un lancement de nouveau produit. Dès lors, vous avez une idée précise de réunion / séminaire d’entreprise, en implémentant une activité de team building pour créer de l’adhésion chez vos collaborateurs


3. Préparez les supports d’animation du séminaire d’entreprise


Avant même d’aborder l’organisation et la communication interne autour de l’évènement, vous devez commencer à préparer vos supports et donner vie à votre programme. 

Cela signifie qu’il faut programmer les discours d’ouverture et le temps de l’introduction, vérifier chaque support média (outils de visioconférence, présentations, plateforme de questions-réponses, définir la liberté d’intervention laissée aux invités lors de la réunion, les vidéos…) mais aussi vérifier le bon fonctionnement des outils qui serviront à la diffusion.

Dans le cas d’activités de groupe plus interactives comme une activité team building, prévoyez un peu plus de flexibilité au niveau des horaires. Ce qui permettra aux employés de participer pleinement aux échanges sans être interrompus pour ne pas retarder le déroulement des réunions du séminaire d’entreprise. 

Plus vous le faites tôt, plus il est facile d’introduire des éléments interactifs et personnalisés, sans compromettre le message principal ou sa diffusion. De même, cela vous permet d’identifier de nouvelles façons d’optimiser l’engagement, à différentes étapes de l’événement et indépendamment du sujet principal.

Au fur et à mesure de l’organisation de l’évènement, vous trouverez très certainement de nouvelles idées à implémenter. Laissez-vous donc le temps de les exploiter et d’imaginer comment les placer dans votre programme. L’idée de retrouver une notion de team building dans des réunions annuelles à distance nécessitera par exemple une réflexion supplémentaire pour l’intégrer au sujet général, mais cela se ressentira sur le niveau d’engagement. 


Les avantages de l’utilisation d’un simulateur de vente pour vos séminaires d’entreprise 


L’utilisation d’un simulateur de vente tel que REVMANEX en tant qu’activité team building ajoutera de l’interactivité et du fun à vos réunions et séminaire d’entreprise. Cela peut se faire lors des réunions d’équipe tout comme lors de grands meetings annuels pour accompagner le lancement d’un nouveau produit par exemple.

Mais les avantages vont bien au-delà :  


L’apprentissage expérientiel


Les simulateurs de vente offrent un environnement d’apprentissage par la pratique. Ce qui permet aux participants de s’exercer avec des situations de vente réalistes. En simulant des négociations et des réunions de vente, les participants peuvent développer leurs compétences commerciales dans un cadre sécurisé et maîtrisé, améliorant ainsi leur compréhension et renforçant leur confiance. Utilisé comme une activité de team building, les collaborateurs apprendront non seulement grâce à la simulation, mais aussi grâce à leurs collègues autour.  


Le développement de compétences ciblées


REVMANEX se concentre sur les compétences clés en vente, telles que la négociation, la création / capture de valeur et la gestion des revenus. Les participants peuvent maîtriser ces compétences essentielles grâce à des exercices répétés, et recevront un feedback en live inclus dans la simulation. Le simulateur aide les professionnels de la vente à développer leur agilité mentale, des techniques de négociation efficaces, un gain de confiance en soi mais les sensibilise aussi à la préparation commerciale de leur rendez-vous, qui sont tous des éléments essentiels pour être à l’aise dans l’acte de vente.  


Une activité team building avec des scénarios réalistes


REVMANEX crée des scénarios de vente réalistes qui reflètent les défis auxquels sont confrontés les professionnels de la vente sur le terrain. En tant que représentant commercial, les participants négocient des accords pour augmenter la performance commerciale. Ils négocient des contrats au fil de 6 rendez-vous, avec des acheteurs aux profils tous différents. En s’adaptant à l’acheteur mais surtout à leurs objectifs, ils devront prendre les décisions les plus cohérentes pour obtenir une part de marché optimisée, le meilleur chiffre d’affaires, sans oublier la satisfaction client.  


Personnalisable et flexible


Le simulateur de vente REVMANEX peut être personnalisé pour répondre aux besoins spécifiques de votre entreprise ou de votre établissement. Il offre des formats en ligne, en présentiel ou bien en blended learning. Ce qui permet une intégration transparente dans vos programmes de formation, ou lors de grands évènements en ligne, ou bien encore comme activité de team building en séminaire d’entreprise. Le format des simulations est idéal pour s’adapter et fournir des expériences d’apprentissage ciblées qui s’alignent sur vos objectifs, mais aussi vos contenus.  


Un esprit d’équipe renforcé par les activités team buiding


Outre le développement des compétences individuelles, les simulateurs de vente favorisent le renforcement de l’esprit d’équipe et la collaboration. L’intérêt de le faire en activité de team building est alors multiple : les participants peuvent s’engager dans des challenges intra-entreprise, se défiant mutuellement pour obtenir les meilleurs résultats et favoriser l’émulation collective. Les sessions de débriefing collaboratif permettent aux équipes d’analyser leurs performances, de partager leurs points de vue et d’apprendre de leurs expériences respectives, renforçant ainsi les relations et améliorant l’apprentissage et la communication. 


Maximisez l’impact de vos grands meetings : intégrez les simulations pour une expérience réussie


En conclusion, les grands meetings annuels (comme par exemple kickoffs ou lancements de produits/service, des activités team building ou bien de simples réunion institutionnelles) en ligne offrent de nombreux avantages par rapport aux événements traditionnels en personne.

Ils sont plus pertinents, plus courts, plus accessibles et peuvent être personnalisés pour répondre aux besoins de chaque participant. En planifiant stratégiquement ces évènements et en incorporant une simulation de vente comme REVMANEX pour ajouter une activité team building par exemple, vous améliorerez l’adhésion, développerez des compétences de vente cruciale, avec un développement de l’esprit critique. 

Ces facteurs contribuent à la réussite d’un lancement virtuel des ventes qui engage les participants, délivre des messages clés et prépare le terrain pour une année commerciale productive et réussie. 



veille commerciale

Qu’est ce que la veille commerciale ? Est-ce pareil que le benchmarking ? Comment assurer la veille commerciale dans une entreprise ? Découvrez pourquoi et comment rester compétitif en prenant une longueur d’avance sur le marché…

Dans le monde des affaires hautement compétitif, rester en avance sur la concurrence est essentiel pour survivre. D’autant plus en periode de crise systémique. C’est là que la veille stratégique commerciale intervient. Le terme veille commerciale, qui se traduit par « commercial watch » en anglais, désigne le processus de surveillance du marché, de la concurrence et de l’environnement des affaires. Ceci en vue d’obtenir des informations qui peuvent être utilisées pour améliorer les performances et la compétitivité de l’entreprise.

C’est un véritable outil stratégique pour toute entreprise qui souhaite réussir sur le marché à long terme. Dans cet article, nous allons explorer les bases de la veille commerciale au travers des exemples, conseils et astuces pour maîtriser cet art essentiel au développement des affaires

Qu’est ce que la veille commerciale ? Définition


La veille commerciale est l’ensemble des méthodes et des techniques visant à collecter, analyser et exploiter des informations sur le marché, la concurrence et l’environnement des affaires. C’est un outil stratégique essentiel pour les entreprises qui souhaitent rester compétitives et anticiper les tendances et les évolutions du marché pour en tirer profit.


Est-ce la même chose que le benchmarking ?


Bien que la veille commerciale et le benchmarking soient tous deux des outils d’analyse de marché, ce n’est pas tout à fait la même chose. Le benchmarking se concentre sur l’analyse des pratiques et des performances des concurrents tandis que la veille commerciale englobe une analyse plus large de l’environnement des affaires, y compris les tendances du marché, les réglementations et les besoins des clients…


Les bases de la veille commerciale


La veille commerciale consiste à collecter et à analyser des informations liées au marché, à la concurrence et à l’environnement des affaires. L’objectif est donc d’obtenir des informations qui peuvent être utilisées pour prendre des décisions éclairées en affaires.

La finalité, c’est de prendre une longueur d’avance sur la concurrence, et de la conserver !

Pour maintenir ce focus dans la stratégie commerciale et marketing, il est judicieux d’utiliser des outils de gestion de projet pour assurer la veille concurrentielle dans le temps et centraliser l’information.

Voici les 3 composants clés de la veille commerciale :


1. Analyse de marché


Toute bonne veille marketing et commerciale commence par une analyse du marché. Cela implique de collecter et d’analyser des données sur la taille du marché, le public cible, les tendances et changements du marché…


2. Analyse de la concurrence


La veille commerciale implique également d’analyser la concurrence. C’est la base, et c’est là où la notion de benchmark concurrentiel intervient. Cela comprend la collecte et l’analyse de données sur les produits et services de la concurrence, les stratégies de tarification, les tactiques de marketing et les performances générales…


3. Analyse de l’environnement des affaires


La veille commerciale implique également d’analyser l’environnement des affaires. Cela comprend la collecte et l’analyse de données sur les réglementations, les conditions économiques et tout autre facteur qui pourrait avoir un impact sur l’entreprise. Le diagnostic externe et la méthode PESTEL peut être pertinent à prendre en compte à ce stade…


Quelles sont les étapes d’une veille commerciale ?


La réalisation d’une veille marketing et commerciale efficace nécessite une planification minutieuse et une méthodologie rigoureuse. Voici quelques étapes clés à suivre pour être efficace :

  1. Définissez vos objectifs de veille
  2. Identifiez les sources d’informations clés
  3. Collectez les informations pertinentes
  4. Analysez les informations collectées
  5. Prenez des décisions en fonction des résultats de votre analyse

Comment assurer la veille commerciale ? Exemple


Prenons l’exemple d’une entreprise de location de voitures. Pour réaliser sa veille marketing et commerciale elle peut par exemple surveiller les tendances du marché. Je pense notamment à la demande pour les véhicules électriques et les préférences des clients en matière de marque de voiture.

Elle peut également utiliser des outils de veille concurrentielle pour suivre les statistiques de vente de voitures électriques, les annonces de nouveaux modèles et les commentaires des clients sur les réseaux sociaux.

Aussi, en se faisant passer pour un client, elle pourrait très bien surveiller les activités de ses concurrents en termes de prix, de promotions et de services. Cela lui permettrait de rester compétitive sur le marché quoi qu’il arrive.

Enfin, elle pourrait également surveiller les tendances générales du marché. Telles que l’augmentation de la demande pour les locations à long terme ou pour les options de partage de voiture.

En utilisant ces informations, l’entreprise pourra ainsi ajuster sa flotte de voitures afin de répondre au mieux à la demande des clients. Cela lui permettra d’offrir des promotions compétitives et développer de nouveaux produits et services en fonction des tendances du marché.

Voila un exemple de veille commerciale concret !


Quels sont les outils de veille commerciale ?


Pour assurer la veille commerciale, cela nécessite l’utilisation d’outils adaptés. Donc voici quelques exemples d’outils utiles pour réaliser une veille :

  1. Les réseaux sociaux : ils vous permettent de suivre les tendances, les discussions et les interactions de vos clients et de vos concurrents.
  2. Blogs et forums : ils vous permettent de recueillir des informations sur les opinions, les préférences et les besoins de votre marché.
  3. Sites web spécialisés : ils permettent d’obtenir des informations sur les tendances et les événements liés à votre secteur d’activité.
  4. Les outils de surveillance : ils vous permettent de suivre les mentions de votre entreprise et de vos concurrents sur le web.

Quels sont les avantages de la veille marketing et commerciale ?


Il existe de nombreux avantages pour les entreprises. En voici quelques-uns :


Rester en avance sur la concurrence


En surveillant le marché et la concurrence, la veille concurrentielle permet aux entreprises de conserver une avance systématique sur la concurrence. Cela aide à identifier de nouvelles opportunités. Mais cela permet d’éviter également les risques potentiels. C’est donc un moyen de prendre des décisions stratégiques éclairées.

C’est comme ça que Apple maintient sa position dominante sur les iPhones en innovant systématiquement sur les modèles concurrents.


Améliorer la prise de décision


Une bonne veille marketing et commerciale fournit aux entreprises des informations précieuses qui peuvent être utilisées pour prendre des décisions stratégiques. Cela peut aider à améliorer sa performance sur un domaine d’activité stratégique (DAS), à réduire les coûts et à augmenter les revenus.

Restons sur le marché des smartphones. Si Blackberry avait pratiqué une veille de marché ils auraient eux aussi pivoté vers des modèles à clavier tactile. Au lieu de cela ils ont continué sur leur modèle d’origine avec des claviers apparents qui sont devenus obsolètes.


Identifier de nouvelles opportunités business


Assurer la veille commerciale peut aider à identifier de nouvelles opportunités sur le marché. En surveillant les tendances et les changements du marché, les entreprises peuvent être en mesure de repérer des créneaux inexploités ou des besoins non satisfaits chez les clients.

C’est la stratégie Océan Bleu qu’à pu utiliser BlaBlaCar par exemple en devenant le leader du covoiturage.


Anticiper les risques et les menaces


Assurer la veille commerciale en fil rouge permet également aux entreprises d’anticiper les risques et les menaces. En surveillant l’environnement externe et la concurrence, on est en mesure de mieux anticiper les changements. Il peut s’agir des réglementations, des conditions économiques ou des tactiques de la concurrence…

La loi Climat & Résilience va par exemple impacter les biens qui ont un mauvais DPE (diagnostic de performance énergétique). Pour une foncière, il est donc urgent et stratégique d’entreprendre des travaux de rénovation de son parc immobilier.


Techniques avancées de veille commerciale


Voici quelques-unes des techniques de veille commerciale les plus avancées pour rester en avance sur la concurrence :


La surveillance en temps réel


La surveillance en temps réel implique l’utilisation d’outils de veilles commerciales et concurrentielles pour surveiller en permanence les sources d’information pertinentes, telles que les sites Web des concurrents et les publications de l’industrie. Cela permet de repérer rapidement les changements sur le marché et de réagir plus rapidement.


L’analyse prédictive


L’analyse prédictive implique l’utilisation de techniques statistiques et d’analyse de données pour prévoir les tendances futures. Cela peut aider les entreprises à anticiper les changements sur le marché et à prendre des décisions éclairées.


L’analyse sémantique


L’analyse sémantique est basée sur l’utilisation de techniques d’analyse de texte pour comprendre les opinions et les sentiments exprimés dans les commentaires des clients et les publications sur les réseaux sociaux. C’est un vrai plus pour mieux comprendre les besoins et les préférences des clients.



Questions Fréquentes sur la Veille Commerciale


1. Qu’est-ce que la veille commerciale ?

La veille commerciale est un processus qui consiste à surveiller les tendances du marché, les concurrents, les clients et les partenaires potentiels afin de recueillir des informations précieuses qui permettent d’améliorer les performances de vente et de développement commercial.


2. Qui devrait effectuer une veille ?

Toutes les entreprises opérant sur le marché devraient assurer une veille commerciale et marketing pour prendre une longueur d’avance. Que l’on soit dirigeant, commercial ou entrepreneur, le benchmarking concurrentiel est un outil stratégique très utile.


3. Quel est l’impact de la veille commerciale sur les performances des entreprises ?

L’impact sur les performances d’une entreprise est significatif, car cela permet d’identifier de nouvelles opportunités, d’éviter les risques potentiels et de prendre des décisions stratégiques pour le développement du business.


4. Quels différents types de veille existe-t-il ?

Au-delà de la veille commerciale et concurrentielle, il est possible de faire de la veille technologique, juridique et réglementaire, environnementale, etc.


5. Quelles sont les sources d’information utilisées pour assurer des veilles commerciales ?

Les sources d’information utilisées peuvent varier en fonction des besoins de l’entreprise. Les sources les plus courantes comprennent les rapports de recherche, les bases de données en ligne, les réseaux sociaux, les blogs, les forums, les salons professionnels, les magazines spécialisés, etc.


6. Quels sont les outils de veille commerciale les plus couramment utilisés ?

Certains des outils de veilles concurrentielles les plus couramment utilisés sur Internet sont Google Alerts, Hootsuite, Mention et SEMrush, etc.


7. Quelles sont les erreurs à éviter en veille commerciale ?

Les erreurs les plus courantes en veille commerciale sont le manque de clarté dans les objectifs, la sélection de sources d’information inappropriées, la collecte d’informations non pertinentes, l’analyse inadéquate des informations, l’absence de diffusion et d’utilisation des informations collectées.



Conclusion


En fin de compte, la veille concurrentielle est un outil vital pour toute entreprise qui veut survivre et se développer. En collectant et en analysant des informations sur le marché, la concurrence et l’environnement des affaires, il devient plus facile de prendre des décisions éclairées qui donnent un avantage concurrentiel.

cv commerciale

Comment améliorer son CV commercial ? Comment avoir un curriculum vitae commercial qui soit attractif pour les recruteurs et qui permette d’être ouvert aux opportunités afin d’avoir une carrière commerciale explosive ?

Le CV commercial reste un incontournable, vous le savez probablement. Et même lorsque l’on est pistonné, force est de constater qu’on demande toujours les formalités administratives…

Le curriculum vitae commercial reste incontournable

 

Même quand vous êtes envoyé « de là par de » le DRH / le recruteur va jeter un oeil à votre CV commercial. Avec une grille de lecture rapide, il faut se différencier de la masse des autres candidats. Il convient de sortir du lot rapidement. Ceci afin de permettre au recruteur de visualiser tous les bénéfices que vous allez apporter à son entreprise.

Pour se rendre attractif sur le marché du travail et ouvert à de nouvelles opportunités, votre cv commercial doit systématiquement être à jour. Même si vous êtes déjà en poste de commercial rien n’empêche effectivement d’être ouvert à de nouvelles opportunités.

Nous allons donc voir comment sortir de la masse et rendre votre cv percutant et attractif en 3 conseils…

 

1. Considérer le CV commercial comme une lettre de vente

 

Le CV commercial peut adopter la structure d’une page de vente ou d’une lettre commerciale. Et dans ce cas, le produit à vendre, in fine, c’est vous. Donc, ça veut dire quoi ?

Si on fait le parallèle avec une lettre de vente, un email, ou une communication commerciale, on va toujours avoir en premier lieu : une accroche, un pitch commercial, un slogan !

D’ailleurs, même sur un profil LinkedIn, il y a un encart intitulé « slogan ».

C’est la même chose pour un CV commercial. Je vous invite toujours à utiliser une accroche pour annoncer la couleur afin de mettre l’eau à la bouche.

Pour ce faire, demandez-vous :

  • Quelle est votre proposition de valeur ?
  • Que pouvez-vous apporter de plus / de mieux à votre futur recruteur (ou sur votre marché) ?
  • Qu’est-ce qui vous rend unique ?
  • Pourquoi devrait-on vous accorder du temps ?

 

Que dire lorsque l’on démarre dans la fonction commerciale ?

 

Vous démarrez dans la fonction commerciale et vous n’avez pas forcément grand-chose d’exceptionnel à mettre comme accroche en haut de votre CV commercial ? Expliquez éventuellement quel type de poste vous visez. Puis, précisez ce que vous pouvez apporter ? Quelle est la singularité de votre profil ?

Imaginons par exemple que vous postulez sur un job commercial de chef de secteur pour Orangina-Schweppes.

Vous pourriez par exemple indiquer « Chef de secteur passionné, performant et fan de la marque Oasis ». Ce sont des bénéfices génériques, mais cette petite singularité peut faire la différence entre des dizaines de CV commerciaux.

 

CV commercial : exemple d’accroche

 

Vous l’avez compris, même quand il n’y a pas grand chose à dire on peut trouver un angle d’attaque différenciant. En se renseignant un minimum sur :

  • l’entreprise
  • le recruteur
  • produits et services
  • secteur d’activité
  • objectifs stratégiques
  • etc.

Différenciez-vous avec une phrase d’accroche commerciale orientée bénéfices, nouveauté, curiosité. C’est ce qui permettra de créer de la singularité.

Voyons un exemple de cv commercial accrocheur sur le titre.

Imaginons que vous visez un poste de Key Account Manager (Responsable de compte clé) dans le secteur de l’aéronautique. L’accroche du CV pourrait être « Key Account Manager dans l’aéronautique ayant généré 10% de croissance annuelle »

Voilà, une idée d’accroche qui véhicule une promesse de bénéfices (indicateur de résultat tangible) et de la curiosité sur le chiffre évoqué.

 

2. Transformer chaque expérience en bénéfices pour le recruteur

 

Pour bétonner votre curriculum vitae commercial et mettre l’eau à la bouche du recruteur il convient de faire un effort de traduction. Transformez chaque expérience, et chaque formation en l’orientant sous un angle bénéfique pour le client.

Encore une fois, il va falloir faire du sur mesure. Il faut sortir du cv commercial générique que vous avez l’habitude d’imprimer et de fournir en mode copier / coller. Essayez de passer un minimum de temps pour vous renseigner et adapter votre CV au type de poste proposé et à l’entreprise que vous ciblez.

Demandez-vous quelle est la compétence que vous avez acquise et qui sera utile / bénéfique pour l’entreprise qui va vous recruter ?

 

Exemple de compétence sur un cv commercial

 

Imaginons que vous ayez une expérience professionnelle en grande distribution. Ca fait quatre ans que vous faites ça, et vous avez développé un portefeuille client et de contacts stratégiques, à vous référencer dans de nouveaux points de vente, etc.

Les compétences que vous pourriez mettre en avant seraient les suivantes :

  • Capacité à prospecter sur le terrain et à ouvrir rapidement de nouveaux points de vente
  • Gestion d’un portefeuille client actif sur une zone géographique déterminée
  • Une connaissance approfondie des circuits de décision en grande distribution
  • etc.

Imaginez et synthétisez tout ce qui pourrait être utile au prisme de votre futur recruteur. Tout ça de manière courte, percutante, et orientée bénéfice.

Idem, si vous n’avez pas grand-chose à valoriser en termes d’expérience professionnelle. Peut-être parce que vous débutez dans la fonction commerciale ? Alors, cherchez dans vos formations, votre parcours étudiant, vos centre d’intérêts, vos passions…

Qu’est-ce que vous pourriez retirer et mettre en avant afin de vous différencier ?

 

CV commercial : exemple de formation à mettre en avant

 

Vous avez peut-être fait des formations pour apprendre des langues étrangères ? Ca tombe bien. C’est très recherché pour le commerce international et le développement du business à l’étranger.

Vous pourriez en tirer avantage et indiquer dans votre CV :

  • Formation en prononciation du chinois permettant de négocier efficacement avec des fournisseurs
  • Maîtrise de l’espagnol dans l’optique de devenir country manager LATAM
  • Formation en anglais spécialisée business afin de pouvoir ouvrir une business unit à l’étranger

 

Autre exemple pour un curriculum vitae commercial

 

Si vous avez passez un minimum de temps sur le blog Technique De Vente, alors vous avez surement acquis un premier niveau de connaissance. Et si vous avez suivi une formation commerciale gratuite ou avancée sur la prospection, le traitement des objections, le closing… Eh bien, vous pourriez très bien l’indiquer pour booster votre CV commercial :

Formé au traitement des objections chez Technique de Vente Edition. Ayant suivi la formation « vaincre les objections » je suis apte à pouvoir déminer tous les points bloquants et développer les ventes de mon futur employeur.

L’objectif est de permettre aux recruteurs de se projeter et de comprendre immédiatement tout ce que vous seriez susceptible d’apporter l’entreprise.

Puisque ce que le recruteur cherche bien évidemment, c’est à se rassurer. Et à voir des éléments qui lui permettent de savoir que vous êtes le bon candidat. Celui qui va matcher avec les valeurs et les objectifs de son entreprise.

Dressez un listing de toutes vos expériences, formations, atouts… et transformez-les en bénéfices potentiel pour votre recruteur afin de lui mettre l’eau à la bouche à la lecture du cv commercial.

 

3. Apporter des éléments factuels et des preuves

 

Pour se différencier de la masse des cv commerciaux parfois trop beaux pour être vrai, rajoutez un maximum de concret ! Je parle d’indicateurs, d’éléments factuels, et de preuves de ce que vous avancez.

Dire quelque chose, c’est bien. Pouvoir le prouver, c’est mieux !

Cherchez et compilez tous les indicateurs de résultats que vous pourriez mettre en avant par exemple. Si vous avez déjà eu une expérience professionnelle, concrètement, ça s’est matérialisé par quel résultat ?

 

Exemple d’éléments factuel sur un cv commercial

 

Si vous êtes dans la fonction commerciale :

  • Combien vous avez réalisé de chiffre d’affaire ?
  • Combien de nouveaux clients vous avez acquis / géré ?
  • Sur quelle durée ?
  • Quel est le pourcentage de croissance des ventes, de la marge ?
  • Etc.

Prenons mon profil / cv linkedin par exemple. Pour chaque poste occupé je mets en avant des indicateurs comme :

  • Portefeuille client de 19,6 Millions d’euros
  • 38,9% de parts de marché volume (+2,2) début 2014 (indice 120 vs national)
  • 44% de parts de marché valeur (+1,1) début 2014 (indice 122 vs national)

Il faut bien évidement que vous puissiez justifier et prouver ce que vous avancez si le recruteur le demande. Conservez donc tous les documents, témoignages, vidéos… toutes les preuves.

Cherchez de la preuve sociale.

Par exemple, vous avez peut être signé des clients prestigieux ? Ou bien vous avez une volumétrie de clients significative ? Un concours que vous avez gagné ?

Tout est bon à prendre …

 

Que mettre en avant quand on démarre sa carrière commerciale ?

 

Regardez au prisme de votre parcours, qui est spécifique et unique. Passez en revue chaque formation suivie, hobbies, centre d’intérêt. Et essayez de voir concrètement ce qu’il est possible d’extraire en rapport avec la fonction commerciale.

Exemple : « Ceinture noire de karaté, calme, patient et efficace je sais gérer les clients difficiles »

 

L’idée est tout simplement de faire ressortir des éléments singuliers qui renforce votre candidature. Cela pour convaincre rapidement, et démontrer au recruteur que vous n’êtes pas n’importe qui. Que vous figurez parmi les meilleurs candidats potentiels pour le poste à pourvoir.

 

Mettez-vous à la place de celui en charge du recrutement commercial

 

Chaque personne a des objectifs à atteindre et des problématiques à résoudre. Il s’agit peut-être d’un directeur commercial qui doit atteindre un objectif de vente fixé par sa direction. Ou bien il s’agit d’un DRH qui doit remplacer un responsable commercial qui part en retraite…

Un recruteur cherche toujours à se rassurer. Il doit faire le bon recrutement. Et il ne souhaite pas que l’on puisse lui reprocher d’avoir fait une erreur de casting.

Donc, vous devez satisfaire à ces deux équations :

  1. le rassurer
  2. légitimer son choix vis-à-vis de sa direction commerciale

Facilitez-lui le travail en suivant ces 3 conseils. Ils vous permettront de rendre votre CV commercial plus attractif, plus percutant, plus pertinent. Et n’oubliez pas : personnalisez-le au mieux en fonction de l’entreprise et du type de poste que vous visez.

 

Que se passe t-il si le CV commercial est retenu ?

 

Bravo ! Vous avez passez la première étape. Maintenant, il faudra préparer l’entretien de recrutement.

Et il vous faudra justement démontrer que le CV commercial n’a pas été galvaudé. Qu’il correspond bien à votre personnalité, à vos expériences et à votre aptitude à pouvoir générer des bénéfices et un retour sur investissement pour l’entreprise. Alors, voici comment postuler et décrocher le job commercial

 

methode de vente

Envie d’une méthode de vente efficace de la prospection commerciale jusqu’à la fidélisation client ? Besoin de structurer et de professionnaliser votre démarche commerciale pour assurer la croissance de vos ventes ? Envie de muscler vos techniques de vente ?

Dans cet article, je vous propose d’adopter une stratégie commerciale globale et cohérente, ainsi qu’un plan de vente étape par étape pour fluidifier toute votre gestion relation client de A à Z ! Cela vous permettra de faire une réelle différence sur vos concurrents qui passent leur temps à improviser en entretien de vente, qui partent dans tous les sens, et qui laissent une impression de flou artistique aux clients.

Laissez ça aux amateurs et devenez un véritable professionnel de la vente en seulement 9 étapes …

 

Comment structurer sa méthode de vente commerciale en 9 étapes ?

 

Nous allons voir étape par étape comment créer et structurer une méthode de vente professionnelle et efficace. A chaque phase de vente, nous allons poser des questions et vous proposez des actions stratégiques qui vous permettront de bâtir un plan de vente imparable… let’s go ?

 

1. La préparation du plan de vente

 

Ciblez, préparez vos scripts et les scénarios de prospection commerciale pour être mesure de les dérouler suivant les cas de figure et le profil de prospect.

Préparez votre prise de contact avec un elevator pitch commercial percutant (une accroche commerciale forte). Établissez ensuite votre plan de découverte pour obtenir les informations clés qui facilitent l’entretien commercial (déclencheurs décisionnels de l’achat).

Constituez-vous une boite à outils commerciale efficace et maniable, remplie d’arguments de vente et de preuves pour convaincre votre interlocuteur de passer à l’action.

Je vous conseille également de préparer votre stratégie de présentation du prix ainsi que des éléments de défense. Et éventuellement des scénarios de concessions / contreparties si vous avez de la marge de manœuvre pour négocier.

Mais 90% du temps vous n’en aurez pas besoin avec les techniques de vente enseignées sur ce blog…

Enfin, anticipez les objections commerciales potentielles, ainsi que les éléments de réponse que vous allez apporter pour les traiter. Cela fait gagner un temps considérable, sans parler des résultats en termes de conversion client.

Pour terminer, préparez des stratégies de conclusion et des suites à donner en fonction des différents cas de figure. C’est-à-dire tout ce qui va se passer après la vente : ventes additionnelles / prise de congés / relance client / mesure de la satisfaction client / stratégie de fidélisation client…

 

5 méthodes pour préparer un plan de vente

 

 

2. Stratégie de prospection commerciale

 

Quelle est votre cible ? Il est important de précisément définir quel est votre client idéal (avatar / persona) et par conséquent qui sont vos prospects…

Ceci pour savoir où les trouver (sur quels canaux) ? Et comment les contacter (ce qui dépend entièrement de la cible, du secteur d’activité, circuit de décision, etc.) ?

Ensuite, il vous faut une méthode de vente capable de passer les différents barrages si vous agissez en BtoB (que ce soit par mail, téléphone ou sur le terrain en face à face, sur les réseaux…).

Il est vital de savoir capter l’attention des décideurs pour obtenir un entretien / un RDV. Car la prospection commerciale est le flux entrant de votre business. Elle est au coeur de votre développement commercial !

Enfin, je vous recommande de piloter l’activité commerciale à l’aide de tableaux de bord simple et pratique pour savoir où vous en êtes et ne pas vous éparpiller. La productivité et la rentabilité des actions commerciales engagées en dépend…

 

21 méthodes de vente pour trouver des clients en prospection commerciale

 

 

3. La prise de contact client

 

Vous le savez probablement : « On n’a pas 2 fois l’occasion de faire une bonne première impression ». Une méthode de vente fonctionnelle nécessite que vous soyez percutant et efficace durant la prise de contact avec le client.

Il existe plusieurs typologies / plusieurs profils de clients et chacun voit le monde au travers le prisme de ses préférences cérébrales. C’est pour cela, qu’il faut rapidement savoir identifier le cadre de référence de votre interlocuteur pour mieux communiquer

Il est préférable de se renseigner et de maîtriser la collecte d’informations avant votre rendez-vous commercial. Et d’avoir préparé un pitch commercial impactant pour capter l’attention tout de suite (une accroche commerciale différenciante).

Maîtriser l’ensemble des étapes de la prise de contact est fondamental : aucun blanc, aucune improvisation…

Suivant les situations, il est judicieux de savoir identifier les stakeholders. C’est-à-dire l’ensemble des parties prenantes qui peuvent influencer sur la décision finale (stratégie de lobbying).

En résumé, dès les premiers instants il faut savoir donner envie au client de travailler avec vous et de démarrer une relation commerciale.

 

9 techniques commerciales pour la prise de contact

 

 

4. Le plan de découverte

 

Je vous invite fortement à formaliser dans votre processus de vente un vrai plan de découverte en faisant les recherches nécessaires. Recensez toutes les informations dont vous disposez sur votre prospect en amont.

Et puis, bien évidemment, identifiez les informations qu’il vous manque. Celles dont vous avez besoin pour vendre plus facilement le moment venu. Pour cela, je recommande de préparer en amont la manière dont vous allez les obtenir en établissant des questions précises et plusieurs scénarios.

Il conviendra donc de maîtriser les techniques de questionnement et de relance pour recueillir et creuser les informations durant l’entretien de vente. Ceci afin de comprendre le contexte dans lequel se situe votre prospect (cadre de référence, circuit de décision, etc.).

Mais surtout pour découvrir ses attentes, ses besoins et les motivations profondes (à l’aide du SONCAS par exemple), car ce sont elles qui déclencheront l’achat le moment venu. Si vous avez pris le soin de bien identifier les priorités de votre interlocuteur bien sûr…

 

6 méthodes de vente pour réussir la phase de découverte client

 

 

5. Savoir argumenter, convaincre et persuader

 

Pour convaincre facilement, il vous faut constituer une boite à outils commerciale dans laquelle vous pouvez piocher durant l’entretien de vente. Cela nécessite donc de transposer les caractéristiques en avantages, puis en bénéfices pour le client (avec la méthode de vente CAB par exemple).

Il est également judicieux d’analyser la concurrence (points forts / points faibles) afin de dégager un positionnement stratégique différenciant, ainsi que vos avantages concurrentiels exclusifs.

Pour assoir votre crédibilité, vous devez maîtriser les arguments clés :

  • données chiffrées internes (produit / entreprise)
  • et externes (marché / environnement…)

Et préparer des supports (écrits / audio / vidéo) pour renforcer votre argumentaire de vente

Mais une bonne argumentation, c’est une argumentation commerciale spécifique. Il faut être capable d’adapter votre argumentaire aux besoins de votre prospect. Et ainsi faire le lien entre l’offre et la demande pour que l’achat soit naturel !

Il y a également la question du prix : il est capital de savoir le présenter, de construire la valeur et de le défendre avant même de songer à négocier !

Et pour cela, il existe des techniques d’influence et de persuasion pour faire passer vos arguments commerciaux. Car l’important ce n’est pas que vos arguments soient bons, c’est qu’ils soient acceptés par votre client.

 

8 techniques de vente pour l’argumentation commerciale

 

 

6. Le traitement des objections clients

 

Il faut déjà être capable de déceler les préoccupations du client (ces fameuses objections commerciales). Vouloir y échapper, c’est faire échouer la vente à coup sûr ! Apprenez quelles sont les différentes catégories d’objections et quelles réponses y apporter au cas par cas dans la préparation de votre méthode de vente

Pour cela, une qualité est indispensable : c’est la maîtrise de l’empathie. Cette capacité à se mettre dans la tête de l’autre pour comprendre et apporter des solutions commerciales concrètes et adaptées fait toute la différence.

Ensuite, nous y revenons encore et toujours : ce sont les techniques de questionnement et de relance qui permettent de creuser / purger l’objection. Et d’y répondre chirurgicalement pour obtenir l’adhésion et l’engagement du client !

Encore une fois, convaincre et persuader c’est tout un art. Mais ça devient facile en suivant la bonne méthode de vente.

Enfin, je vous recommande d’anticiper et de savoir quoi faire si le prospect n’est pas convaincu. Ceci en prévoyant les éventuelles suites à donner pour ne pas être déstabilisé. Car vous en conviendrez, c’est dommage de perdre un futur client à ce stade…

 

5 méthodes de vente pour traiter les objections commerciales

 

 

7. Conclure la vente avec les techniques de closing

 

Apprenez à devenir un expert dans la détection des signaux d’achats pour adapter vos méthodes commerciales. Car c’est à vous de prendre l’initiative d’inviter votre prospect à conclure la vente !

C’est vous qui dirigez l’entretien commercial. Donc, il est fortement recommandé de maîtriser les différentes techniques de closing.

Car on ne peut pas tout le temps utiliser la même… cela dépend vraiment de la situation et du profil commercial de votre prospect. Il existe une méthode de vente simple et pratique que j’enseigne à mes clients. Elle est basée sur l’engagement et la cohérence : c’est la méthode CEDARI.

Enfin, il est toujours judicieux de savoir quoi faire en cas de refus ?

Anticipez à nouveau, car vous n’avez pas le droit de rester bloqué à ce niveau… La relance client est quelque chose de fondamental pour conclure plus de ventes. Il y a moins de concurrence au bout du 3e, 4e, 5e refus. Et cela paye toujours !

Vous devriez prévoir quand et comment prendre congés de votre interlocuteur. Car cela pourrait vous faire échouer dans la dernière ligne droite d’une vente en cas de maladresse.

Et cerise sur le gâteau, le meilleur moment pour faire une vente, c’est lorsque votre client a déjà acheté une fois !

Donc, pourquoi ne pas proposer des ventes complémentaires / supplémentaires (upsell, cross-sell) dans votre cycle de vente afin de réaliser du chiffre d’affaires additionnel très facilement. 😉

 

11 techniques de closing pour booster les ventes

 

 

8. La satisfaction client et le service après vente

 

C’est un fait avéré : il est plus difficile de conquérir un client que de le garder Cela coûte plus d’argent, de temps et d’énergie de transformer un prospect en client que de le conserver !

La première étape consiste donc à travailler sur le niveau de satisfaction client dans votre méthode de vente avant de le fidéliser. Faites en sorte de tenir vos engagements, de bien suivre les étapes post-vente, de questionner sur le niveau de satisfaction du client…

Prévoyez également une petite surprise si vous le pouvez dans votre processus de vente. Les petites attentions ne coûtent pas grand-chose, mais apportent beaucoup à la qualité de la relation client !

 

Méthode de vente pour améliorer la satisfaction client

 

 

9. La fidélisation client

 

Il vous faut impérativement une stratégie Court Terme / Moyen Terme / Long Terme dans vos méthodes de vente pour faire :

  1. De vos clients des clients satisfaits
  2. De vos petits clients des gros clients
  3. Et de vos clients fidèles des prescripteurs qui vous apportent de nouveaux clients sur un plateau ! C’est un cercle vertueux…
Gestion de la Relation Client

 

8 stratégies de vente pour fidéliser ses clients et développer le business

 

 

3 conseils pour optimiser sa méthode de vente commerciale

 

 

3 erreurs à éviter dans les différentes méthodes de vente

 

 

Vous avez donc compris au travers le décryptage de ces 9 étapes que les compétences commerciales ne sont pas innées. Ce qui fait la différence entre les vendeurs qui réussissent et les autres, ce sont les bons réglages mentaux, des réactions automatiques qui engendrent les bonnes actions commerciales, aux bons moments, avec structure et méthode.

Le développement de ces compétences inconscientes est donc source d’efficacité et d’efficience commerciale !

La bonne nouvelle ? C’est que tout s’apprend… suivez cette feuille de route pour créer et optimiser votre méthode de vente étape par étape. Puis, entraînez-vous, adaptez chaque étape de la vente à votre secteur d’activité / votre marché / vos produits et services. Et observez vos résultats commerciaux exploser.

Vous souhaitez aller encore plus loin et être pris par la main ? Découvrez notre formation phare pour créer une méthode de vente professionnelle et performante afin de trouver des clients facilement, puis générer des ventes stables et prévisibles…

 

 

le parcours client

Le parcours client, qu’est ce que c’est ? Quelles sont les étapes du parcours client idéal ? Comment construire et optimiser le parcours clients afin de développer les ventes ? C’est ce que nous allons voir ici …

Il n’y a qu’un patron : le client. Et il peut licencier tout le personnel, depuis le directeur jusqu’à l’employé, tout simplement en allant dépenser son argent ailleurs.

C’est ce que disait Sam Walton, patron de WalMart et homme d’affaires le plus riche des Etats-Unis pendant de nombreuses années. Voila pourquoi il est capital de replacer l’expérience client au centre du business aujourd’hui.

Qu’est-ce que le parcours client ? Définition

 

Le parcours client désigne l’ensemble des étapes marketing, commerciales et des interactions que le client a avec une entreprise. Depuis le moment où il prend connaissance de l’existence de l’entreprise jusqu’à l’achat de ses produits ou services. Et même au-delà…

Le parcours clients est également connu sous le nom de customer journey. Il peut inclure des étapes telles que :

  • la recherche d’informations sur l’entreprise et ses produits,
  • la comparaison avec d’autres entreprises et la décision d’achat,
  • l’expérience d’achat en elle-même,
  • l’utilisation des produits ou services achetés,
  • et le service après-vente.

Il est important pour une entreprise de comprendre le parcours client de ses clients. Ceci afin de pouvoir optimiser chacune des étapes marketing et commerciales pour créer une expérience positive et différenciante.

Cela peut inclure la mise en place de processus de vente efficaces, de stratégies de marketing ciblées et de programmes de fidélisation solides. En comprenant le parcours client, une entreprise peut également identifier les points de friction et les problèmes rencontrés par les clients afin de trouver des solutions pour y remédier.

Voyons maintenant quelles sont les étapes du parcours client

 

Les étapes du parcours client

 

Il n’existe pas vraiment de parcours client standard qui s’applique à toutes les entreprises. Mais voici quelques étapes courantes que l’on peut retrouver dans le parcours client marketing et le schéma de nombreuses entreprises :

 

1. Prise de conscience

Cette étape du parcours clients consiste en la découverte de l’entreprise et de ses produits ou services par le client. Cela peut se faire par le biais de publicités marketing, de recommandations de la part de connaissances, de recherches en ligne, ou d’actions de marketing direct (cold emailing, cold calling, porte à porte, lettre commerciale, etc.).

 

2. Considération / évaluation

Une fois que le prospect a pris connaissance de l’entreprise, il peut décider de la comparer avec d’autres entreprises concurrentes proposant des produits ou services similaires. Il peut également rechercher des informations sur les produits et services de l’entreprise, ainsi que sur les prix, les avis client et les conditions générales de vente.

 

3. Prise de décision

Lorsque le client potentiel a évalué les différentes options qui s’offrent à lui, il prend une décision d’achat ou non. Si le client décide d’acheter le produit / service proposé, il passe à l’étape suivante du tunnel de ventes.

 

4. Achat

Cette étape du parcours client marketing consiste en la réalisation de l’achat en lui-même. Qu’il s’agisse d’un achat en ligne ou en magasin. Le client va remplir un formulaire d’achat, entrer ses coordonnées et procéder au paiement. Ou bien il va signer un devis, un contrat ou une proposition commerciale afin de s’engager…

 

5. Utilisation

Une fois que le prospect est devenu client en achetant les produits ou services, il va les utiliser et profiter de leurs bénéfices / obtenir un résultat. Cette étape peut inclure des interactions avec le service client pour obtenir de l’aide ou des conseils d’utilisation / d’installation.

 

6. Évaluation de l’expérience client

Une fois que le client a utilisé les produits ou services achetés, il peut enfin évaluer son expérience globale avec l’entreprise au prisme des équations de la satisfaction client. Cela peut être formalisé auprès de l’entreprise par le biais d’une enquête de satisfaction ou de commentaires en ligne.

 

7. Fidélisation client

Si le client a eu une expérience positive avec l’entreprise, il peut décider de devenir un client fidèle et de continuer à acheter les produits ou services de cette entreprise à l’avenir. L’entreprise peut quant à elle mettre en place des stratégies de vente additionnelle et de gestion relation client afin de développer la valeur à vie du client.

 

8. Recommandation client

Si la recommandation se matérialise, c’est la preuve d’une expérience client réussie. Lors de cette dernière étape du parcours client, l’acheteur devient un ambassadeur. De quelques jours à quelques semaines après son achat, il faut inciter le client à donner son avis, faire un témoignage client et des recommandations. L’entreprise peut, par exemple, envoyer un SMS / email ou prévoir un appel avec tous les clients qui ont réalisé un achat récemment.

 

Il est important de noter que le schéma du parcours client marketing peut varier en fonction de l’entreprise et de ses produits ou services, ainsi que des préférences et des comportements de ses clients. Il peut également y avoir des étapes supplémentaires comme le traitement des réclamations, litiges, remboursement, résiliation, retour de produits, etc.

 

Schéma parcours client : exemple marketing

 

schéma parcours client

 

Exemple de parcours client étape par étape

 

Voici un exemple de parcours client sur Technique de Vente :

  1. Prise de conscience : un prospect qui cherche comment trouver des clients et booster ses ventes découvre l’entreprise grâce à un article de blog, vidéo YouTube, podcast, interview dans les médias…
  2. Évaluation : il visite le blog et télécharge le guide PDF des 8 piliers de l’efficacité commerciale avec sa formation vidéo gratuite. Il se renseigne, lit des avis clients, et compare avec d’autres formations sur Internet.
  3. Décision d’achat : avec la multitude d’informations gratuites accessibles en ligne et les nombreux témoignages clients disponibles il décide de commencer par acheter un premier produit chez nous.
  4. Achat effectif : le client décide d’acheter en ligne le livre best seller Technique de Vente : Les Stratégies Gagnantes étape par étape en remplissant le bon de commande et en payant par carte bancaire.
  5. Utilisation : dans l’attente de recevoir le livre physique à son domicile il reçoit immédiatement la version numérique et comment à lire le livre et à tester quelques techniques de vente.
  6. Évaluation de l’expérience client : comme il obtient les premiers résultats assez rapidement il est très content et laisse un témoignage spontanée 5* sur Amazon, Truspilot, Facebook ou Google Avis Client, ou sur ses réseaux sociaux… suite à quoi nous lui offrons un bonus sur son espace membre.
  7. Fidélisation : le client satisfait de l’expérience positive et des premiers résultats décide de passer à la vitesse supérieure en rejoignant une formation commerciale à distance complète avec accompagnement. Il suit la formation, participe aux sessions d’accompagnement mensuelle et aux échanges dans la communauté privée.
  8. Recommandation : fort de son expérience réussie et du retour sur investissement qu’il a obtenu il ne cesse de recommander les ressources gratuites et les formations avancées de Technique de Vente Edition auprès de son entourage. Suite à quoi un ami à lui s’inscrit également à une formation en ligne, ce qui lui permet de gagner 25% de commissions via le programme d’affiliation / partenariat.

 

Comment construire le parcours client idéal ?

 

Voici quelques étapes à suivre pour construire le parcours client marketing d’une entreprise :

 

1. Identifier les étapes du parcours client

Commencez par identifier les étapes du parcours client de votre entreprise. Cela peut inclure la recherche d’informations sur l’entreprise et ses produits, la décision d’achat, l’expérience d’achat, l’utilisation des produits ou services achetés, et le SAV éventuel.

 

2. Recueillir un maximum de données clients

Pour comprendre comment les clients interagissent avec l’entreprise, il est vital de recueillir des données sur leur comportement. Cela peut être fait en utilisant des outils de suivi de la satisfaction des clients, en analysant les données de vente, et en menant des enquêtes clients.

 

3. Identifier les points de friction / les opportunités d’amélioration

Une fois que vous avez compilé les données clients, vous pouvez identifier les points de friction et les opportunités d’amélioration du parcours client. Cela peut inclure la simplification de processus de vente complexes, l’amélioration de l’interface du site web ou la mise en place de programmes de fidélisation pour encourager les clients à acheter de nouveau / recommander.

 

4. Élaborer un plan d’action

Une fois que vous avez identifié les points de friction et les opportunités d’amélioration, élaborez un plan d’action marketing et commercial pour mettre en œuvre les changements nécessaires. Cela peut inclure la mise à disposition de ressources supplémentaires pour le service client, la mise en place de campagnes de marketing ciblées ou la modification de la façon dont les produits sont présentés sur le site.

 

5. Mettre en œuvre et suivre les changements

Une fois que vous avez élaboré votre plan d’action commercial, il est important de mettre en œuvre les changements de manière efficace et de suivre leur impact sur le parcours client des clients. Encore une fois, utilisez des outils de suivi de la satisfaction des clients, un CRM, les données de vente, et des enquêtes auprès des clients…

 

En suivant ces étapes, vous pouvez construire un parcours client efficace qui répond aux besoins et aux attentes de vos clients tout en les incitant à acheter de nouveau et à recommander votre entreprise.

 

Comment optimiser le parcours client marketing ?

 

Il existe plusieurs moyens pour optimiser le parcours client marketing d’une entreprise :

 

1. Comprendre les besoins et les motivations des clients

Il est important de bien comprendre ce que les clients cherchent lorsqu’ils interagissent avec une entreprise et ce qui les pousse à acheter. Cela peut être fait en menant des enquêtes auprès des clients, en analysant les données de leur comportement sur le site web de l’entreprise ou en utilisant des outils de suivi de la satisfaction des clients.

 

2. Offrir une expérience client de qualité

Pour fidéliser les clients, il est essentiel de leur offrir une expérience de qualité à chaque étape du parcours client. Cela peut inclure une interface de site web facile à utiliser, un processus d’achat fluide, un service client réactif et des produits de qualité supérieure.

 

3. Identifier et résoudre les points de friction dans le parcours client

Il est important de repérer les points de friction du parcours client et de trouver des solutions pour y remédier. Cela peut être fait en analysant les données de comportement des clients et en menant des enquêtes auprès d’eux pour connaître leurs frustrations et leurs besoins.

 

4. Mettre en place des programmes de fidélisation

Pour encourager les clients à acheter de nouveau, il peut être utile de mettre en place des programmes de fidélisation qui leur offrent des avantages : réductions, cadeaux ou des expériences exclusives.

 

5. Surveiller et analyser les performances

Il est important de suivre les performances de l’entreprise dans le temps. Analysez les données pour savoir ce qui fonctionne bien et ce qui peut être amélioré (test and learn). Cela peut être fait en utilisant des outils de suivi de la satisfaction des clients, en analysant les données de vente et en menant des enquêtes auprès des clients.

 

En mettant en œuvre ces stratégies marketing, une entreprise peut optimiser le parcours client de ses clients et créer une expérience idéale pour développer naturellement la croissance des affaires.

Dites-nous dans les commentaires quelles sont les actions que vous allez entreprendre maintenant ? Et également que pensez-vous de nos conseils ?

 

carrière commerciale

Comment faire une carrière commerciale explosive et réussir rapidement dans le métier de commercial ? Pourquoi certains vendeurs vont rester au même poste de commercial pendant des années, alors que d’autres vont avoir des promotions successives et une croissance explosive ? C’est ce que nous allons voir dans cet article vidéo en analysant les ingrédients clés d’une carrière commerciale réussie

 

Qu’est ce qu’une carrière commerciale explosive ?

 

C’est un fait avéré. Certains vendeurs évoluent beaucoup plus vote que d’autres au sein de la fonction commerciale. Donc, comment s’inspirer des meilleurs ?

Pour faire une carrière commerciale réussie et explosive, il faut d’abord prendre en compte l’environnement. Ca va dépendre de la taille de la structure dans laquelle vous êtes. Cela dépend aussi de l’évolution du marché, et de la croissance de l’entreprise…

 

Faire carrière commerciale dans une petite structure

 

Les petites structures comme les TPE, PME, start-up vont avoir tendance à faciliter l’évolution rapide d’une carrière commerciale. Tout simplement parce que les choses bougent généralement plus vite que dans un grand groupe. Lorsque tout se passe bien en tout cas.

Il est facile de comprendre que vous n’irez pas aussi vite dans un paquebot que dans un zodiac. Les choses sont beaucoup plus normées et les parcours sont généralement plus long dans les ETI et les grands groupes.

 

Faire une carrière commerciale internationale

 

Après, il n’y a pas de vérités absolues bien évidemment. Même dans les grands groupes, si vous faites ce qu’il faut et que vous avez le bon profil commercial, il est possible de pouvoir croitre rapidement. Comme par exemple à l’international si vous parlez anglais…

Sinon, envisagez de faire une formation en anglais pour vous ouvrir un maximum de portes vers une carrière commerciale internationale.

Mais qu’est-ce que l’on entend par une carrière commerciale explosive ?

Obtenir toujours davantage de rémunérations, c’est le préambule. Mais aussi, c’est le fait de monter dans la hiérarchie.

Par exemple, il n’est pas rare que des simples vendeurs / commerciaux finissent par être directeur commercial ou PDG d’une société sur un échelon de 5 à 10 ans dans ce que l’on appelle une carrière commerciale explosive. Alors, quel est le premier conseil pour y parvenir ?

 

1. Faire plus que son job de commercial

 

Le 1er conseil pour faire une carrière commerciale rapide est relativement simple, mais tellement peu appliqué. C’est de faire plus que son job. Aujourd’hui, se contenter de faire ce pourquoi vous êtes payé, et faire le descriptif de la fiche de poste d’un commercial, ça ne suffit plus…

Ca ne suffit pas à sortir du lot !

Pour faire une carrière commerciale explosive, il faut sortir du lot obligatoirement.

Et donc, ça passe par quoi ?

Faire plus que les autres ! Faire plus pour avoir plus de résultats, c’est simple, non ?

Mais avoir plus de résultats ne suffit pas non plus. Il faut communiquer et faire connaître ses résultats. Il faut communiquer en interne, dans son entreprise, pour que les dirigeants sachent que vous avez plus de résultats que les autres, que vous sortez du lot.

Mais il faut également communiquer en externe, c’est-à-dire auprès de son réseau professionnel de manière plus large, auprès de la concurrence, des fournisseurs et clients sur votre marché, et auprès d’autres marchés.

 

Exemple commercial

 

Aujourd’hui, il est indispensable de faire du personal branding. C’est à dire de développer sa marque personnelle sur le réseau pro n°1 : LinkedIn. Et également pour aller plus loin sur Facebook, Instagram, YouTube… Ainsi que tous les autres réseaux sociaux qui permettent de développer sa notoriété.

Comment faire ?

Communiquez habilement sur vos résultats encore une fois !

Lorsque vous réalisez de belles ventes, des performances commerciales (ou même une surperformance inhabituelle sur le marché). Lorsque vous faites bien votre job et que les clients parlent de leurs résultats. Alors, c’est le moment de le faire savoir.

Dans la fonction commerciale, vous êtes probablement classés sur des concours commerciaux. Vous obtenez parfois des récompenses. On vous met en avant dans les séminaires commerciaux annuels. On vous nomme / tague sur les réseaux sociaux quand vous êtes promu à plus de responsabilités / un nouveau poste…

Lors de toutes ces occasions, charge à vous de relayer, et de bien communiquer ces informations sur vos propres canaux.

En interne comme en externe, vous pouvez également faire des reportings commerciaux stratégiques pour mettre en avant vos résultats.

 

Exemple de reporting pour booster sa carrière commerciale

 

Prenons un exemple concret lorsque j’ai démarré ma carrière commerciale chez Heineken Entreprise. Quand on est dans une multinationale avec une force de vente de plusieurs dizaines / centaines de commerciaux, il est difficile de sortir du lot. Et comme je vous le disais, on ne peut pas se contenter de faire des ventes et d’avoir des résultats.

Donc, faire du reporting stratégique pour booster sa carrière commerciale c’est par exemple communiquer sur tout ce que vous avez fait au périmètre de votre activité commerciale. En faisant par exemple un petit PowerPoint avec des photos qui expliquent ce que vous avez mis en place au prisme de la stratégie d’entreprise.

Il s’agit de faites des rapports, et des rapprochements entre ce que l’entreprise veux et ce que vous avez réalisé sur le terrain.

Par exemple, dans mon cas, j’envoyais chaque semaine un Power Point avec des mises en avant et des opérations commerciales théâtralisées en entrée de magasin, en tête de gondole, des réimplantations de rayon en magasins où vous voyez facilement en un coup d’oeil le avant / après : le gain réalisé.

 

Facilitez le travail à votre direction commerciale : soignez votre visibilité

 

Dans une grande entreprise, tout le monde n’est pas spontanément au courant de ce que vous faites au quotidien, même si vous avez des bons résultats. Donc, il faut faire du reporting commercial stratégique et communiquer dessus !

Essayez d’être omniprésent !

Envoyez vos communications à votre manager, votre N+2, au directeur commercial, au PDG, aux actionnaires (si vous les connaissez un minimum). Mettez tout le monde dans la boucle !

Lorsque vous avez des pris des initiatives, lorsque vous êtes proactif, lorsque vous faites plus que votre job, tout le monde doit le savoir. C’est vraiment une condition indispensable pour sortir du lot, vous faire remarquer et être plébiscité pour évoluer au sein de l’entreprise dés qu’un siège se libère / ou se crée.

Le fait de communiquer en externe cette fois-ci, en partageant des témoignages clients, des réalisations, des études de cas type success story… ça vous permet d’être visible à l’extérieur de l’entreprise sur l’intégralité de votre réseau.

Comme je le disais, la concurrence, les fournisseurs / distributeurs, partenaires… sont de futurs potentiels recruteurs. Si vous êtes ouvert à des opportunités, vous pouvez avoir des propositions de toute part pour évoluer plus vite.

Tout ça dépend de vos propres objectifs professionnels. Si vous vous sentez bien (ou pas) dans votre entreprise, et de votre propre projection de carrière commerciale.

Mais il ne faut pas vous limiter à l’interne si vous avez de l’ambition.

Donc, charge à vous de bien communiquer en externe et de mettre en place ce fameux reporting stratégique, de faire du personal branding pour être omniprésent sur votre marché.

 

Autre exemple de branding pour booster sa carrière commerciale

 

Dans une de mes entreprises, il y a un commercial qui se reconnaitra probablement. Il a su développer un portefeuille client conséquent. Il a fait les choses de manière correcte et professionnelle au fil des années. Durant 4 ans, il a travaillé pour nous et développé son portefeuille, sa réputation et sa visibilité sur son réseau.

Aujourd’hui, nous avons arrêté cette activité commerciale. Et ce commercial a facilement pu décrocher un job commercial chez la concurrence. Il a non seulement réussi à se faire recruter facilement. Mais aussi à obtenir des conditions qui sont très favorables en termes de package commercial et de responsabilités.

Il a clairement fait un bon en avant dans sa carrière commerciale. Et en plus de ça, il a réussi à recruter une bonne partie des clients qu’il avait conquis au sein de notre entreprise.

C’est un exemple parmi tant d’autres. Mais ça vous permet de mettre en perspective les conseils que je vous donne.

 

2. Être proactif vis-à-vis de sa direction commerciale

 

Le 2e conseil est simple : soyez proactif vis-à-vis de votre direction commerciale en interne. La première chose à envisager dans une carrière commerciale, c’est de regarder les évolutions possibles en interne. Même s’il ne faut pas fermer les yeux en externe.

Être proactif vis-à-vis de la direction commerciale, ça veut dire :

  • envoyer des reporting commerciaux réguliers
  • profiter des accompagnements managériaux pour faire part de vos objectifs
  • utilisez l’entretien annuel d’évaluation

Les contacts avec votre manager / directeur commercial vous permettent de prendre la température par rapport à la stratégie commerciale de l’entreprise. C’est à dire là où veut aller le Pdg / le comité de direction, mais également là où vous voulez aller dans votre carrière commerciale.

Ça vous permet de communiquer sur vos ambitions, sur là où vous souhaitez être dans 1-3 ans, et comment vous souhaitez évoluer.

Votre manager commercial doit vous donner le chemin : est-ce que c’est possible ou pas ?

Et quel est le chemin à emprunter pour pouvoir vous inscrire dans le développement de l’entreprise et pouvoir obtenir plus de rémunération / responsabilités / un poste supérieur et évolution dans la hiérarchie.

Mais, ne vous contentez pas ce rendez-vous annuel !

 

Exemple de proactivité pour obtenir une évolution commerciale

 

Charge à vous de fixer des étapes / curseurs, de vous embarquer vous et votre manager, éventuellement le N+2 / le top management. Mettez tout le monde dans la boucle en prenant des engagements mutuels :

  • voilà où on veut / peut aller ensemble pour développer la croissance de l’entreprise
  • voici le type de postes que je vise si on réussit à atteindre les objectifs communs
  • voilà mes prétentions au niveau salarial (en termes de rémunération, de package, ainsi de suite…)
  • et voilà ce que vous attendez de moi en contrepartie (les indicateurs de résultats à atteindre)

Charge à vous de communiquer à votre management chaque fois que vous progressez. Ou quand vous atteignez les objectifs commerciaux qui vous ont été assignés.

Cela vous permet de rester dans le viseur de l’entreprise, de faire partie des talents à fidéliser, et de faire partie du capital humain sur lequel on mise en tant que dirigeant commercial et que l’on va souhaiter faire évoluer pour accompagner la croissance de l’entreprise.

Communiquez de manière mensuelle / hebdomadaire sur votre avancé, sur l’atteinte des objectifs. Et encore une fois, essayez d’en faire plus que les autres pour vraiment vous démarquer. C’est à dire être la personne à laquelle on pense lorsqu’il y a un nouveau poste qui vient de s’ouvrir (ou lorsqu’il y a du turn over).

Parce que dans les entreprises, il y a toujours du turn over.

Surtout dans les entreprises à la croissance rapide, il y a des gens qui quittent le bateau. Des gens qui sont promus à d’autres postes… et donc, il y a des sièges vacants sur lesquels se positionner.

 

Comment être proactif pour une évolution commerciale ?

 

Pour que l’on pense à vous afin de venir vous assoir sur un siège vacant intéressant dans une carrière commerciale, il faut être proactif comme je viens de l’expliquer.

Idem pour l’externe, il faut être proactif si vous voulez recevoir des opportunités dans d’autres entreprises. N’hésitez pas à déjeuner régulièrement avec des contacts stratégiques dans votre marché.

Ça peut même être la concurrence…

Vous n’êtes pas obligé d’être en recherche de poste active auprès de la concurrence. Mais prenez simplement des repas avec la concurrence pour savoir où ils en sont niveau business, comment avancent leurs entreprises, comment ça se passe pour eux sur le marché, etc.

 

Ne soyez fermé à aucune opportunité commerciale

 

Il ne faut pas être fermé car tous les concurrents ne sont pas forcément des ennemis !

Moi-même, dans chaque entreprise, j’ai toujours gardé un œil sur mes concurrents. Et j’ai toujours eu des relations de proximité avec eux parce qu’on ne peut pas couvrir tous les besoins du marché.

Donc, de temps en temps il y a une affaire qu’on ne peut pas signer par exemple. Rien ne vous empêche d’être bienveillant et de la servir sur un plateau à des concurrents pour activer la réciprocité le moment venu. Quand il y a une impossibilité technique de travailler avec un prospect, alors mettez-le en relation avec un de vos concurrents avec lesquels le feeling passe bien.

Ça n’est qu’un exemple. Mais si vous faites les choses de manière stratégique et si vous êtes proactif, le moment venu, vous pourrez utiliser votre réseau afin de faire savoir que vous souhaitez changer d’entreprise parce que le courant ne passe plus / parce qu’il n’y a plus de possibilité d’évolution, etc.

Vous pourrez ainsi activer votre réseau pour demander s’il n’y a pas des opportunités ailleurs. Et vous pourrez faire savoir que vous êtes à l’écoute du marché. Cela facilitera votre progression et l’évolution de votre carrière commerciale.

 

3. Garder les oreilles grandes ouvertes pour évoluer dans la fonction commerciale

 

Le 3e conseil, c’est de garder les oreilles grandes ouvertes ! Soyez attentif lorsqu’on vous parle de personnes qui vont être mutées. Ou des sièges qui vont potentiellement être vacants dans les semaines, mois, années à venir…

Soyez le premier à vous positionner en manifestant votre intérêt et en demandant ce qui vous empêche aujourd’hui de prétendre à ce poste. Ou quel est le chemin à parcourir pour pouvoir vous assoir sur ce siège vacant.

 

Demandez de manière directe et proactive à votre direction commerciale

 

Demandez à votre directeur commercial ce qu’il faut faire pour pouvoir prétendre à ce poste.

Cela vous permettra de ne pas avoir de mauvaises surprises ainsi que d’être transparent quant à vos ambitions. Et que votre direction soit transparente quant au chemin à parcourir pour pouvoir vous permettre de bénéficier de cette promotion commerciale.

Idem pour les opportunités en externe. Soyez transparent avec tous les contacts stratégiques de votre réseau (concurrents directs / indirects, fournisseurs, clients, partenaires…). Expliquez que vous avez atteint un certain stade dans l’entreprise, ce qui vous satisfait, mais que vous n’êtes pas pleinement épanoui. Parce que vous avez d’autres ambitions / des challenges qui sont supérieurs à ce que peut vous permettre d’atteindre l’entreprise en question.

Attention, je ne vous dis pas de faire un bébé dans le dos à l’entreprise dans laquelle vous êtes actuellement. Car cela se paye tôt ou tard !

Charge à vous, en rapport à vos propres objectifs de carrière commerciale, de regarder les évolutions possibles en externe si l’entreprise dans laquelle vous êtes ne peut pas satisfaire vos ambitions.

 

Activer son réseau commercial

 

Faites le savoir, demandez, activez votre réseau… Et vous allez voir que si vous faites plus que ce pour quoi vous êtes payé, si vous obtenez des résultats, si vous communiquez sur ces résultats, si vous êtes proactif comme on l’a vu dans le point 2, alors la suite naturelle c’est que vous allez recevoir des propositions d’embauche.

Vous allez recevoir des opportunités d’évolution dans votre carrière commerciale. Et vous n’aurez qu’à prendre le temps de la réflexion pour choisir.

Vous pourrez tout naturellement faire monter les enchères en communicant à votre direction actuelle que vous êtes bien (ou partiellement insatisfait) chez eux, alors que vous avez reçu telle ou telle proposition.

Demandez-leur comment est-ce qu’ils voient les choses : est-ce qu’ils souhaitent vous garder ? Si oui, à quelles conditions ? Si non, comment vous pouvez partir en bon termes ? Demandez-leur de quoi ils ont besoin : si vous devez former un nouveau collaborateur, etc. Que pouvez-vous faire avant de partir pour vous quitter en bons termes ?

Pourquoi prendre des gants ?

Parce que même si vos chemins se séparent, il est toujours possible que vous repassiez dans cette entreprise dans 2 ans, 3 ans, 5 ans… C’est aussi avec ce types de passerelles que se construisent les carrières commerciales explosives.

Il n’est pas rare de se séparer, de se quitter en bons termes et d’être recontacté quelques années plus tard pour un poste que l’on souhaitait obtenir et qui vient de se libérer à présent. Ou encore, pour un nouveau challenge commercial / business unit qui va s’ouvrir à l’étranger, ainsi de suite…

Donc, restez toujours stratégiquement en bons termes avec vos employeurs. Soyez à l’écoute du marché !

 

Vidéo bonus pour réussir sa carrière commerciale

 

 

Voilà nos 3 conseils pratico pratiques pour évoluer rapidement dans la fonction commerciale et avoir une croissance explosive dans votre carrière de commercial(e). Mettez en pratique et partagez vos résultats en commentaire ci-dessous.

commerce électronique

Le domaine du commerce électronique est connu pour être compétitif. Si vous voulez réussir en tant qu’entrepreneur de commerce électronique, il faudra faire preuve de créativité en matière de ventes et de marketing. Il y a de fortes chances que vous soyez en compétition avec des gens qui ont une trésorerie beaucoup plus importante que vous et qui peuvent vous surpasser à de nombreux niveaux.

C’est pourquoi vous devez être prêt à utiliser différentes méthodes de vente et des méthodes de marketing que certains de vos concurrents pourraient négliger. Voici 4 stratégies de vente et marketing de commerce électronique que vous devriez essayer pour 2023.

 

Le marketing imprimé

 

Nous plaçons le marketing imprimé en haut de cette liste parce qu’il est négligé par de nombreux propriétaires d’entreprises de commerce électronique. Le fait qu’il soit si largement inutilisé en fait l’une des meilleures options pour les petites entreprises qui tentent de rivaliser avec de plus gros joueurs.

Une façon simple d’utiliser le marketing d’impression serait d’imprimer des dépliants avec vos produits en incluant un bon de réduction. Si vos dépliants sont suffisamment accrocheurs et que vous les envoyez au bon public, vous pourriez être surpris des résultats que vous obtiendrez.

Tout ce que vous avez à faire est de télécharger des images à partir de votre site, de les convertir dans un format imprimable comme PNG et d’engager quelqu’un pour concevoir les dépliants pour vous. Si vous avez actuellement des fichiers SVG sur votre site Web et que vous souhaitez les convertir pour impression, découvrez comment convertir SVG en PNG avec Adobe.

 

Optimisez votre site web pour la conversion

 

Si vous n’avez jamais testé votre site web pour les conversions, vous commettez une erreur majeure. Même si vous avez fait construire votre site web par un professionnel et que vous obtenez des ventes, cela ne signifie pas que votre site et vos tunnels de vente fonctionnent à leur plein potentiel.

Il y a de fortes chances que vous puissiez faire des choses pour améliorer vos taux de conversion et tirer davantage parti du trafic que vous obtenez.

 

Améliorer l’expérience utilisateur (UX)

 

L’une des choses les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer la conversion serait d’apprendre la psychologie des couleurs et de l’appliquer à votre site Web. Certaines couleurs sont connues pour mieux fonctionner pour différentes entreprises et fonctions.

Le bleu clair, par exemple, inspire la confiance et est couramment utilisé dans des domaines comme la santé ou l’assurance pour cette raison. L’orange et le jaune sont souvent associés à l’industrie alimentaire. Et le rouge est la couleur de choix pour les appels à l’action.

D’autres choses qui pourraient aider à améliorer les taux de conversion en commerce électronique incluent :

  • la rationalisation de votre processus de paiement,
  • une amélioration de la navigation et de l’UX,
  • la modification de la taille et du poids des images / de la police pour optimiser la vitesse
  • etc.

 

Faire de l’A/B testing sur le commerce électronique

 

Afin d’améliorer efficacement les taux de conversion, cependant, vous devez connaître les tests A/B.

Le test A/B consiste à présenter deux versions différentes de votre site web aux visiteurs et à surveiller leurs réactions. Vous pourrez alors voir quels changements affectent positivement leur comportement et les conserver.

Assurez-vous de ne faire que de petits changements à la fois ici. C’est parce que vous aurez du mal à déterminer ce qui a provoqué une amélioration des ventes si vous apportez plusieurs modifications à la fois.

 

Marketing par e-mail et Automatisation

 

Le marketing par e-mail et l’automatisation de ceux-ci pourraient être deux des outils de vente les plus puissants que vous puissiez utiliser. Ce qui les rend si puissants est leur rentabilité et leur efficacité en commerce électronique.

La plupart des détaillants majeurs en ligne ont un système automatisé qui envoie un email de suivi lorsque les gens abandonnent leur panier. Et vous devriez le faire aussi. Il n’y a aucune raison d’abandonner un client qui était si près de conclure une vente.

Faire quelque chose d’aussi simple que de leur envoyer une offre de suivi avec une légère remise pourrait être plus que suffisant pour les faire revenir. Et c’est quelque chose que vous pourriez facilement faire avec un bon logiciel email marketing et un CRM.

 

Le commerce électronique est facilité avec un bon CRM

 

Les CRM devraient faire partie de votre arsenal s’ils ne le sont pas déjà. Et ils ne sont pas réservés aux grandes marques. Les petites entreprises de commerce électronique peuvent utiliser les CRM pour développer leur clientèle et envoyer des offres en fonction de leurs habitudes.

Un CRM vous permettra de catégoriser vos clients et d’obtenir un aperçu rapide de leurs habitudes d’achat, entre autres. Vous pourrez les classer en fonction du montant total qu’ils ont dépensé sur votre site Web par exemple. Ou des articles qu’ils aiment acheter. Vous pouvez ensuite utiliser des e-mails pour les inciter en leur envoyant des offres pour des articles susceptibles de leur plaire.

En dehors de ça, vous pouvez utiliser le marketing par e-mail pour envoyer des e-mails en masse à vos abonnés et les informer d’une vente. Le marketing par e-mail peut également être un moyen très efficace d’annoncer le lancement de nouveaux produits.

 

Marketing TikTok

 

De nombreux propriétaires d’entreprise ne prennent toujours pas TikTok au sérieux. Ne prenez pas le risque d’être dépassés. TikTok représente l’avenir des médias à en croire le développement des autres plateformes. Et si vous n’êtes pas sur la plateforme, vous perdez probablement de l’argent.

TikTok peut être particulièrement puissant si vous vendez des articles physiques. C’est encore mieux si ces articles sont originaux ou visuellement intéressants. Vous pouvez soit utiliser la plateforme publicitaire de TikTok, soit disposer d’une chaîne présentant vos produits.

Une autre façon de réaliser des ventes à partir de la plateforme est de collaborer avec des influenceurs.

Il existe des chaînes entières sur TikTok dédiées spécifiquement aux produits de commerce électronique. Et elles sont souvent ouvertes à la présentation d’articles d’entreprises moyennant des frais.

Vous pouvez essayer de contacter ces canaux directement. Mais votre meilleur pari serait de travailler avec une agence de marketing TikTok qui vous mettra en contact avec les meilleurs influenceurs pour votre marque, vos objectifs et votre budget.

 

Conclusion sur le commerce électronique en 2023

 

Toutes ces méthodes devraient être sur votre radar si vous souhaitez améliorer vos ventes en 2023. Essayez en autant que vous le pouvez à partir d’aujourd’hui et concentrez-vous sur celles qui vous apportent les résultats les plus satisfaisants. C’est aussi simple que ça : test & learn …

booster ses ventes

Besoin de booster les ventes car vous traversez une période commerciale difficile ? Les ventes stagnent, et vous souhaitez inverser la vapeur ? Rassurez-vous, dans la vente, tous les vendeurs ont des mauvaises passes. Tôt ou tard, cela arrive quel que soit le secteur d’activité, la conjoncture économique et la typologie des clients…

La différence entre les professionnels de la vente et les débutants / amateurs, c’est la capacité à rebondir rapidement, en conservant une psychologie commerciale gagnante. Vous souhaitez rejoindre le cercle des tops vendeurs ? Alors, passons au crible 14 pistes concrètes pour augmenter les ventes dés demain !

 

14 pistes pour savoir comment booster les ventes quand tout va mal

 

Commençons par la base. L’importance que vous accordez à l’échec commercial dépend essentiellement de vous. La meilleure manière de sortir de l’impasse consiste à prendre du recul. Il faut mettre les choses en perspectives, analyser, réfléchir… puis AGIR pour rebooster les ventes !

Qu’il s’agisse de notre capacité professionnelle qui nous fait temporairement défaut. Ou bien de l’environnement externe venant impacter notre business de manière négative. Il convient toujours de réagir positivement.

Et parfois, cela fait du bien de revenir aux fondamentaux pour redresser les ventes et renouer avec les 3 leviers du développement commercial.

Voici tout de suite une « prescription destinée à restaurer la bonne santé des ventes » comme le dit si bien Jeffrey Gitomer dans Le petit livre rouge de la vente :

 

1. Reprendre les fondamentaux du processus de vente

 

Vous avez probablement une idée de ce qui ne va pas. Ou bien alors, vous n’avez pas cherché à creuser les raisons de vos échecs. Si vous ne trouvez pas tout seul, vous pouvez toujours demander un éclairage extérieur sur ce qui ne fonctionne pas dans vos pratiques commerciales :

Toujours est-il que dans ces périodes de crise, il est bon de commencer par se replonger dans les fondamentaux de votre business.

Revoyez votre cycle de vente, votre plan de vente, la préparation des étapes de la vente, les techniques de vente utilisées, votre stratégie commerciale, etc.

Voici une vidéo sur les 21 compétences en vente des meilleurs vendeurs au monde. Cela vous donnera probablement des pistes d’amélioration :

 

 

Maintenant, votre travail consiste à analyser les dysfonctionnements prioritaires pour rétablir un processus de vente fonctionnel.

Dressez une liste de 2 ou 3 actions à engager tout de suite pour rectifier le tir lors de vos prochains entretiens de vente ! Puis commencez par là…

 

2. Revoir sa méthode de vente

 

Nous allons maintenant pousser d’un cran en analysant étape par étape votre processus de vente (et ses performances) afin d’isoler vos points de force, vos points faibles, et les axes d’améliorations au sein de votre pipeline commercial.

Passez tous vos indicateurs de vente (KPI’s) au crible pour pouvoir capitaliser sur vos forces et travailler vos faiblesses ! Puis, définissez un véritable plan d’actions commerciales correctif à suivre…

Ce sera votre feuille de route commerciale sur les prochains mois !

 

3. Identifier 5 actions commerciales prioritaires pour booster les ventes

 

La loi de Pareto fonctionne dans la vente : 20% des actions commerciales contribuent à 80% du résultat. En identifiant ces 20% et en concentrant vos efforts dessus vous serez plus efficace et productif au quotidien.

C’est ça l’efficacité commerciale !

Si vous avez des affaires en cours (actions de prospection, propositions commerciales à réaliser, actions de ventes additionnelles sur votre fichier client…) identifiez ce qui est le plus RENTABLE et qui prend le MOINS DE TEMPS.

Classez vos prochaines actions commerciales à réaliser au prisme de ces critères de rentabilité et vous allez gagner en performance commerciale !

 

4. Modifier sa présentation commerciale

 

L’accroche commerciale (pitch commercial) représente l’un des tout premiers maillons du cycle de vente. Il s’agit donc d’un point névralgique pour booster les ventes.

Essayez donc d’autres pitchs commerciaux avec des phrases d’accroche commerciale plus percutantes. Tentez une approche différente tout en restant orienté client avec une promesse de bénéfice forte !

Définissez une présentation commerciale courte / moyenne / détaillée. Vous pourrez ainsi vous adapter au contexte de vos clients et être plus percutant en situation (en fonction du temps qu’ils vous accordent)…

Testez et re-testez l’effet produit lors de vos rendez-vous clients. Puis améliorez votre présentation commerciale au fur et à mesure jusqu’à qu’elle cartonne vraiment !

 

5. Appeler ses meilleurs clients

 

Demandez-leur pourquoi ils achètent chez vous, ce qu’ils apprécient dans la relation commerciale, et ce que vous devez éventuellement améliorer pour être au top.

Demandez-leur conseil et vous gagnerez un temps précieux pour relancer les ventes !

Le travail, et l’amélioration continue, sur la satisfaction client et la fidélisation client paye toujours quand il s’agit de booster les ventes…

 

6. Solliciter un coaching commercial

 

Nous avons parfois la tête dans le guidon dans le quotidien de la fonction commerciale ! C’est la raison pour laquelle une personne extérieure « expérimentée » est toujours mieux placée pour identifier les dysfonctionnements commerciaux. Et les sources de progrès qui permettraient d’augmenter les ventes.

Donc, n’hésitez pas à investir dans un coaching commercial pour avoir une analyse professionnelle de vos pratiques commerciales et compétences en vente actuelles. Cela vous permettra d’établir un plan d’action avec un retour sur investissement rapide !

En dernier recours, si votre budget est limité, demandez a minima un feedback à votre chef des ventes / directeur commercial. Vous obtiendrez un retour sur votre pitch, votre capacité à poser les bonnes questions, argumenter, traiter les objections, et conclure la vente…

Enfin, dernière piste – à prendre avec des pincettes – sollicitez vos collègues. Ceux qui sont identifiés comme les meilleurs vendeurs, car ils sont plus susceptibles de vous aider à booster les ventes.

Attention toutefois, certains vendeurs n’aiment pas la compétition interne et/ou ne sont pas des bons pédagogues. Ils vous feront donc perdre du temps avec des conseils très peu efficaces, ou carrément inutiles.

Qui que vous sollicitiez, il y a une seule règle à garder en tête. Identifiez ceux qui ont les résultats commerciaux que vous souhaitez obtenir, et sollicitez-les !

 

7. Rendre visite à un mentor

 

Le mentorat n’a plus besoin de faire ses preuves, c’est une source de progrès phénoménale ! Préparez-vous soigneusement, réfléchissez bien aux questions que vous allez lui poser. Prenez beaucoup de notes, et mettez rapidement en pratique les conseils que vous recevrez. C’est relativement simple, mais redoutablement efficace. 😉

Choisissez encore une fois la bonne personne. Passez à l’action, analysez et mesurez les résultats avec lui (ou elle), puis recommencez !

 

8. Augmenter son temps de productivité

 

Travaillez quand les autres dorment ! Commencez votre journée avant les autres, terminez après eux, ou bien les deux.

Je peux vous assurer que si vous augmentez votre temps de productivité pour améliorer votre situation commerciale actuelle, alors mécaniquement vous allez rapidement augmenter les ventes !

C’est une solution rapide à mettre en place, qui ne demande que motivation + énergie + persévérance…

Lorsque j’ai démarré en tant que cadre commercial terrain chez Heineken Entreprise en circuit grande distribution, j’étais tous les jours en point de vente entre 5h et 8h (avant ouverture au public) alors que mes concurrents arrivaient bien souvent après ouverture.

Vous n’imaginez pas le nombre d’opportunités business saisies…

En moins d’un an, le secteur que j’avais repris (dans le rouge) était devenu celui en plus forte croissance ! En moins de 4 ans, c’était le premier secteur de la région avec 44% de parts de marché, et il pesait 19,6 M€ lorsque j’ai quitté la société (alors qu’on me proposait une grosse promotion)…

 

9. Ne pas se lamenter

 

Quoi qu’il arrive, soyez toujours optimiste, positif et enthousiaste. Évitez de pleurnicher sur les dysfonctionnements de l’entreprise, la qualité des produits, le prix, l’évolution du marché, la concurrence…

Focalisez-vous sur vos points de force. Croire en soi est le meilleur moyen de convaincre les autres ! Votre mental conditionne la manière dont les autres interagissent avec vous, et donc vos résultats.

C’est un cercle vertueux pour booster les ventes.

 

10. S’entourer de leaders des ventes

 

L’énergie, l’enthousiasme et la performance sont contagieux. Ces personnes vous tireront vers le haut sur le plan personnel et professionnel. Mieux vaut être le petit dernier dans un groupe de lions, que le plus fort dans une basse-cour…

Il existe un concept testé et éprouvé dans de nombreux ouvrages qui explique que vous êtes la moyenne des 5 personnes que vous fréquentez le plus. Ainsi, lorsque vous fréquentez la plupart du temps des gens aux résultats médiocres, il est difficile de les dépasser en termes de résultats.

Par contre, lorsque vous passer du temps avec des personnes qui ont de meilleurs résultats que vous, quel que soit le domaine, il y a un nivellement par le haut qui s’opère. Alors, entourez-vous de leaders des ventes et de tops performers dans leurs domaines si vous voulez croître !

 

11. Se libérer du temps pour développer ses compétences commerciales

 

Les ressources sont nombreuses. Lisez, suivez des formations commerciales en ligne et /ou formations présentiellesécoutez des podcasts, regardez des vidéos sur Youtube / des reportages, assistez à des conférences d’experts…

Peu importe comment, mais prenez du temps pour vous former. C’est vital (même si vous n’avez pas encore de budget dédié pour le faire). Car celui qui n’avance pas, recule…

 

4 ressources commerciales gratuites pour booster ses ventes

 

Pour chasser les mauvaises habitudes et les croyances limitantes, il vous faut les remplacer par des nouvelles… et de préférence les bonnes !

D’où l’intérêt de bien vous entourer et de choisir QUI VOUS ÉCOUTEZ, et à qui vous accordez de l’attention. Jugez les gens sur leurs résultats et non sur ce qu’ils disent ou promettent. 😉

Comme rien ne sert de réinventer la roue, allez chercher les bonnes pratiques commerciales là où elles sont

Si je vous donne ce conseil, c’est principalement parce que je me suis formé (et continue de me former) auprès des meilleurs. Mon budget formation représente plusieurs dizaines de milliers d’euros / an. Certains ne regarderont que ce que cela me coûte. Moi je vois uniquement ce que cela me rapporte !

 

12. S’accorder du temps libre

 

Divertissez-vous, et faites ce que vous aimez 1/2h par jour. C’est le meilleur moyen de repartir à fond et d’avoir un mental d’acier : une psychologie commerciale gagnante !

Personnellement, par exemple, je fais beaucoup de sport (et j’adore ça). Et dés que je saute plusieurs journées, mes performances s’en ressentent. D’où l’intérêt de garder le rythme et de construire une routine afin de vous bloquer du temps pour ce que vous aimez faire.

Certains font ça tôt le matin, d’autres entre midi et deux, ou tard le soir… peu importe.

Trouver le rythme qui vous convient. Bloquez du temps pour vous dans votre agenda. Et profitez-en vraiment. Mettez le téléphone en mode avion et rendez vous indisponible si besoin. Ou au contraire, passez du temps avec les gens que vous aimez. Cela dépend de chacun…

 

13. Demander aux meilleurs vendeurs de vous accompagner

 

Identifiez quelques tops vendeurs (bienveillants) et demandez-leur de vous accompagner sur vos séances de prospection téléphonique / terrain, ou directement sur des entretiens de vente avec des clients potentiels.

Avant chaque vente, faites un briefing (et entraînez-vous si besoin). Demandez ensuite un feedback commercial et une évaluation écrite à l’issue de chaque entretien de vente que vous réalisez.

Puis, travaillez à fond ces comptes rendus. Améliorez-vous et puis recommencez l’exercice jusqu’à en devenir redoutablement efficace commercialement !

Vous recevrez beaucoup de critiques constructives. Si vous acceptez de vous remettre en question et de corriger le tir, alors cet exercice se révélera extrêmement profitable pour augmenter les ventes rapidement.

 

14. Demander un feedback lorsque vous ratez une vente

 

Demandez systématiquement aux clients avec qui vous ne faites pas affaire pourquoi cela n’a pas aboutie ! Cultivez ce réflexe pour booster les ventes dans la durée.

La vente est un marathon, et non un sprint.

Dans le tas, vous allez obtenir des pépites commerciales pour muscler votre jeu de jambes et compléter votre plan d’action. Vous deviendrez une pointure dans votre secteur, et ferez la différence sur vos concurrents pour susciter la préférence de vos clients !

 

Comment améliorer sa technique commerciale de vente ? (3 exercices)

 

 

Bonus : comment relancer les anciens clients pour faire du business rapide ?

 

 

Vous avez maintenant 14 + 1 pistes concrètes pour relancer et booster les ventes en période de crise. Rappelez-vous toujours de ceci : en faisant ce que vous avez l’habitude de faire, vous obtiendrez systématiquement les mêmes résultats…

Alors, c’est l’heure de passer à l’action !

Si vos résultats actuels ne vous conviennent pas, vous savez ce qu’il vous reste à faire pour augmenter les ventes

 

« L’attitude détermine les actions. Les actions déterminent les résultats. Les résultats déterminent les modes de vie. »

Jim Rohn

 

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Analyse SWOT Exemple
augmenter le chiffre d'affaires

Comment augmenter le chiffre d’affaires d’une entreprise ? Que ce soit en ligne ou hors ligne, toutes les entreprises ont le même objectif : développer les ventes ! Alors voyons comment développer son chiffre d’affaire en 3 étapes seulement

Avoir de beaux bureaux, des beaux produits et services, c’est bien. Mais avoir un chiffre d’affaires en hausse, et des ventes prédictives, c’est mieux. C’est le nerf de la guerre. Voyons quels sont les 3 leviers de croissance pour développer les ventes d’une entreprise.

 

Comment augmenter son chiffre d’affaires en 3 étapes ?

 

La plupart des acteurs commerciaux sont dans l’action permanente. Comme un hamster dans une roue, ils ne prennent pas suffisamment de recul sur les actions commerciales et marketing stratégiques qui ont réellement un impact pour augmenter le chiffre d’affaires d’une entreprise.

Il y a, selon mon expérience, seulement trois leviers majeurs qui ont un impact considérable sur le chiffre d’affaires et qui vont permettre de scaler le développement de l’entreprise.

Voyons lesquels…

 

1. Développer le nombre de clients potentiels de l’entreprise

 

Tout d’abord, pour développer le chiffre d’affaires d’une entreprise nous avons le nombre de clients potentiels. Et c’est la raison pour laquelle le nerf de la guerre, ça reste la prospection commerciale, la recherche systématique de clients potentiels qui peuvent acheter vos produits et services.

Ça veut dire quoi ?

Ça veut dire tout simplement avoir un système d’acquisition qui tourne en permanence et qui soit prédictif. Il faut pouvoir l’alimenter en permanence. Donc, si aujourd’hui votre acquisition client est un petit peu fragile (un seul levier / une seule source de prospection commerciale par exemple) il faudra vous diversifier en multicanal pour minimiser les risques et augmenter le volume de client potentiel à traiter.

 

Exemples pour développer le chiffre d’affaire avec de nouveaux clients

 

Par exemple, imaginons que vous ayez uniquement des prospects potentiels qui sollicitent des rendez-vous à travers votre site Internet / votre blog. Vous pourriez envisager de vous diversifier avec :

Vous avez compris qu’on peut aller plus loin que la plupart des stratégies de prospection commerciale classique. Il existe bien d’autres ressources. Mais l’idée, c’est de ne pas avoir un seul levier, un seul flux d’acquisition client pour augmenter le chiffre d’affaires d’une entreprise. Plus vous diversifier, plus vous serez à l’aise, vous serez confortable dans votre capacité à générer un nombre suffisant de clients potentiels, c’est vraiment le nerf de la guerre.

2. Comment développer les taux de transformation

 

Le 2e levier pour savoir comment augmenter son chiffre d’affaire, c’est d’optimiser le taux de transformation client. En effet, c’est bien d’avoir un flux constant de nouveaux clients potentiels dans son pipeline des ventes. Mais ce qui va faire une différence pour le chiffre d’affaire d’une entreprise, c’est la capacité à transformer ces clients potentiels (ces prospects) en clients effectifs.

Donc, c’est votre degré d’efficacité commerciale.

C’est la raison pour laquelle, j’explique régulièrement la nécessité d’avoir un processus de vente qui soit prédictif. Une machine à vendre qui permet de savoir que quand on injecte X clients potentiels à l’entrée, on en ressort Y clients effectifs à la sortie.

Prenons l’exemple d’un processus de vente qui délivre entre 50 % de taux de transformation sur les cibles (suspects) en contacts commerciaux validés (prospects qualifiés). Ensuite, sur ces contacts qualifiés disons que l’on en retire 50 % de clients effectifs. Cela nous donne donc un taux de transformation global de 25%.

En ayant en tête les différents taux de transformation, cela permet de pouvoir prévoir l’activité commerciale et l’augmentation du chiffre d’affaire de l’entreprise. C’est à dire de pouvoir générer des objectifs de croissance qui sont réalistes. Puisqu’ils reposent sur des chiffres qui sont concrets, tangibles et réalistes.

 

Augmenter le chiffre d’affaire d’une entreprise en jouant sur les taux de conversion

 

Une fois les différents taux de transformation connus, savoir comment développer son chiffre d’affaires est un jeu d’enfant. Vous pouvez bien sûr agir simultanément sur :

  • Le volume du sourcing de l’acquisition (vu au point 1)
  • L’efficacité commerciale de vos process, techniques et méthodes de vente. Ceci en cherchant à améliorer un petit peu chaque taux de transformation intermédiaire

Vous avez compris qu’une vente est une succession de différents taux de transformation en fonction de chaque phase commerciale. Puisqu’entre chaque étape du processus de vente il est possible d’augmenter le nombre de clients potentiels restants en course.

Avec le même nombre de suspects et de prospects, il est possible d’avoir plus de clients à la sortie par un gain d’efficacité commerciale sur :

  • Le pitch commercial de prospection
  • La qualité de la qualification et du diagnostic commercial
  • L’adaptation des arguments de vente pour mieux convaincre
  • Le traitement des objections
  • Etc.

 

Pour faire plus de chiffre d’affaire tout se travaille et s’optimise

 

De la qualité du discours commercial, des compétences commerciales au niveau technique, jusqu’au mental (psychologie commerciale) tout se travaille.

Il existe 11 compétences en vente qui touchent plutôt à l’aspect mental et 10 compétences qui touchent à l’aspect technique.

En travaillant ces 21 compétences clés en vente vous augmenterez avec certitude votre efficacité sur chaque taux de transformation.

Voyons maintenant le 3e et dernier levier pour augmenter le chiffre d’affaire d’une entreprise

 

3. Comment augmenter son chiffre d’affaire par client

 

Enfin, 3e levier pour savoir comment augmenter son chiffre d’affaire, c’est de travailler à l’augmentation de la valeur par client. Ça veut dire savoir vendre la valeur.

Donc, arriver à créer des offres commerciales qui positionnent la valeur ajoutée, cela permet d’avoir un pricing plus élevé avec votre gamme de produits et services.

Cette stratégie passe également par un travail sur la vente additionnelle, complémentaire ou croisée pour arriver à développer le volume et la valeur des commandes. Ça peut être également un travail sur la fréquence d’achat.

Demandez-vous ce qui constitue l’expérience client optimale. De quoi a besoin le client dans l’idéal ? Qu’est-ce que je peux lui vendre comme produit ou service additionnel / complémentaire (à des rythmes bien établis) qui vont lui permettre d’améliorer son expérience d’achat  ?

Charge à vous, en fonction du business modèle et des produits et services vendus, de vous demander : qu’est-ce que je peux vendre en complément pour augmenter la valeur par client ? Et à quelle fréquence je peux vendre ces produits et services ?

 

Un levier magique pour développer le chiffre d’affaire

 

Enfin, pour augmenter le chiffre d’affaire d’une entreprise il y a un dernier levier : la recommandation. Comment transformer son portefeuille de clients en apporteur d’affaires ? Demandez-vous par exemple :

  • Comment est-ce que je peux systématiser la prise de recommandation avec mes clients existants ?
  • Et comment je peux augmenter ce taux de mise en relation / taux de recommandation ?
  • Quel plan d’apport d’affaires / programme d’affiliation / partenariat puis-je proposer à mes clients actuels pour me faciliter l’effort de prospection ?

C’était d’ailleurs le levier numéro un pour augmenter son chiffre d’affaire : le volume de clients potentiels. Et cela diversifie le risque en augmentant encore le volume généré par votre système d’acquisition.

Et voyez comme la boucle est bouclée. En capitalisant sur ces trois leviers vous savez exactement comment augmenter le chiffre d’affaires d’une entreprise.

On a vraiment un effet de levier considérable parce que plus on a de clients potentiels, plus haut sont nos taux de transformation, et plus la valeur par client est élevée, au final, moins on a besoin de courir après de nouveaux clients. Et moins on a besoin de se mettre la pression commercialement pour atteindre les objectifs de développement du chiffre d’affaires.

Vidéo synthèse pour développer son CA

 

 

Pas besoin d’un savant calcul mathématique, il est relativement aisé de comprendre qu’en augmentant un tout petit peu chacun de ces curseurs, cela a un effet exponentiel sur le développement de l’activité commerciale. A vous de jouer et d’y aller étape par étape…

métier de commercial

Qu’est-ce que le métier de commercial aujourd’hui ? En quoi ça consiste au quotidien d’être commercial ou commerciale ? Qu’est-ce qui fait la différence entre les bons commerciaux et les mauvais vendeurs ? C’est ce qu’on va essayer de voir ensemble dans cet article sur la fonction commerciale

Définition du métier de commercial

Alors, qu’est-ce que le métier de commercial aujourd’hui ? J’aurais tendance à dire, pour résumer à outrance, qu’être commercial c’est tout simplement être la vitrine de l’entreprise sur le terrain.

Les commerciaux représentent le point de liaison entre les clients et l’entreprise. C’est la passerelle en quelques sortes, avec un rôle de facilitateur…

Donc, c’est un rôle clé, un rôle prépondérant qui, malheureusement, est bien souvent dénigré. Parce que la croyance populaire laisse à penser qu’il suffit d’avoir de la tchatche ou de savoir, comme disent certains, vendre des glaçons à des esquimaux.

C’est assez réducteur. Car être un bon commercial nécessite bon nombre d’autres compétences. Elles sont toutes décrites dans cet article sur les 21 compétences de vente qui font la différence entre les meilleurs vendeurs au monde et les autres.

Qu’est ce que le métier de commercial aujourd’hui ?

Voyons quelles sont les missions et qu’est ce que le métier de commercial concrètement en 4 points clés …

1. Le commercial / commerciale est la vitrine de l’entreprise

Le métier commercial est noble avec une haute valeur ajoutée ! Les commerciaux sont chargés de représenter l’entreprise et de déployer la stratégie de l’entreprise sur le terrain auprès de la clientèle.

Donc, peu importe les canaux, que ça soit en face à face sur le terrain, au téléphone à distance, en visioconférence, par email, par chat, sur les réseaux sociaux… il y a toujours un commercial pour transformer la vente.

Excepter sur de la vente type e-commerce à faible valeur ajoutée (et encore), il y a toujours un commercial chargé de transformer les contacts potentiels en ventes effectives en ayant une conversation avec les clients.

Et donc quel est le rôle du commercial ?

La fonction de ce métier commercial c’est de comprendre à qui l’on a affaire. De comprendre le client mieux que lui même afin de l’aider à prendre la meilleure décision possible pour lui. Cela en utilisant sa boite à outils commerciale : le processus de vente de l’entreprise, son plan de vente, son argumentaire…

C’est grâce à tout l’attirail avec lequel le commercial aura été formé, et auquel il aura été entrainé, il pourra réaliser une parfaite exécution sur le terrain et convaincre les clients facilement.

Donc c’est lui qui va véritablement déployer la stratégie commerciale de l’entreprise et la faire vivre de manière opérationnelle. Il y a plusieurs points qui sont très, très, très, très importants et dont le commercial a la charge. Le premier, je viens d’en parler, c’est la vitrine de l’entreprise sur le terrain. Voyons la suite …

2. Le métier commercial consiste avant tout à trouver des clients

La deuxième mission d’un commercial, c’est d’alimenter de manière continue le pipeline des ventes. C’est-à-dire le nombre de clients potentiels. Donc, c’est lui qui est en charge de la prospection commerciale.

C’est lui qui a la charge de s’assurer (au travers une quête permanente) de trouver des clients potentiels à qui présenter les produits et services de l’entreprise.

Et oui, qu’est ce que le métier de commercial si ce n’est de générer un maximum d’opportunités de vente ?

Faire de la prospection commerciale est vital

Pour cela, le job de commercial consiste à prospecter, qualifier, échanger, présenter des pistes de solutions en un ou plusieurs points de contact suivants s’il s’agit d’une simple ou complexe. C’est à dire une vente pour laquelle cela nécessite d’élaborer un cahier des charges, ou de présenter la solution à différents niveaux du circuit de décision…

Peu importe, vous l’avez compris, c’est lui qui a en charge de faire de la prospection commerciale. Car la prospection client, c’est vital pour la pérennité et le développement d’une entreprise. C’est ce qui permet de ne jamais être à court de clients potentiels. Et de toujours continuer à développer ce flux de contacts qualifiés qui peuvent devenir des clients potentiels à court, moyen et long termes.

3. Être commercial, c’est transformer des contacts en clients effectifs

Troisième levier, qui va de pair avec le précédent, le commercial a également la charge de transformer les contacts potentiels en ventes effectives. Donc, c’est lui l’ambassadeur, encore une fois, de la bonne exécution opérationnelle du plan d’action commercial.

C’est la raison pour laquelle le commercial ou la commerciale ne doit jamais être laissé dans la nature tout seul, comme un électron libre. Les commerciaux ont besoin d’être managés et accompagnés.

Qu’est ce que le métier de commercial aujourd’hui si ce n’est de générer du chiffre d’affaire et plus de marges ?

Pour cela, le commercial a besoin d’être formé, entrainé et accompagné comme un sportif de haut niveau. Ceci pour vérifier qu’il est toujours sur un bon niveau d’exécution opérationnelle. Et qu’il est toujours performant par rapport à la stratégie de l’entreprise et son déploiement.

La formation commerciale et le coaching son indispensable

C’est la raison pour laquelle j’invite tous les managers commerciaux à entendre le message. Ce n’est pas le tout de recruter les bons profils commerciaux, et de les former. Il faudrait ensuite les maintenir au top niveau et les accompagner dans la durée.

Donc, cela implique faire du coaching commercial régulièrement pour vérifier qu’ils ont toujours un bon niveau de connaissance de l’évolution technique des produits et services, mais également un bon niveau de connaissance de l’évolution de la stratégie par rapport à l’évolution de la demande.

Donc, voilà, ce sont les commerciaux qui sont en charge de transformer les ventes. Ce sont eux qui maitrisent l’exécution et donc le niveau d’efficacité commerciale. Ils sont responsables de la performance commerciale et, in fine, de la performance économique.

La bonne santé de l’entreprise repose sur l’action commerciale…

4. Les commerciaux sont aussi en charge de la fidélisation client

Et enfin, quatrième point, ce sont les commerciaux qui ont également la charge de satisfaire et de fidéliser la clientèle. Car c’est eux qui sont au contact direct de la clientèle. Il ne suffit pas de prendre des contacts, de transformer l’essai, puis de les délaisser pour les laisser partir dans la nature et nourrir la concurrence.

Il faut suivre ses clients, vérifier le niveau de satisfaction, maintenir des points de contact pour rester dans le paysage, élever le niveau de qualité de service et fidéliser les clients dans le temps.

L’objectif et de faire en sorte que les clients soient satisfaits des produits et services, satisfaits de l’entreprise, et qu’ils n’aillent pas voir ailleurs chez la concurrence.

Le métier de commercial exige également de développer le volume, la fréquence d’achat et le nombre de recommandations obtenus. Ainsi que le niveau d’affiliation, de parrainage, de collaboration avec les clients actuels pour faciliter justement ce travail de prospection « de la part de »… Ainsi la boucle est bouclée.

En quoi consiste le métier de commercial aujourd’hui ? (vidéo)





En fin de compte, le métier de commercial est passionnant. Comme vous l’avez compris, et il est au cœur du développement de l’entreprise. C’est un métier / une fonction incontournable dans l’entreprise qui va vous mettre en relation avec bon nombre d’autres fonctions : marketing, RH, juridique, service technique, service après-vente… suivant la structure dans laquelle vous vous trouvez.

Donc, c’est un métier qui est vivant, passionnant et en perpétuel mouvement !

Maintenant que vous savez qu’est ce que le métier de commercial, vous avez probablement envie de sauter le pas ? Vous avez envie de vivre une vie professionnelle passionnante et lucrative ? Il convient donc de vous former pour sortir du lot, décrocher une offre d’emploi commerciale, et faire une carrière commerciale explosive !



benchmarking

Qu’est-ce qu’un benchmark ? Comment faire un benchmarking marketing et commercial de la concurrence ? Et comment benchmarker en interne ou en horizontal sur d’autres secteurs d’activité les meilleures pratiques ?

Le Benchmark ou Benchmarking est une technique indispensable pour faire évoluer son entreprise ! Face à une concurrence de plus en plus féroce, que ce soit pour obtenir des parts de marché, trouver de nouveaux clients, ou une équipe compétente, faire évoluer son entreprise est devenu un challenge des plus ardu. Une des meilleures options pour relever ce challenge, c’est d’avoir recours au benchmarking. Un outil qui permet d’identifier les bonnes pratiques commerciales et les facteurs clés de succès.

De cette manière, vous pourrez établir une stratégie commerciale qui vous donnera un avantage en matière de productivité et de compétitivité. Bien que le Benchmarking figure parmi ces techniques marketing connues de l’ensemble des professionnels, il continue de souffrir d’une mauvaise interprétation.

Il est soit assimilé à la veille soit à une simple étude concurrentielle. Le benchmark dépasse pourtant ces deux techniques sur différents points comme la méthode d’approche et l’angle d’analyse. Pour mieux comprendre cette technique marketing, faisons un focus sur son fonctionnement et ses différentes formes…


Qu’est ce que le benchmark ? Définition


Le benchmark consiste à analyser les différentes approches et méthodes utilisées par autrui pour pouvoir optimiser son propre travail. Dans ce contexte, autrui peut désigner un autre salarié ou une autre équipe travaillant au sein de la même entreprise.

On parle alors de benchmarking interne.

Un benchmark peut aussi prendre comme objet d’analyse des entreprises. Si ces dernières travaillent sur le même marché que le vôtre, on parle de benchmarking compétitif.

Dans le cas contraire, il s’agit d’un benchmarking fonctionnel.

Enfin, lorsque le benchmarking s’intéresse à des entreprises qui n’entrent pas directement en concurrence avec vous et qui proviennent de plusieurs marchés, on passe du modèle fonctionnel à celui dit horizontal.

En résumé, le benchmarking est une technique qui consiste à identifier les meilleures pratiques en interne et en externe ! Cela dans l’objectif d’en tirer des leçons et de s’inspirer.


Quelle est l’application du benchmark en entreprise ?


L’objectif du benchmarking est de comprendre et d’analyser la position actuelle d’une société et de son organisation (la vôtre et celles de vos concurrents).

Cela afin d’identifier les moyens et les différents leviers qui permettront de booster les ventes, ou de mieux fidéliser les clients.

Par exemple, cela peut concerner une innovation technique, des processus, l’acquisition de compétences via une formation… Ou bien, cela peut concerner des points de détail comme des méthodes promotionnelles, l’usage d’objets publicitaires personnalisés, etc.

Un exemple de benchmark dans le marketing digital consiste à analyser les stratégies de SEO des concurrents. En observant les mots-clés qu’ils ciblent, la qualité de leurs backlinks et leur classement dans les résultats de recherche, vous pouvez obtenir des données précieuses pour améliorer votre propre stratégie. Cet exemple de benchmark permet de comprendre quelles pratiques sont les plus efficaces et d’ajuster vos efforts pour améliorer votre positionnement. En comparant vos résultats à ceux des concurrents, vous identifierez rapidement les domaines dans lesquels vous êtes en retard et les leviers à actionner pour accroître votre visibilité en ligne.

Un autre exemple de benchmark peut concerner la gestion de la relation client. En examinant comment vos concurrents gèrent les retours clients, leur rapidité de réponse et la satisfaction générale des utilisateurs, vous pouvez identifier des marges d’amélioration pour votre propre service. Par exemple, si un concurrent se distingue par l’utilisation d’un système automatisé de suivi des réclamations, cet exemple de benchmark vous aide à évaluer si une solution similaire pourrait améliorer votre performance. En appliquant ces méthodes, vous optimiserez l’efficacité de votre service client tout en augmentant la satisfaction de vos clients.


Le benchmarking interne


Le benchmarking interne est un excellent moyen d’identifier les types d’informations qui manquent au niveau de l’organisation de votre entreprise. Ce type de benchmark est considéré comme étant le plus aisé à réaliser.

Pourquoi ?

Parce que l’équipe en charge des recherches ne sera pas limitée par des facteurs externes. Il possède également des avantages intéressants.

Par exemple, les informations relatives à l’entreprise sont accessibles et correctes, au contraire de celles concernant la concurrence. En s’informant auprès d’employés volontaires et motivés, il est également plus facile de benchmarker en mesurant ce qui a été accompli et de définir des axes de progrès plus objectifs.

De même, il est plus pratique de faire des comparaisons, en se référant à l’historique des projets internes et en mesurant l’impact des performances récentes.

Il est par ailleurs plus aisé d’identifier les points à améliorer et de proposer des solutions. En ce sens, le benchmarking interne contribue à une amélioration continuelle.


Comment faire un benchmark interne ?


Lorsque vous remarquez un salarié ou une équipe qui se démarque, il convient d’analyser ses méthodes de travail pour trouver celle qui se trouve à l’origine de leur succès.

Cette méthode-clé sera ensuite adaptée aux autres équipes ou salariés pour les mettre au même niveau.

Au fil du temps, un nouveau gouffre va se former grâce au travail de développement effectué par chaque salarié ou équipe et le benchmarking reprend… ce qui permet de créer un cycle.

En somme, le benchmarking interne peut être assimilé à une introspection pour l’entreprise afin d’améliorer sa productivité. Benchmarker devient alors un outil de management.


Les données et les analyses : des éléments essentiels pour améliorer une entreprise


A l’heure du numérique, une entreprise doit être capable de calculer et quantifier les performances de sa force de vente pour établir un diagnostic.

Les benchmarks ou points de repère peuvent inclure des chiffres et des estimations se basant sur les revenus des années précédentes, ou bien des statistiques présentant les performances d’un employé en particulier.


Quels sont les avantages du benchmarking interne ?


Ces données permettront de mettre en lumière les forces, de cibler les faiblesses, de prioriser les efforts et ressources sur des points distincts. Un responsable des ventes pourra établir une stratégie adéquate pour dépasser ces benchmarks, et tirer la performance de son équipe vers le haut.


Le benchmarking externe


Comme l’a cité Sun Tzu dans l’Art de la guerre : « Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît, mais ne connaît pas l’ennemi sera victorieux une fois sur deux. Qui ne connaît ni son ennemi ni lui-même est toujours en danger. »

Il est essentiel de connaitre ses concurrents (benchmark compétitif), mais pas que… nous le verrons au prochain chapitre avec le benchmark fonctionnel et horizontal !


Quels sont les avantages du benchmarking externe ?


Le benchmarking compétitif vous permet de protéger vos intérêts en identifiant vos concurrents directs les plus performants, dans le but de booster votre compétitivité. Car il est essentiel de rester compétitif sur le marché.

Et le meilleur moyen d’y arriver est de benchmarker pour comprendre qui sont vos concurrents, comment ils travaillent et quelles sont leurs stratégies pour être à ce point compétitif.

Le benchmarking externe est un outil qui fournit une comparaison systématique et fréquente avec des concurrents dans votre secteur qui ont des performances, des processus et des compétences de base qui se classent parmi le haut du tableau.

Selon Robert C. Camp, l’un des pionniers du benchmark : « Qui veut s’améliorer, doit se comparer ». Toutefois, il ne s’agit pas de copier purement et simplement les pratiques les plus efficaces des concurrents, mais de les transposer à votre entreprise.

De façon générale, un benchmarking externe efficace vous permettra de repérer qui sont les leaders dans votre secteur d’activité, de comparer vos performances par rapport aux leurs et de tirer des leçons sur leurs meilleurs processus et pratiques.

Ensuite, il vous faudra déterminer une stratégie pour éviter que cela ne se retourne contre votre entreprise.

Car il ne sert à rien d’adopter une méthode qui n’est pas adaptée à votre typologie de clients par exemple. Ces derniers, ainsi que leurs besoins doivent être au centre de votre stratégie commerciale.


Comment récupérer les données des concurrents ?


Il est difficile d’accéder aux données des concurrents, parce que cela reste le plus souvent confidentiel. Heureusement, a l’ère numérique il est possible d’utiliser internet pour avoir des infos sur les concurrents qui vous intéressent.

Vous pouvez analyser leurs sites internet ou bien leurs réseaux sociaux. Ou encore, utilisez des outils marketing comme la sales intelligence (données financières, taux de notoriété, clients, partenaires, fournisseurs… tout est accessible assez facilement en quelques clics) !

Vous pouvez benchmarker et consulter des sources d’informations complémentaires, telles que les études de marché effectuées par des organismes tiers (privés, indépendants, etc.). Celles qui ont été faites par des syndicats ou fédérations d’entreprise, ou bien les informations financières rendues publiques. Vous aurez ainsi un aperçu du contenu de leur offre de produits et de services, du positionnement, et de leur stratégie commerciale.


Comment faire un benchmark de la concurrence rapide et efficace en 3 étapes ?





Le benchmarking fonctionnel et horizontal


Ces deux benchmarking peuvent être rapprochés, car ils adoptent le même fonctionnement. La seule différence réside dans le fait que le benchmarking horizontal s’intéresse à plusieurs marchés.

Dans les deux cas, l’étude vise à identifier une technique commerciale / marketing ou managériale efficace et qui peut être adaptée à votre entreprise.

Pour vous donner un exemple clair, imaginez une entreprise spécialisée dans la vente de produits bureautiques. Elle peut lancer un benchmarking sur des sociétés spécialisées dans la vente d’articles de mode pour trouver des méthodes permettant de régler une problématique de gestion des stocks par exemple.

Ces deux benchmarking cherchent à trouver des solutions externes à des problèmes internes en s’inspirant de modèles ayant fait leur preuve sur un autre marché.

Pour conclure, une opération de benchmark bien menée devrait permettre à votre entreprise d’égaler, ou au mieux de dépasser ses concurrents. Tout en étant à l’écoute des besoins des clients et partenaires, pour mieux les satisfaire.

C’est un outil au service de l’amélioration permanente et dédiée à la recherche de l’excellence. Que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de la société. Il faut cependant garder à l’esprit qu’il est préférable d’utiliser uniquement les benchmarks, données et pratiques qui auront le plus d’impact positif sur les performances de votre société.


Comment se différencier de la concurrence commerciale ?





Envie d’aller + loin ? Voici comment améliorer votre stratégie d’entreprise :

technico commercial métier

Qu’est ce qu’un technico commercial ? Quelles sont ses qualités ? Comment devenir technico-commercial et réussir dans ce métier ?

Avec ses connaissances bien spécifiques, le technicien commercial est un atout précieux pour une entreprise. Plus que la formation dédiée à apprendre son métier, il doit aussi bénéficier de certaines qualités qui seront appréciées des recruteurs. Alors en quoi consiste un emploi de technico-commercial ? Quelle différence avec un emploi de commercial classique ? Quelle formation doit être suivie et quelles sont les qualités requises ? Explications !

Un emploi technico commercial, c’est quoi ?

Concernant un emploi pour technico-commercial, plusieurs compétences seront demandées au candidat : des compétences commerciales bien sûr ainsi que des compétences techniques spécifiques. Ce professionnel peut intervenir aussi bien en BtoC qu’en BtoB, en itinérant ou sédentaire, et propose le plus souvent des produits à forte valeur ajoutée technologique (matériel médical, pour les énergies renouvelables, fournitures industrielles, etc.).

Les entreprises qui proposent de l’emploi de technico-commercial peuvent être de toutes sortes et de toutes tailles. Ainsi, ce sont de nombreux secteurs qui sont accessibles aux candidats (automobile, informatique, aéronautique, métallurgique, digital, électronique …).

En pratique, l’emploi de technico commercial consiste à prospecter, proposer des solutions adaptées au client, négocier des contrats, gérer un portefeuille client et aussi parfois toute une équipe commerciale.

Quelle différence avec un commercial ?

Un emploi de technico-commercial n’est pas tout à fait la même chose qu’un emploi de commercial. Ce sont en effet les connaissances techniques du technicien commercial qui vont différencier ces deux types de postes. Certains produits, services ou secteurs d’activité demandent en effet des compétences bien précises et la vente dans ces milieux ne s’improvise pas.

Impossible donc de faire appel à un commercial classique qui n’aurait pas la maitrise du jargon de ce secteur ni les connaissances spécifiques qui y sont liées.

Dès lors, c’est un emploi de technico-commercial qui sera proposé. Grâce à son expertise, il sait tout de suite de quoi il retourne et a plus de facilités à suivre le rythme de l’entreprise pour être opérationnel rapidement.

Quelle formation pour pratiquer le métier de technico-commercial ?

Le métier de technico-commercial est accessible par le biais d’une formation de base comme un BTS technico-commercial ou un DUT technique de commercialisation. On obtient alors un niveau Bac+2. On peut aussi opter pour une formation plus longue avec un master dans un secteur technique, scientifique ou industriel qui sera ensuite complété par une formation commerciale.

Cependant, il arrive aussi que certains postes commerciaux soient accessibles sans diplôme particulier. Une expérience professionnelle dans un secteur technique et certaines qualités peuvent faire pencher la balance en sa faveur.

Quelles sont les qualités requises pour être un bon technico commercial ?

Comme évoqué précédemment, un emploi de technico-commercial peut être décroché en s’appuyant simplement sur certaines connaissances, mais aussi certaines qualités.

Une parfaite connaissance du produit, du marché ou du client

Quel que soit le profil, le technicien commercial doit absolument connaitre son produit, son marché et son client. Il est donc nécessaire d’opter pour un poste dans son domaine de compétence (informatique, aéronautique, électronique, ferroviaire, etc.). Dès lors que l’on postule à une offre d’emploi commercial, il faudra aussi en apprendre le plus possible sur les produits du client et l’histoire de la marque. Toutes les informations dont on dispose seront une véritable force !

Persévérance et patience

En tant que technico-commercial, faire preuve de persévérance et de patience est une nécessité. Remettre en cause sa technique de vente sans cesse, ne rien lâcher et surtout comprendre le client pour trouver la bonne façon d’amener les choses sera la clé du succès. Des réflexes qui s’acquièrent avec le temps et qui impliquent donc de l’énergie, de la passion et de l’assurance !

Excellentes qualités relationnelles

Comme évoqué précédemment, le contact avec le client est au cœur du métier de commercial. Il est donc nécessaire de disposer d’excellentes compétences relationnelles pour comprendre chaque client et créer un lien de confiance. L’écoute est aussi nécessaire pour savoir entendre les attentes de ce dernier et s’y conformer du mieux possible.

Bonne résistance au stress et à la pression

Le métier de technico-commercial est un métier générateur de stress. Ce dernier peut être utilisé comme un moteur, mais attention à ne pas se laisser dépasser. Si l’on perd ses moyens, il peut y avoir un gros risque de perdre un contrat avec un client. Mieux vaut trouver des méthodes pour rester calme en toute situation et mettre en œuvre des techniques de gestion du stress afin de concilier la pression inhérente à ce métier et le plaisir que l’on aura à travailler dans cet environnement stimulant.

De l’organisation

Enfin, on peut aussi citer l’organisation comme qualité d’un technico-commercial. Souvent, ce sont plusieurs clients différents qu’il va falloir gérer. Une bonne organisation et une bonne mémoire seront nécessaires pour ne pas perdre le fil et rester performant.

Quel est le salaire d’un technico commercial ?

Aujourd’hui, le salaire moyen pour le poste de technico-commercial est de 35 622 € selon Glassdoor en France (selon estimations de salaires sont basées sur 814 salaires partagés anonymement sur Glassdoor par des employés occupant ce poste.

Selon Cadre Emploi cela oscille entre 1 900 € et 5 900 € brut par mois :

Les premières estimations, soit entre 22 000 € et 30 000 € brut par an, concernent les postes « junior », sans expérience préalable.

Le salaire d’un technico-commercial confirmé est compris entre 45 000 € et 69 000 € brut par an.

Ces revenus n’intègrent pas les éventuelles primes dont les montants diffèrent sensiblement d’un établissement à l’autre, et suivant les secteurs…

organisation activité commerciale

Comment adopter une organisation commerciale efficace pour être productif au quotidien ? Quels sont les pièges à éviter dans le pilotage d’une activité commerciale pour être sûr de développer les ventes ? Il existe 3 erreurs qui vont littéralement flinguer votre organisation commerciale et votre productivité si vous n’y faites attention. Voyons lesquelles…

L’organisation commerciale, pourquoi c’est vital ?


L’organisation commerciale de son activité est un des éléments clés dans le business, au-delà des techniques de vente et de la psychologie commerciale. C’est ce qui fait une énorme différence entre les entreprises en termes de performance commerciale et de performance économique.

C’est la raison pour laquelle, la plupart des grandes des grandes entreprises, multinationales et franchises vont fixer des règles de productivité qui sont assez carrées en termes de :

  • procédures et processus de vente
  • volume et fréquence des actions commerciales
  • règles de reporting
  • Etc.

Exemple pour une activité commerciale d’agent immobilier


Prenons l’exemple d’un tout nouveau conseiller immobilier qui viendrait de suivre la formation d’un mandataire immobilier, qui se lance pour démarrer son activité commerciale.

Sans une organisation commerciale digne de ce nom, l’activité de conseiller immobilier est tellement riche qu’il pourrait se laisser embarquer dans le flux de la vie commerciale et ne pas faire ce qui est nécessaire pour obtenir des mandats, comme par exemple :

  • Faire du porte à porte avec un pitch bien rodé pour obtenir des contacts
  • Contacter des propriétaires (sms, appels) sur les sites d’annonces immobilières
  • Distribuer des flyers / cartes de visite localement (commerçants et points de vente du quartier)
  • Faire des posts ou des publicités ciblées et géolocalisées sur Facebook, Youtube, Linkedin…
  • Etc.

Il y a tellement de choses à faire dans l’idéal, qu’il est facile de s’y perdre en termes d’organisation commerciale et de se laisser submerger.

Or, chacune de ces actions commerciales a un impact direct sur la productivité, et sur la performance économique. Mais ce n’est pas forcément de la même intensité…


Les erreurs à éviter dans l’organisation de l’activité commerciale


Alors, voyons comment arbitrer et quelles sont les 3 erreurs qui peuvent plomber la performance de votre activité commerciale


1. Penser que l’on peut signer toutes les affaires


Première erreur : penser que l’on peut signer toutes les affaires. Penser que tout contact commercial peut déboucher sur une vente.

Ça c’est vraiment la première des erreurs qui va aboutir à des points d’engorgement dans l’activité commerciale et le pipeline des ventes. Mécaniquement, on arrive tôt ou tard à au point de non-retour où l’on se retrouve avec :

  • une usine à gaz
  • des affaires potentielles dans tous les sens
  • des relances clients qui sont programmées et qui vont saturer l’agenda

C’est ainsi que l’on sabote la productivité que l’on pourrait tirer d’un pipeline des ventes fluide, réactif, efficace et bien calibré. Donc, cela nécessite un switch mental pour cesser de vouloir courir tous les lièvres à la fois.


En reprenant l’exemple de notre conseiller immobilier, penser que tous les propriétaires qui demandent une estimation ou qui se renseignent ont un projet de vente réel serait une erreur.


Vouloir signer toutes les affaires dans une activité commerciale est contre productif


Je sais que bon nombre d’acteurs commerciaux rêvent qu’il soit possible d’obtenir 100 % de taux de transformation. Mais soyons réaliste. Sur des ciblage clients très précis et ultra réduit cela peut-être possible. Sur des segments de marché où l’on a vraiment un ciblage qualitatif avec des produits exclusifs, des brevets, etc. oui, pourquoi pas…

Mais, en règle générale, si vous faites 100 % de transformation commerciale, c’est que vous n’êtes pas assez ambitieux. Vous n’avez pas assez élargi le spectre de la prospection des clients potentiels. Et donc, peut être qu’il faut commencer par essayer d’élargir la cible commerciale en acceptant le fait qu’il est normal de ne pas tous les signer.


Une activité commerciale performante est basée sur la loi des nombres


Pour avoir une organisation commerciale efficace de l’activité, et développer des parts de marché, il est vital de brasser du volume. Quitte à ce que l’on cible un peu plus large au début.

L’idée est ensuite de qualifier, de trier et d’enlever rapidement les prospects qui ont été ciblé au départ, mais qui ne sont pas dans la meilleure configuration pour avancer rapidement avec vous.

Cela peut paraitre contradictoire, mais c’est la loi des nombres qui fait foi dans une activité commerciale efficace.


Exemple de filtres pour alléger l’activité commerciale


  • Ça n’est pas le bon / le seul interlocuteur (circuit de décision plus large),
  • Pas le bon contexte,
  • Ça n’est pas le bon moment / le bon timing,
  • L’offre n’est pas pile poil adaptée à la résolution des problématiques / à l’atteinte des objectifs / des aspirations…

Quand vous êtes dans ces configurations là, il n’y a rien de grave. C’est normal d’avoir des prospects légèrement hors cible pour alimenter suffisamment l’activité commerciale. Par contre, il convient d’élaguer très rapidement par des filtres de qualifications. C’est cela qui permet de transformer les affaires potentielles plus rapidement et d’avoir un cycle de vente fluide.

Une fois que vous avez pitché et capté l’attention, vérifiez avec quelques questions filtres que vous êtes dans la meilleure configuration pour avancer. C’est une logique de scoring commercial pour filtrer les meilleurs prospects, les clients potentiels idéaux. Tout simplement pour être sûr que vous investissez votre temps au meilleur endroit actuellement.

On ne peut pas signer toutes les affaires. Mais en investissant votre temps de manière rentable avec des prospects stratégiques dans la bonne configuration, vous obtenez des prises de décision rapide. Cela génère du business rapide tout en vous motivant, et en vous laissant la possibilité par la suite de traiter le reste des affaires potentielles si vous le souhaitez en planifiant des actions ultérieures (relance, rappel, point à date) dans votre organisation commerciale.


2. Être dans l’action commerciale permanente et ne pas prendre le temps de scorer


La 2e erreur dans l’organisation de l’activité commerciale c’est d’accorder le même temps et la même importance à toutes les affaires en cours.

Suivant qui vous allez contacter, qui vous allez prospecter, un diagnostic commercial pertinent doit vous permettre de scorer les clients et d’y voir clair sur les probabilités et délais de conclusion.

Dans le pipeline des ventes d’une activité commerciale classique, il va y avoir :

  • des contacts qualifiés avec qui vous avez eu un premier échange
  • des clients potentiels à qui vous avez fait une proposition
  • quelques affaires en cours de négociation
  • et des affaires signées à traiter

C’est la vie d’une organisation commerciale traditionnelle. Donc, le fait de ne pas scorer revient à vouloir traiter toutes les affaires de la même manière.

Or, le fait d’accorder le même temps à des prospects qui sont en phase de closing et qui représente un deal à plusieurs centaines de milliers d’euros qu’à ceux qui viennent tout juste de rentrer dans votre pipe commercial, ce n’est pas bon pour les affaires.

Vous comprenez bien que l’on ne doit pas accorder le même investissement personnel, le même niveau de ressources commerciales à des prospects qui ne sont pas au même stade du pipeline des ventes et qui n’ont pas le même potentiel pour vous.


Exemple d’application commerciale


Revenons en à notre exemple pour un conseiller immobilier. Mieux vaut investir du temps sur la vente d’un bien sous mandat exclusif pour un bien à 100k€ ?

Ou alors sur la vente d’un bien dont vous n’avez pas l’exclusivité mais dont la valeur représente 500k€ ?

Ou encore sur la prise de mandat auprès de 3 contacts qui vous ont été recommandé par des anciens clients ?

Les 3 me direz-vous !

Mais si vous êtes obligé d’arbitrer / de prioriser parce que les journées ne font que 24h ?

Alors, il faudra bel et bien évaluer le potentiel de chacune de ces actions, scorer la probabilité de conclusion, évaluer l’impact pour votre activité commerciale… et décider des priorités pour faire tomber le plus gros domino en premier.

Celui qui va améliorer vos affaires et vous libérer du temps pour faire tomber dans la foulée les dominos suivants.


3. Ne pas avoir de CRM pour gérer l’organisation de l’activité commerciale


Et enfin, 3e erreur : ne pas avoir de CRM pour faciliter l’organisation de l’activité commerciale et le suivi client. Ne pas avoir de logiciel de gestion de la relation client, c’est manquer de visibilité et naviguer à vue.

Par exemple, pour démarrer, cela peut-être utile d’organiser l’activité commerciale avec un simple fichier Excel… Il faut bien mettre le pied à l’étrier en ayant une ébauche d’organisation commerciale en place.

Après, bien évidemment, cela devient une erreur de productivité commerciale !

Ne pas avoir de logiqiel CRM (ou ne pas avoir le bon CRM) ça veut dire ne pas pouvoir rapidement, d’un coup d’œil, cibler et scorer ses actions commerciales pour générer de la performance.


Un logiciel CRM permet de facilité l’organisation de l’activité commerciale


Cela permet de :

  • Avoir accès à un historique qui permet d’être efficace pour raccourcir les délais de cycles de vente
  • Planifier une organisation commerciale avec des process et des règles automatiques (rappels, relances email / téléphonique, etc.)
  • Automatiser un certain nombre de choses pour réduire l’effort cérébral dans l’action commerciale du quotidien

Ces 3 points ont un fort impact sur la productivité commerciale. Parce que nous sommes tous des humains. On a tendance à oublier des choses sur la quantité d’information du quotidien. Je parle d’oublier des petites tâches comme par exemple :

  • l’envoi d’un email suite à un premier échange téléphonique ou physique
  • prendre contact rapidement avec un lead (prospect qualifié) qui a renseigné ses coordonnées sur le site Web
  • relancer une proposition commerciale au bon moment
  • envoyer de la documentation entre deux rendez vous…

Il y a plein de bonnes pratiques, des règles de bonne conduite qui seront simplifiées et facilitées, si vous vous reposez sur un système. Je parle bien sûr d’un système qui a fait ses preuves et qui n’est pas une usine à gaz.


L’organisation commerciale ne doit devenir une usine à gaz


Effectivement, certains logiciels CRM peuvent transformer l’activité commerciale en usine à gaz. Car il y a justement trop d’informations, trop de fonctionnalités inutiles qui ne sont pas utilisable au quotidien.

Donc, je vous invite à vous poser ces questions clés. Est ce que vous travaillez actuellement avec les bons outils d’aide à la vente ? Est ce que votre logiciel de la relation client vous permet d’être efficace, et de savoir au quotidien si :

  1. vous avez suffisamment de prospects entrants dans votre pipeline commercial ?
  2. vos prospects sont suffisamment qualifiés ?
  3. vous accordez votre temps au bon endroit, au bon moment avec les bons prospects (ceux qui ont le plus de valeur potentielle pour le développement de votre activité commerciale) ?

Vidéo : les 3 erreurs qui plombent l’activité commerciale





Les 3 erreurs mises en avant dans cet article sont assez faciles à corriger comme vous le constatez. C’est juste une question de prise de conscience, et de volonté !

N’oubliez jamais que tout va de pair.

Les techniques de vente et l’organisation commerciale de l’activité sont des pièces indispensables d’un même puzzle, d’une machine bien huilée qui génère de la performance commerciale.

A vous de jouer…

comment convaincre un client

Comment convaincre un client sans faire de forcing commercial ? Vous avez du mal à convaincre les clients lorsque vous êtes en situation de vente ? Découvrez un des principes de base en persuasion (le principe d’autorité) ainsi que ses applications en techniques de vente


Comment convaincre un client rapidement et efficacement ?


Parmi des dizaines de techniques de vente pour convaincre et persuader, j’ai choisi de vous présenter 3 techniques basées sur l’utilisation du principe d’autorité. En complément de cette présentation, je vous recommande 3 ouvrages pour approfondir le sujet si vous le souhaitez :

Ces ouvrages ainsi que l’application des techniques commerciales que je vais partager avec vous m’ont permis d’obtenir d’excellents résultats. La compréhension des techniques d’influence et de persuasion m’a permis renforcer mon pouvoir de conviction au quotidien au travers l’expression de mon expertise. Je vous explique tout en détail…


Le principe d’autorité, une technique de persuasion puissante


Ce puissant principe de persuasion à été mis en avant par des chercheurs américains en psychologie sociale, comme Stanley Milgram, puis Robert Cialdini. En quoi consiste ce principe ?

Pour vous illustrer cela de manière simple, c’est ce qui fait que nous avons difficilement tendance par exemple à remettre en cause un diagnostic, une ordonnance ou une prescription, qui a été faite par un « docteur en blouse blanche » dont les « titres sont affichés sur le mur ».

Notre cerveau est conditionné pour accorder davantage de crédit à certains signaux.

Et ce principe est facilement transposable à la vente.

Voici quelques conseils pour être plus convaincant dans vos entretiens de vente et transmettre à votre interlocuteur des indices d’autorité:

  1. Dégagez de l’assurance à travers votre attitude, qui ne doit pas laisser planer le doute.
  2. Votre apparence physique est le symbole, la représentation de votre expertise et de votre autorité. Vous devez donc la soigner (le costume cravate a plus d’influence par exemple que d’autres tenues).
  3. Maîtrisez tous les aspects techniques liés à l’utilisation de vos produits ou services. C’est vous l’expert et non pas votre interlocuteur. Ne vous laissez pas coller sur l’un de ces aspects techniques.
  4. Vous devez rester calme et posé. Ne pas tomber dans le piège qui consiste à déballer tout votre argumentaire de vente en bloc. Prenez le temps de choisir minutieusement les arguments que vous allez mettre en avant.
  5. Résistez à la tentation de vouloir en faire trop, de vouloir exagérer (sur-argumentation par exemple). Ce qui pourrait signifier à votre interlocuteur que c’est trop beau pour être vrai.


3 techniques de ventes qui s’appuient sur le principe d’autorité


Passons au crible ces 3 techniques commerciales qui vous permettront de mieux convaincre et persuader au quotidien…


1. Convaincre un client avec la technique dite de sélection


  • Elle consiste à présenter plusieurs points clés à votre interlocuteur. 3 points clés serait l’idéal.

Cette technique de la sélection a plusieurs avantages pour savoir comment convaincre un client :

  1. Organiser sa pensée.
  2. Clarifier son discours.
  3. Permet à votre interlocuteur de retenir plus facilement et ainsi éviter que vos propos soient déformés par la suite.
  4. Permet de donner plusieurs preuves, et donc plus de poids aux arguments que vous sélectionnez.
  5. C’est également une bonne manière de conclure un premier rendez-vous (lorsque vous vous trouvez dans une vente complexe, en plusieurs étapes).

Exemple commercial d’application

« Laissez moi vous expliquer en quoi notre solution est la plus adaptée à vos attentes. Cela parce que c’est : 1 – la plus sécure, 2 – c’est du clé en main, et 3 – les tarifs sont ultra compétitifs. Je vais vous détailler point par point si vous le voulez bien… »


2. Convaincre le client avec la technique de l’évidence


  • Cette technique consiste à s’appuyer sur des vérités, des règles générales connues de tous, qui n’ont pas à être démontrées.

Donc une fois la règle énoncée, votre argument va avoir beaucoup plus d’impact. C’est un peu comme si votre argument était tamponné « certifié et approuvé ».

La technique de l’évidence permet de passer en force auprès d’interlocuteurs ou d’acheteurs qui manqueraient d’expertise et donc de faire accepter votre argument sans qu’il soit remis en question.

Exemple commercial d’application

« Vous savez que le règlement RGPD a changé les pratiques email marketing de toutes les entreprises. Ne pas s’y conformer, c’est risqué une lourde amende et des problèmes avec la CNIL. C’est la raison pour laquelle notre prestation clé en main permet de sécuriser vos prochaines campagnes marketing par email. Je vous explique comment… »


3. Convaincre quelqu’un par la qualité du conseil


Cette technique permet de jouer la carte de l’apporteur de solution. C’est l’idéal pour savoir comment convaincre un client naturellement.

L’apporteur de solution se différencie instantanément du vendeur classiqueCar celui qui apporte la solution, et donc qui la détient, fait naturellement preuve d’autorité.

Comment utiliser la technique du conseil avec une argumentation en 4 étapes ?

  1. Récapituler les faits, en prenant soin de les faire valider par votre interlocuteur.
  2. Exposer votre diagnostic. Cela montre que vous avez bien compris, que vous avez bien cerné la problématique et les préoccupations de votre interlocuteur. Et donc cela transmet votre expertise.
  3. Présenter un panel de solutions : deux ou trois solutions selon vous qui peuvent répondre au problème. Dressez par exemple les avantages et les inconvénients de chacune de ces solutions commerciales.
  4. Vous devez prendre position en choisissant LA SOLUTION qui selon vous va répondre le mieux à la problématique de votre client, en la justifiant, bien sûr.
  5. Annoncez la mise en œuvre, le déploiement stratégique de votre solution commerciale !

Maintenant, voyons comment enfoncer le clou et être encore plus convaincant…

Comment convaincre un client avec les 4C ?

J’ai un petit moyen mnémotechnique simple pour être efficace en rendez-vous client, les 4 C :

  • Combien ça coûte ?
  • Combien ça rapporte ? (le retour sur investissement est très important)
  • Combien de temps ça prend ? (timing)
  • Comment on le fait ? (les étapes / le mécanisme de mise en oeuvre)

Si vous arrivez à répondre à ces 4 questions au travers une argumentation commerciale structurée, alors il n’y a aucun doute que vous passerez pour un véritable expert aux yeux de votre interlocuteur. Ce rôle de conseiller de confiance transmettra des signaux d’autorité qui facilitent la prise de décision du client.

Comme je vous l’ai dit, cette technique est ma préférée car elle m’a permis d’obtenir d’excellents résultats !

Quels sont les avantages pour le client ?

Cette technique a plusieurs avantages. Tout d’abord, elle permet de rassurer votre client. Vous êtes un apporteur de solutions et non pas un vendeur classique centré sur ses souliers. Ce qui permet de se focaliser sur le problème à résoudre et non pas sur vos produits ou services.

Elle permet également de crédibiliser votre fonction de conseil.

Et pour finir, dans le cas d’une vente complexe, elle permet de faire le lien entre le diagnostic et la solution proposée. Donc, c’est idéal sur un deuxième rendez vous commercial.

Il y a par contre 2 erreurs à éviter lorsque vous utilisez la technique du conseil pour convaincre :

  1. Évitez d’analyser trop rapidement. Pour votre interlocuteur, une analyse rapide est souvent une analyse incomplète. Donc si vous ne voulez pas jeter le discrédit sur votre travail, évitez de réaliser une analyse trop rapide.
  2. Lorsque vous allez présenter le panel de solutions, avec leurs avantages et inconvénients respectifs, vous devez être sûr que votre entreprise (ou vous-même) maîtrise l’ensemble des solutions. Vous ne devez pas proposer la seule et unique solution que vous maîtrisez. Sinon cela jettera encore une fois le discrédit sur votre capacité de conseiller au mieux le client.

Résumé pour savoir comment convaincre quelqu’un


Voilà donc les 3 techniques de vente qui peuvent vous permettre de renforcer votre pouvoir de conviction au travers l’expression de votre expertise !

Je récapitule :

  1. la technique de la sélection
  2. la technique de l’évidence
  3. et la technique du conseil

Il n’y a nul doute que grâce à ces techniques commerciales vous arriverez à savoir comment convaincre un client efficacement !

Je vous laisse donc mettre en pratique, et en faire l’expérience par vous-même…


Pour aller plus loin, voici quelques articles complémentaires :

devenir commercial sans diplome

Comment devenir commercial sans diplôme ? Peut-on réellement décrocher une offre d’emploi commercial sans diplômes ni études ? Comment faire la différence dans un recrutement commercial sur les autres candidats commerciaux issus d’école de commerce ? Et comment être un bon vendeur pour réussir dans la fonction commerciale durablement ? Réponses dans cet article…

Il y a toujours eu deux écoles :

  1. il y a ceux qui pensent que c’est inné. On ne devient pas un bon vendeur, soit on a ça dans le sang, soit on ne l’est pas !
  2. et ceux qui disent qu’à force de travailler, en suivant les bonnes méthodes, on peut être un bon vendeur.

Sur le Blog Technique de Vente, nous sommes convaincus que devenir commercial sans diplôme est aujourd’hui réellement accessible à tous

Nous avons d’ailleurs de nombreux exemples et témoignages clients pour prouver cette théorie. Aujourd’hui, tout est accessible à tout le monde. Vous pouvez devenir qui vous voulez avec suffisamment de motivation et de détermination. Et si votre objectif c’est de devenir commercial sans aucun diplôme, nous allons vous montrer le chemin.

Commençons néanmoins par parler du parcours classique et des études pour devenir commercial


Quel diplôme / étude pour être commercial ?


Habituellement, suivant le type de poste commercial (commercial terrain, ingénieur commercial, commercial grands comptes…) plusieurs études et diplômes de commercial peuvent être requis :

  • Bac pro vente
  • BTS Négociation et Relations Clients
  • BTS Management des Unités Commerciales
  • DUT techniques de commercialisation
  • Bachelor Technico Commercial
  • Bachelor Vente et Négociation commerciale
  • Master en Management de la Stratégie Commerciale
  • Master 2 Vente et Management Commercial

Maintenant, de plus en plus de startups, TPE et PME recrutent des commerciaux aux parcours atypiques qui savent sortir des sentiers battus. Ainsi, voyons comment devenir commercial sans diplômes en suivant 3 conseils concrets qui feront la différence


Devenir commercial sans diplôme en 3 étapes


Pour ma part, j’ai fait des études en école supérieure de commerce pour devenir commercial. Puis je suis devenu directeur commercial, et chef d’entreprises. Mais très honnêtement, ce n’est pas ce qui a facilité mon parcours et ma réussite. Ce n’est pas grâce à ça que je suis devenu un bon vendeur, et par la suite un bon formateur en techniques de vente.

Non, bien au contraire ! Comme je le dis bien souvent, le meilleur des professeurs c’est le client. Et j’ai eu la chance de me frotter très tôt aux clients. Ce qui m’a permis d’apprendre, de tirer des enseignements commerciaux profitables de mes échecs comme de mes réussites.

Les 3 conseils que je vous livre ici sont donc fondés sur mon parcours, mais également sur l’analyse des milliers de bons commerciaux (et mauvais aussi) que j’ai eu la chance de croiser, former et d’accompagner…


1. Chercher des mentors qui réussissent commercialement


Cherchez un ou des mentors, des personnes qui ont déjà les résultats que vous souhaitez obtenir. Si vous êtes déjà en poste de commercial, ou si vous venez d’être recruté, demandez qui sont les meilleurs vendeurs dans l’entreprise ? Ceux qui sont régulièrement classés sur les concours commerciaux, ou la personne qui a les meilleurs résultats dans l’entreprise. Et contactez-le(s).

Pourquoi ?

Tout simplement parce que, s’il est le meilleur, ou s’il y a 2 ou 3 personnes qui ont des très bons résultats commerciaux, s’ils sont les meilleurs il y a des raisons ! Ils font des choses que les autres ne font pas.

devenir commercial
Pour devenir un bon commercial, ne réinventez pas la roue !

Rien n’arrive par hasard dans la réussite commerciale

Donc, cherchez à rentrer en contact dans l’optique de modéliser les meilleurs vendeurs ! Essayez de comprendre comment ils font, puis à le modéliser dans vos propres pratiques commerciales.

Si vous n’êtes pas encore sur un poste commercial dans une entreprise, cherchez quand même à identifier des gens qui ont d’excellents résultats au niveau business. Que ça soit dans une carrière commerciale explosive dans des entreprises, ou des entrepreneurs à succès.

Ce conseil est valable même si ça n’est pas dans le même secteur d’activité que vous. Du moment qu’il s’agit de personnes brillantes qui ont un effet de halo positif sur leur marché, ou qui sont reconnus pour être des entrepreneurs d’élite, qui ont connu une success story, c’est bon pour vous !

D’ailleurs, les meilleurs entrepreneurs sont souvent des autodidactes qui n’ont aucun diplôme commercial.

Une fois en contact, il faudra comprendre quels sont les facteurs clés de succès qui les ont amenés là où ils sont. Ceci afin de pour pouvoir les modéliser à votre périmètre. Parce que bien souvent, les bons entrepreneurs sont des bons vendeurs et donc des bons commerciaux dans l’âme.

Ceci dans le sens noble du terme.

Cela veut dire que ce ne sont pas des commerciaux aux dents longues, des requins de la vente. Ce sont simplement des gens qui ont des facilités à connecter avec des clients potentiels, à les convaincre de passer à l’action, et donc de faire du business facilement. Ce sont justement les compétences commerciales que vous recherchez !

Inspirez-vous des meilleurs commerciaux

C’est aussi simple que ça : cherchez à identifier des mentors pour les modéliser. Ça passe par de l’analyse, leur poser des questions, demander à quoi ils attribuent leur réussite commerciale ? Qu’est-ce qu’ils font au quotidien ? Quelles sont leurs habitudes ? Quelles sont leurs stratégies ?

Posez-leur la question à bâton rompu : que faites-vous au quotidien qui contribue selon vous à votre niveau de réussite ?

J’ai pu observer que vous aviez un certain niveau de réussite, vous êtes pour moi un mentor. Quels conseils pourriez-vous me donnez afin de devenir un bon commercial ? Quels conseils pourriez-vous me donner pour devenir un entrepreneur à succès ?

Donc voilà, cherchez des personnes qui ont déjà le niveau de réussite que vous souhaitez atteindre, et demandez leur conseil. C’est la base de la base.

Pourquoi ?

Parce que quand je vous dis que le meilleur des professeurs c’est le client, c’est vrai. Mais il faut en rencontrer beaucoup afin que la courbe d’apprentissage soit exponentielle…

Pour prendre un raccourci, pour aller beaucoup plus vite, si vous cherchez à devenir un bon commercial, et que vous n’avez pas les diplômes requis, que vous n’avez pas été formé, alors le meilleur des professeurs c’est quelqu’un qui est déjà passé par là. Quelqu’un qui a déjà les résultats que vous souhaitez obtenir. C’est lui qui connait le mieux, mieux que quiconque, le chemin que vous avez à parcourir…


2. Se former au métier commercial en continu


Le deuxième conseil va de pair avec le premier : formez-vous massivement au métier commercial. Formez-vous auprès des mentors que vous avez présélectionnés. Et formez-vous également en parallèle.

Aujourd’hui, la connaissance n’a jamais été aussi facilement accessible. Formez-vous :

  • sur le web avec les moteurs de recherche
  • dans les livres
  • en allant assister à des conférences / séminaires
  • en sollicitant votre manager commercial / votre direction
  • auprès de votre réseau, et des gens qui ont de meilleurs résultats que vous
  • auprès des mentors que vous avez identifiés

Les études pour être commercial ne suffisent pas

Dans les métiers de la vente, peu importe si vous avez fait des études pour être commercial ou pas… il faudra vous former en permanence pour réussir !

Ça veut dire quoi ?

Tout simplement qu’une fois que vous avez pris contact avec vos mentors, et que vous avez obtenu la substantifique moelle, il faudra comprendre et tenter de reproduire ce que les gens ont fait pour obtenir des résultats significatifs à votre tour.

Donc, si la recette n’est pas totalement claire pour vous, demandez-leur à ce qu’ils vous expliquent en détails les étapes, les pièges et les raccourcis…

Je ne vais pas vous dire que c’est facile et que tout vous sera servi sur un plateau doré. Mais encore une fois, cherchez comment vous pouvez rendre service, qu’est-ce que vous pouvez leur apporter à votre périmètre.

  • Invitez les à manger ou demandez-leur à passer un petit peu de temps avec eux
  • Cherchez à savoir ce qu’ils aiment dans la vie, et amenez-les voir un match de foot / jouer au golf / etc.

Il faut savoir investir un petit peu de temps et d’argent. En contrepartie, ils vous donneront de l’expertise, du feedback, et des précieux conseils qui sont une véritable formation commerciale accélérée.

Implémentez ça dans votre stratégie pour vous faire recruter quand vous serez sur une offre de poste commerciale, ou bien pour performer lorsque vous serez en poste.

Faire une école de commerce pour devenir commercial : une fausse bonne idée ?





La formation pour devenir commercial est accessible partout

De la même manière, je vous ai dit que l’information elle est facilement accessible aujourd’hui. Il n’y a pas d’excuse pour ne pas se former au métier de commercial. Vous avez sur le le plan du blog technique de vente des centaines d’articles et de vidéos gratuites, et podcasts

99% des ressources sont gratuites pour vous permettre de vous former même si vous n’avez jamais fait d’étude pour être commercial. Avec ce socle de base vous serez mieux armé qu’avec n’importe quel diplôme commercial.

Pour obtenir un retour sur investissement (obtenir un job commercial, une prime, une promotion…) il y a néanmoins un investissement initial. C’est votre temps ! Si vous prenez le temps de lire des articles, de regarder des vidéos, de lire les livres sur la vente alors vous pouvez devenir commercial sans diplôme assez facilement.

Bien sûr, pour aller plus vite vous êtes libre de suivre l’une de nos formations commerciales avancées. Parce que l’on propose 99% du contenu gratuitement et 1% de contenu premium à forte valeur ajoutée. Donc, c’est la suite logique si vous voulez sortir du lot et avoir des résultats exceptionnels !

Car il va falloir faire des choses que les autres personnes ne font pas.

Et ça commence par vous former avec des formations complètes, des méthodologies testées et éprouvées comme vous pouvez voir dans les nombreux témoignages sur Google, YouTube et Facebook.

Une formation commerciale avancée vous donne des résultats immédiats

Les gens que nous formons aujourd’hui et que nous accompagnons ont des résultats significatifs tout simplement parce qu’ils ont investi sur eux. Ils ont pris le temps de faire ce que les autres ne font pas. C’est la raison pour laquelle les témoignages parlent d’eux-mêmes…

Mais ne serait-ce qu’en consultant la mine d’informations gratuites que l’on vous donne vous pourrez mesurer par vous-même les résultats. Vous obtiendrez à coup sûr un premier niveau de retour sur investissement.

Ensuite, sans vouloir prêcher pour notre paroisse, il y a des centaines d’autres ressources accessible sur YouTube, des conférences TedX, des biographies, des livres audio. Vous allez sur audible, et vous avez des livres audio sur la vente. Si vous n’avez pas le temps de lire des livres, c’est idéal ! Ecoutez des livres audio durant vos trajets, dans les transports, etc.

Bref, ayez ce réflexe de formation commerciale permanente et continue !

Ce n’est pas pour rien que, dans le 8e pilier de l’efficacité commerciale, c’est l’amélioration continue. Si vous souhaitez devenir commercial sans diplôme, que vous n’avez pas eu le temps de faire des études, ce n’est pas grave… Aujourd’hui vous pouvez rattraper tout ce retard avec l’apprentissage permanent. En allant chercher l’information auprès des personnes qui ont déjà les résultats que vous souhaitez obtenir. Ça passe par des auteurs, des formateurs, des mentors, etc.

Je pense que vous avez compris, donc je passe au 3e conseil…


3. S’entraîner et pratiquer régulièrement la vente

Tout est en synergie avec ce 3e conseil : la boucle est bouclée. Pour remplacer n’importe quelle étude et diplôme pour être commercial, il faut pratiquer et vous entrainer régulièrement.

Pourquoi ?

Parce que la connaissance théorique ne sert strictement à rien. Si vous accumulez de la connaissance et un maximum d’informations sans jamais passer à l’action, malheureusement vous en resterez toute votre vie au stade de la théorie.

Mieux vaut un con qui marche, qu’un intellectuel assit comme le disait Audiard. C’est extrêmement vrai dans la fonction commerciale !

Donc, c’est de la connaissance appliquée dont vous avez besoin. C’est de prendre des connaissances stratégiques et de passer à l’action, de tester immédiatement.

Dans la vente, ce n’est pas ce que vous savez qui compte mais ce que vous faites

Quand je fais des formations / des conférences il y a beaucoup de gens qui me disent oui, mais ça, je sais. C’est marrant, parce que quand je pose des questions pour savoir :

  • Quels sont leurs résultats ?
  • Quand je leur demande de mettre en pratique en passant un coup de téléphone devant moi…
  • Quand je les accompagne en entretien…

Ils savent, mais ils ne font pas ! Ils ne pratiquent pas ce qu’ils savent (pensent savoir). C’est là où est tout le problème ! Quand on parle de connaissance appliquée, ce qui compte c’est ce que vous êtes capable de faire :

  • Ce que vous avez compris auprès des gens qui ont du succès,
  • Dans les formations que vous suivez,
  • Mais surtout ce que vous appliquez en parfaite compétence inconsciente.

Pour devenir un bon commercial il faut des automatismes

C’est comme si vous faisiez votre lacet ou du vélo. Vous n’y pensez même pas en fait. Vous pédalez, vous voyez les obstacles, et trouvez votre chemin sans même y réfléchir.

C’est exactement cela dont il est question et ça passe par la pratique du métier commercial et de la vente. C’est la raison pour laquelle dans nos formations commerciales avancées, on fait toujours :

  1. Des points d’enseignement théorique,
  2. Avec des exemples pour bien comprendre et visualiser,
  3. Des plans d’action et des exercices pour implémenter dans le quotidien commercial et pouvoir s’entraîner.

Voilà pourquoi une bonne formation pour devenir commercial va toujours se terminer par un plan d’action pratique à exécuter, et sur lequel vous allez pouvoir mesurer votre degré de performance. Par exemple, quels sont les points forts et quels sont les axes d’amélioration sur la prochaine action commerciale ?

Ceci pour pouvoir justement faire travailler cette boucle de l’amélioration continue PDCA (Plan, Do, Check, Act).


Résumé vidéo pour devenir commercial sans diplôme





Donc, si vous voulez devenir commercial sans diplôme, suivez ces 3 étapes et elles remplaceront n’importe quelle étude pour être commercial. Vous allez voir que vous n’avez pas besoin d’avoir fait un master ou un bachelor vente dans une école de commerce. En appliquant ces 3 conseils, vous pouvez déjà obtenir un excellent niveau commercial et être un bon vendeur qui fera une carrière explosive.

Pour aller plus loin, découvrez notre catalogue de formation commerciale à distance et présentiel…



La sales intelligence

La conversion d’un lead en client est un processus long, lent, et complexe (en particulier dans la vente B2B). Vous en avez peut-être fait l’expérience ?

Selon B2B Magazine, 43% des marketeurs B2B affirment que leurs cycles de vente se sont ralentis ces dernières années. Et quand le cycle de vente est lent, l’augmentation du chiffre d’affaires est lente également. N’est-ce pas ?

Si les entreprises veulent maintenir leurs pipelines de ventes en mouvement constant (avec des prospects qualifiés d’un côté, et des opportunités commerciales de l’autre), elles doivent avoir accès aux bons outils, et à la bonne information concernant leurs prospects.

Cette stratégie a énormément plus de valeur que de se procurer des listes de contacts standardisées et d’enchainer les appels de téléprospection BtoB à froid…

Même une stratégie d’inbound marketing ne suffit pas pour récupérer des informations pertinentes sur vos leads. Pour donner à votre business un véritable avantage concurrentiel, il vous faut un truc en plus.

Vous devez savoir, non seulement qui sont vos clients potentiels, mais ce qu’ils recherchent. Quel est leur contexte ? Qu’est-ce qui les motivent ? Quels sont leurs besoins ? Quelles sont leurs intentions, leurs problématiques, et leurs objectifs ?

La réponse à ces questions – et à bien d’autres – se trouve dans la Sales Intelligence. C’est véritablement le Graal du commercial BtoB !


Qu’est ce que la sales intelligence ? Définition


Vous associez probablement la sales intelligence à un CRM ou à des vendeurs de bases de données ? Vous pensez peut-être que Sales Intelligence = liste de prospects disponibles à la vente ?

Mais en vérité, la Sales Intelligence, c’est bien plus qu’une simple liste de prospects disponible à la vente. La Sales intelligence regroupe un client potentiel ET l’ensemble des informations contextuelles autour de ce client, comme :

  • Le secteur d’activité, la taille de la société, l’organisation,
  • Le chiffre d’affaires, la santé financière, les performances économiques,
  • Les relations d’affaires : partenaires, fournisseurs, clients…
  • L’activité digitale de l’entreprise et des stakeholders sur les réseaux sociaux et professionnels,
  • Et bien d’autres signaux d’affaires (une levée de fonds, un lancement de produit, une campagne de recrutement, un nouveau dirigeant, etc.) permettant de mieux scorer un client pour vendre avec efficience.

On parle d’intelligence commerciale (en français) !


Et en quoi cela bonifie-t-il le commercial BtoB ?


Ces informations permettent tout simplement aux commerciaux de mieux cibler leur pitch commercial, d’éduquer les leads pour améliorer la conversion, et d’accélérer le business via la détection de besoins additionnels et l’utilisation de techniques de ventes additionnelles (up-selling et cross-selling).

La majeure partie des informations de Sales Intelligence est recueillie pendant la phase de marketing. Bien avant qu’un lead ne devienne une vente.

Parce que la Sales intelligence a une fonction analytique, et son atout majeur est de permettre des décisions intelligentes (au bon moment) qui favorisent la croissance nette de l’entreprise.

Il est de notoriété publique que plus vous en savez sur vos prospects, mieux vous pouvez leur vendre. C’est le rôle du plan de découverteLa Sales Intelligence permet d’aller encore plus loin…


Comment fonctionne l’intelligence commerciale ?


Si les outils de Sales intelligence peuvent prendre plusieurs formes, ils partagent tous un objectif commun : augmenter le nombre et la qualité des leads.

  • la quantité, en restant à l’écoute des flux sociaux et des répertoires de nouveaux leads,
  • la qualité, en segmentant ces leads en fonction du profilage de données et en suggérant des actions de suivi.

Selon Michael Berger (Directeur Marketing Produit chez Marketo), un bon outil de Sales Intelligence doit répondre aux 3 P:

  • Proposer de l’intelligence autour des vrais prospects
  • Prioriser les actions de suivi
  • Présenter au commercial les intérêts du prospect

La Sales Intelligence n’est pas un simple outil commercial…


C’est une approche généralisée qui concerne de nombreux systèmes de données. Par exemple, le profil d’un lead est enregistré et suivi à travers une plate-forme d’automatisation du marketing, transmis sur le CRM du commercial, et analysé grâce à la business intelligence.

Ou alors dans sa forme la plus simple, la Sales Intelligence peut se présenter comme une fonctionnalité intégrée au logiciel de CRM. Le CRM peut passer par des intégrations sociales ou d’autres connectivités pour récupérer l’information et offrir une vision à 360º de chaque lead.

Dans d’autres cas, une entreprise peut avoir recours à une application de business intelligence pour traduire l’information sur le prospect en données utiles pour la vente…

Bref tout est possible à ce niveau… en fonction de vos objectifs business et de vos ressources.


Quels sont les bénéfices de la sales intelligence pour le commercial BtoB ?


La Sales intelligence, sous toutes ses formes, est faite pour aider votre équipe commerciale à être plus performante. Cela se traduit de plusieurs façons :


1. Une meilleure productivité

Vos commerciaux peuvent utiliser la Sales Intelligence pour classer, de manière automatique, les relances et les leads en divers groupes en fonction de leur valeur ou de leur qualité. Ils ne se consacrent donc plus à l’analyse manuelle, ou ne gaspillent plus d’énergie inutile en suivant des leads non-qualifiés et peu intéressants, ce qui leur fait gagner un temps considérable.


2. Des conversations plus fructueuses

Vous savez probablement ce que c’est que de parler à un vendeur qui ne comprend pas vos besoins ? La conversation tourne en général autour du produit, plutôt que de nos préférences, nos aspirations, nos interrogations, etc. La Sales Intelligence donne aux commerciaux des informations clés sur le contexte des leads, afin qu’ils puissent diriger la conversation au bon endroit. Cela élève le niveau de la discussion, et donne plus de valeur au discours commercial.


3. Des cycles de vente plus courts

Jeff Thull, l’auteur de Mastering the Complex Sale (Devenir un expert en vente complexe), a dit : « Les clients ne créent pas de longs cycles de vente – les commerciaux si.“ Bien souvent, les commerciaux ciblent les mauvais prospects et les poussent à la vente très tôt dans le processus d’achat… Tellement tôt que l’intérêt du prospect diminue. Les informations pertinentes fournies par la Sales Intelligence permettent aux commerciaux d’identifier les contacts prêts à acheter et clarifient le processus de décision, ce qui réduit considérablement le temps moyen nécessaire à la conversion d’un lead en client.


4. Des stratégies de vente plus intelligentes

D’un point de vue analytique, la Sales Intelligence permet aux personnes décisionnaires (directeur financier, directeur marketing, etc.) de distiller des informations concrètes, dans le labyrinthe de processus et bases de données caractéristiques de leur service. Avec ces informations, les directeurs des ventes peuvent mettre en place des stratégies efficaces pour améliorer l’engagement des prospects et augmenter le taux de conversion des prospects en leads, ce qui génère plus de chiffres d’affaires.


Qu’attendez-vous pour utiliser la sales intelligence en BtoB ?


La Sales Intelligence est en train de devenir, doucement mais sûrement, un ingrédient essentiel à chaque étape du processus de ventes / marketing. Mais la transition commerciale peut néanmoins s’avérer difficile à réaliser, à implémenter, et à mettre en action dans le quotidien de la force de vente.

Car vous l’avez compris… une solution de Sales Intelligence digne de ce nom ne se contente pas de vous livrer une liste de prospects pour faire de la prospection à froid par téléphone (ou du cold emailing) !

Non, elle vous accompagne littéralement à chaque stade de l’entonnoir de vente. Pour vous apporter des leads qualifiés, qui répondent à vos exigences, ainsi que des leviers concrets pour vous aider à les convertir.

Vous saisissez la nuance ?

C’est donc un réel outil d’aide à la vente qui vous permet de générer plus de performance commerciale ! A vous d’en tirer profit ;-)


Cet article a été initialement rédigé pour le blog de Sparklane for Sales ici : https://www.sparklane-group.com/fr/blog/quoi-sales-intelligence-bonifie-commercial-b2b/

efficacité commerciale

Qu’est-ce que l’efficacité commerciale ? Quels sont les facteurs qui agissent sur la performance commerciale concrètement ? Comment la calculer ? Comment l’améliorer ? Et comment assurer votre développement commercial dans la durée ? Réponses dans cet article…


Qu’est ce que l’efficacité commerciale ? Définition


L’efficacité commerciale est la capacité à obtenir de meilleurs résultats à partir de techniques et méthodes de vente qui génèrent plus de performance. Pour calculer l’efficacité commerciale d’une entreprise (ou d’un vendeur) il convient de mesurer les indicateurs de performance commerciale comme le nombre de rendez-vous, taux de closing, etc.


Quelle est l’équation de la performance commerciale ?


La définition de la performance commerciale = nombre d’actions commerciales X taux de transformation X rentabilité

Pour augmenter la rentabilité de vos actions commerciales, vous pouvez donc :

  • Engager plus d’actions commerciales au quotidien
  • Augmenter vos différents taux de transformation (suspects => prospects => petits clients => gros clients)
  • Développer la rentabilité de chaque affaire (ventes additionnelles : upsell / cross sell…)

Dans cet article, je vous propose donc de décortiquer chacun des 8 piliers de l’efficacité commerciale pour influencer positivement chacun de ces leviers business. A la fin, il vous sera également possible de télécharger une synthèse au format pdf…


Quels sont les 8 piliers de l’efficacité commerciale ?


Comme nous l’avons vu dans la définition de l’efficacité commerciale et l’équation de la performance commerciale, il n’existe pas de baguette magique. Ce qui permet de générer plus de performance, ce sont des petites améliorations à chaque étape du processus de vente par effet cumulé !


1. La prospection commerciale


La priorité de votre stratégie commerciale devrait être la recherche de nouveaux prospects susceptibles d’acheter vos produits / services, vos prestations. Est-ce le cas ?

Quelle que soit votre activité, cette étape est réellement cruciale. Car, c’est le flux entrant qui vient alimenter votre processus commercial !

Une activité commerciale sans flux entrant de nouveaux prospects décline et disparait… 

Il est donc primordial pour votre efficacité commerciale de :

  • Réaliser un ciblage de qualité (client idéal => prospect idéal) afin d’adresser les meilleurs clients potentiels
  • Savoir où trouver ces prospects cibles (sourcing de qualité) et ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier (diversifier)
  • Diversifier les canaux et identifier les stratégies les + rentables pour entrer en contact (téléphone, mail, courrier, terrain, digital…)
  • Se préparer, avoir une méthode, et être capable d’obtenir le décideur en passant les différents filtres & barrages
  • Avoir un pitch percutant contextualisé, savoir capter l’attention et donner envie d’aller plus loin (prochaine étape du cycle de vente)
  • Piloter efficacement les différentes campagnes de prospection dans le temps (tableau de bord avec indicateurs pertinents).

10 ressources pour approfondir la prospection commerciale


  1. 10 stratégies de prospection pour trouver des client
  2. Comment établir un plan de prospection commerciale ?
  3. Comment obtenir des prospects et se constituer un fichier de prospection ?
  4. Prospecter efficacement par téléphone
  5. Comment faire du porte à porte (prospection terrain) ?
  6. Comment réussir une campagne de prospection commerciale ?
  7. Les 3 techniques de prospection ultra efficace
  8. Comment trouver des clients BtoB sur Linkedin ?
  9. Le social selling b2b et les techniques de vente sociale
  10. Comment faire de la prospection digitale ?

2. La prise de contact commerciale


Dans le contexte économique actuel – au vu du nombre de sollicitations auxquelles nous devons tous faire face constamment – il est impératif d’avoir une démarche commerciale efficace et une méthodologie qui a fait ses preuves pour prendre contact !

Pour gagner en impact et en efficacité commerciale, vous devez d’emblée vous différencier de 90% des vendeurs uniquement préoccupés par eux-mêmes et leurs objectifs de vente.

Votre interlocuteur doit percevoir immédiatement les bénéfices qu’il va retirer en vous accordant une partie de son précieux temps… dans l’idéal, il est donc judicieux de :

  • Collecter des informations sur votre interlocuteur et son cadre de référence pour contextualiser votre prise de contact
  • Découvrir les stakeholders (parties prenantes) ayant un pouvoir d’influence sur la prise de décision finale
  • Savoir rapidement déceler le profil et les préférences cérébrales de votre interlocuteur pour adapter votre discours commercial
  • Avoir différents différents pitch de présentation selon la typologie du prospect et sa disponibilité
  • Travailler sa promesse de bénéfice pour positionner l’offre commerciale sous le meilleur angle
  • Savoir impliquer et engager les prospects dans votre processus de vente de manière totalement fluide et naturelle

5 ressources pour approfondir la prise de contact


  1. Pourquoi la prise de contact conditionne le succès d’une vente ?
  2. L’Elevator Pitch Commercial : une méthode pour scotcher vos prospects
  3. Comment accrocher ses prospects avec une prise de contact contextualisée ?
  4. Les 3 meilleures phrases d’accroche commerciale
  5. Comment se présenter et faire un pitch de présentation ?

3. Le plan de découverte au coeur de l’efficacité commerciale


Il existe en réalité peu d’informations capables de déclencher l’achat du client ! Et si vous ne vous intéressez qu’à vous et vos offres, vous serez malheureusement un piètre vendeur…

Désolé pour cette franchise, mais il faut appeler un chat : un chat !

Si votre plan de découverte n’est pas adapté, votre interlocuteur aura peu d’intérêt pour votre message commercial et marketing. Il ne se sentira pas pleinement concerné car il ne correspondra pas à ses attentes, besoins et motivations. Vous comprenez ?

L’objectif de la phase de découverte est d’identifier et de recueillir les informations clés qui vont être en mesure de déclencher l’achat plus rapidement le moment venu !

Il faut savoir prendre du temps pour mieux en gagner : c’est ça l’efficacité commerciale !

Il est donc souhaitable que vous sachiez :

  • Collecter et recenser un premier niveau d’information en effectuant quelques recherches en amont sur les prospects stratégiques
  • Identifier les différentes informations dont vous avez besoin pour déclencher la vente le moment venu
  • Déterminer comment vous allez les obtenir (anticipation des questions à poser)
  • Maitriser les techniques de questionnement & relance pour diriger l’entretien commercial
  • Comprendre le contexte de votre prospect
  • Découvrir ses besoins et motivations d’achats profondes (celles qui le pousseraient à agir maintenant)
  • Être capable d’identifier les priorités et les usages dans la solution recherchée (afin de pouvoir projeter le client)
  • Faire preuve d’empathie, avoir une écoute réellement active, et prendre des notes stratégiques sur les déclencheurs décisionnels (pour les réutiliser)

5 articles pour approfondir le plan de découverte


  1. Comment réaliser un plan de découverte client ?
  2. Comment identifier les véritables mobiles d’achat ?
  3. Les 3 clés pour réussir un plan de découverte client
  4. La méthode SONCAS pour cibler les motivations d’achat
  5. Méthode QQOQCP : L’art de poser des questions ouvertes

4. L’efficacité de l’argumentation commerciale


L’objectif de l’argumentaire de vente est de démontrer à votre interlocuteur en quoi votre offre commerciale répond spécifiquement à son contexte, ses besoins et motivations. Puis, de verrouiller le plan d’action avec un engagement réel du client ou directement une vente.

L’efficacité commerciale d’une argumentation dépend de la qualité des informations recueillies préalablement durant la phase de découverte et de la pertinence du lien entre l’offre et la demande.

Le prospect doit pouvoir comprendre et visualiser concrètement comment les choses vont se faire (quoi, qui, quand, comment) et quels bénéfices concrets il va en retirer. 

Il est donc judicieux de :

  • Se constituer une véritable boite à outils commerciale avec différents arguments de vente prêts à l’emploi
  • Faire un effort de traduction pour le client : transposer les caractéristiques en avantages, puis en bénéfices concrets et tangibles pour le client
  • Analyser la concurrence pour affiner son positionnement et être en mesure de dégager des avantages concurrentiels exclusifs qui feront mouche
  • Être un expert: maitriser les données chiffrées internes et externes (produit, entreprise, marché, tendances, etc.)
  • Préparer des supports (écrits / audio / vidéo) et des preuves pour appuyer la stratégie d’argumentation commerciale
  • Être capable d’adapter l’argumentaire commercial aux réponses du prospect, et à son profil (anticipation & capacité d’adaptation)
  • Savoir présenter / défendre le prix, et négocier le cas échéant
  • Maitriser les techniques d’influence et de persuasion pour faire adopter ses arguments et accélérer le processus de vente.

6 articles pour approfondir l’argumentation commerciale


  1. Comment structurer son argumentaire de vente ?
  2. La méthode CAB pour créer des arguments de vente pertinents
  3. L’argumentaire cap soncas pour mieux convaincre
  4. Comment réaliser un argumentaire téléphonique percutant ?
  5. Les clés d’une argumentation commerciale percutante
  6. Voici 3 techniques de vente pour convaincre et persuader

5. Le traitement des objections commerciales


Le traitement des objections commerciales peut intervenir à tout moment dans l’entretien de vente. Mais le plus souvent, cela intervient lors de la prospection, pendant l’argumentaire de vente, ou au moment de conclure la vente…

L’objection commerciale n’est pas une fin en soi

il s’agit bien souvent d’un signe d’intérêt, et parfois d’un point bloquant à lever pour actionner la vente.

Mais il est coutume de dire que la vente commence quand le client vous dit NON !

Le traitement des objections est une étape ayant pour but d’apporter des réponses claires, précises, et spécifiques aux questions et préoccupations de votre interlocuteur. 

Pour gagner en efficacité commerciale, vous devriez donc anticiper pour :

  • Être capable de déceler les préoccupations majeures de vos clients (et ne pas avoir peur de les faire surgir)
  • Connaître et comprendre les différents types d’objections commerciales
  • Comprendre les points bloquants et maitriser l’empathie
  • Utiliser les bonnes techniques de questionnement pour creuser, découvrir et comprendre
  • Savoir répondre spécifiquement à la nature de l’objection décelée
  • Être capable de rassurer, convaincre et persuader pour obtenir l’adhésion du prospect (ou bien trouver des alternatives)
  • Savoir quoi faire si le prospect n’est toujours pas convaincu…

3 ressources pour approfondir le traitement des objections commerciales


  1. Comment répondre aux objections clients ?
  2. Les 7 techniques de vente pour vaincre les objections prix
  3. Comment transformer les objections commerciales en opportunités business ?

6. Le closing commercial


Trop de ventes échouent par la faute de vendeurs hésitants ou trop pressés de conclure la vente

Or, il n’y a pas de bons ou mauvais moments : le fruit tombe tout simplement de l’arbre lorsqu’il est mûr !

C’est à vous de prendre l’initiative de guider votre interlocuteur vers la conclusion, et non le contraire. Cela se fait tout au long du cycle de vente, de manière intelligente et subtile, en impliquant son client à chaque étape commerciale…

Le closing commercial est une formalité quand le travail a bien été fait en amont.

La conclusion a pour but de verrouiller l’accord du client et de le formaliser au travers un plan d’action commercial (combien? qui fait quoi? comment? quand et où?). Cela passe par une signature et/ou une commande.

Il est donc crucial de :

  • Savoir détecter les différents signaux d’achats
  • Oser prendre l’initiative d’inviter le prospect à conclure (plusieurs fois si nécessaire)
  • Maitriser les différentes techniques de closing pour s’adapter à chaque typologie de clients et au circuit de décision
  • Anticiper et prévoir des alternatives
  • Savoir quoi faire en cas de refus du prospect pour relancer intelligemment
  • Maitriser les techniques de vente additionnelle (upsell / cross sell)
  • Savoir quand et comment prendre congé de votre interlocuteur pour laisser une bonne impression, et éventuellement prendre des recommandations commerciales et des introductions d’affaires !

5 ressources pour renforcer l’efficacité du closing commercial


  1. Quand et comment conclure une vente ?
  2. Voici 7 questions pour conclure + souvent et + vite
  3. Conclure la vente (par Michaël Aguilar)
  4. Voici 4 techniques de vente pour accélérer son closing ?
  5. Comment réaliser des ventes additionnelles ?

7. La fidélisation client, un puissant levier d’efficacité commerciale


Vous le savez probablement : un client coûte beaucoup plus cher à acquérir qu’à conserver. Et le processus d’engagement permet de vendre beaucoup plus facilement à un client déjà existant (s’il est satisfait bien entendu)…

Il est donc judicieux de miser sur la fidélisation des clients pour augmenter la fréquence et le volume d’achat :

nombre de clients x volume x fréquence = niveau de performance commerciale !

Au-delà de l’aspect financier, les statistiques démontrent qu’un client satisfait en parle à 3 personnes (recommandation commerciale), alors qu’un client insatisfait en parle à 10 personnes (mauvaise publicité).

A vous de choisir : vous préférez ramer à contre courant, ou bénéficier d’une forte poussée qui accompagne votre développement commercial ?

Vous devriez donc songer à :

  • Tenir vos engagements après la vente et soigner la qualité de service (élément de différenciation majeur)
  • Faire plus que ce que vous avez promis (surprendre agréablement) pour améliorer l’expérience d’achat
  • Être réactif dans votre suivi commercial et dans le Service Après Vente
  • Demander un feedback régulier & réagir en fonction pour optimiser les points de contact tout au long de l’expérience du client
  • Proposer des produits & services complémentaires pour mieux servir vos clients et développer votre valeur / client (capital client)
  • Mettre en place un système efficace de Gestion de la Relation Client pour ne jamais rien laisser au hasard
  • Demander des témoignages & utiliser les recommandations pour obtenir systématiquement de nouveaux clients clients potentiels…

6 ressources pour approfondir la fidélisation client


  1. Les 4 équations de la Satisfaction Client
  2. Les 7 règles d’or de la fidélisation client
  3. Comment obtenir des témoignages et des recommandations ?
  4. Expérience client : comment éviter de perdre ses clients ?
  5. Relation client : définition, exemples et bonnes pratiques
  6. Les 3 leviers du développement commercial

8. L’amélioration continue de la préparation commerciale


L’objectif de la préparation commerciale est de se poser la question du « comment faire » pour réussir les objectifs commerciaux à atteindre : le « Combien ».

Le succès commercial est directement lié à votre degré de préparation du plan de vente. Même si la vente dépend également de votre intelligence situationnelle, rien ne doit être laissé au hasard…

Chaque étape de la vente doit être minutieusement préparée pour gagner en efficacité commerciale et être le plus à l’aise possible le moment venu. 

Il serait donc judicieux de :

  • Créer des scripts et des scénarios de prospection pour être capable de les dérouler suivant les différents cas de figure (qui arriveront forcément un jour)
  • Préparer différents pitchs commerciaux de prise de contact
  • Etablir un plan de découverte béton (ce que je sais / ce que je veux savoir / comment je vais l’obtenir)
  • Construire une boite à outils efficace et maniable, remplie d’arguments prêts à convaincre votre interlocuteur (avec un maximum d’éléments factuels)
  • Préparer une stratégie de présentation du prix / des éléments de défense, et si vous en avez la possibilité : un scénario de négociation
  • Anticiper les objections susceptibles de surgir ainsi que des éléments de réponse concrets, factuels, et des alternatives en cas de blocages réels
  • Avoir des techniques de closing prêtes à l’emploi, à utiliser en fonction de chaque profil client / chaque cycle de vente…
  • Préparer des suites à donner, et des étapes clés dans le parcours client pour améliorer l’expérience d’achat et fidéliser à coup sûr
  • Améliorer votre processus de vente en continue (en fonction des indicateur de performance commerciale)

4 ressources pour approfondir la préparation commerciale


  1. Comment préparer un plan de vente ?
  2. (Re)définir sa stratégie commerciale en 7 questions
  3. Comment établir un plan d’actions commerciales ?
  4. Comment structurer sa méthode de vente en 9 étapes ?

Vidéo complémentaire pour améliorer son efficacité commerciale 





Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour booster votre efficacité commerciale et transformer plus de prospects en clients rentables au quotidien !

N’hésitez pas à télécharger ces 8 piliers de l’efficacité commerciale en guide pdf ci-dessous pour les revoir encore et encore…

Ventes email marketing

Vous avez une activité E-Commerce et souhaitez développer les ventes facilement et rapidement ? L’Email Marketing est LE levier le plus efficace (et le plus rentable) pour y parvenir. Tout est une question de stratégie commerciale et de moyens techniques…


Comment utiliser l’email marketing pour faire de la vente croisée / additionnelle / complémentaire ?


Savez-vous qu’il y a plus de 35% des ventes qui peuvent être générées par de la vente croisée / additionnelle (cross sell / upsell) ? C’est exactement ce que le leader d’Amazon, Jeff Bezos, a révélé en 2006.

Alors, pourquoi n’essaieriez-vous donc pas d’augmenter votre chiffre d’affaires et votre rentabilité avec la vente additionnelle ? Ou encore via la vente croisée, en automatisant des scénarios commerciaux au sein de votre processus de vente ? Il suffit parfois simplement de tester pour adopter de nouveaux schémas de vente gagnants…


Automatiser le cross selling et réaliser des ventes additionnelles


Aujourd’hui, nous allons nous concentrer sur l’automatisation des offres commerciales via l’emailing. Ceci avec des emails suggérants des ventes croisées / complémentaires sur un produit déjà acheté par vos clients.

Pour cela, il y a simplement besoin de quelques pré-requis en termes de data. Il vous faut :

  • avoir des données sur l’historique d’achat des clients
  • déterminer des relations possibles entre vos différents produits en stock
  • identifier quel est le meilleur timing pour envoyer cette offre commerciale. Exemple : faut-il partir d’un email transactionnel ou partir d’un e-mail promotionnel à envoyer quelque temps plus tard, après l’achat ?

Bien sûr, il faut aussi prendre en considération les règles de gestion spécifiques au secteur d’activité / à l’industrie pour rester cohérent :

  • pourcentage de remise habituellement accordé,
  • fréquence des promotion commerciales,
  • etc.

Exemple commercial d’utilisation de l’email marketing


Pour illustrer toute la puissance de l’email marketing en tant qu’outil de vente, prenons l’exemple commercial suivant. Nous avons une boutique en ligne de vente de chaussures. Et un client vient d’acheter une paire de chaussures Nike Air Jordan.

Les tableaux de données sont censés contenir des informations sur le client, le produit et l’historique du bon de commande. C’est la base pour pouvoir segmenter.

A partir de là, nous pouvons soit créer notre propre logique commerciale, soit utiliser des moteurs de recommandation tels que SoftCube. Ce dernier utilisera ces données pour générer des recommandations de produits complémentaires que nous pouvons alors charger automatiquement dans le contenu d’un email commercial.


Les tableaux de données font partie d’un modèle relationnel où les données sont présentées dans les relations. Nous pouvons donc tirer parti de la puissance d’un système de gestion de base de données relationnelles pour stocker le produit et les données du client. Qui peuvent ensuite être utilisés pour automatiser diverses communications marketing.


Ainsi, nous pourrions suggérer à notre client (via une vente complémentaire) des chaussettes pour développer les ventes et le panier d’achat moyen.

Simple et efficace, qu’en dites vous ?

Dans le cadre d’un email transactionnel envoyé immédiatement après l’achat, il suffit d’inclure une offre de cross selling pour les chaussettes Jordan. Cette offre dynamique pourrait par exemple comprendre trois paires différentes de chaussettes Jordan comme illustré ci-dessous…


Email transactionnel avec un module cross selling

Cross Selling Email Marketing

Nous avons vu une offre d’email transactionnel de cross selling en action. Mais que diriez-vous d’appliquer cette technique de vente croisée dans d’autres messages que vous envoyez afin de comparer les performances commerciales ?

Il pourrait en effet être intéressant d’envoyer des offres de cross selling à différents stades du cycle de vie du client. Voici un exemple ci-dessous de segmentation comportementale :

Email Marketing Segmentation
  1. Directement après l’achat des chaussures Air Jordan, nous envoyons un email transactionnel avec une offre de vente croisée générée dynamiquement pour les chaussettes.
  2. (Voir exemple email ci-dessus)
  3. Nous attendons 7 jours pour permettre aux clients d’acheter les chaussettes. Et nous observons le comportement d’achat pour établir différents scénarios emailing.

S’ils achètent les chaussettes, alors pourquoi ne pas leur envoyer à nouveau un email promotionnel dans les 6 mois suivants l’acte d’achat ? Avec le nouveau modèle de Nike Air Jordan en pré-vente (car vous savez que vous allez l’ajouter à votre gamme de produits) ?

Tout cela bien sûr en incluant une offre promotionnelle pour une nouvelle paire de chaussettes.

De cette manière, vous pouvez ensuite taguer votre client comme un « fan de Jordan ». Et préparer ainsi des offres commerciales par email encore plus spécifiques et ciblées à l’avenir.

S’ils n’ont pas acheté les chaussettes mais qu’ils ont été regarder d’autres produits sur le site, alors nous leur envoyons une recommandation email en fonction de leur historique de navigation.

S’ils n’ont pas ouvert l’email transactionnel, nous leur envoyons la même recommandation pour les chaussettes, en omettant les détails transactionnels et en optant pour une ligne de sujet différente ? Comme par exemple : Ces chaussettes vont bien avec votre paire d’Air Jordan !


Automatiser les offres commerciales pour développer les ventes


Vous l’avez compris, il est possible d’utiliser des e-mails de vente croisée de manière automatique. Ceci en se basant sur différents scénarios adaptés aux comportements d’achats de vos clients.

La bonne utilisation du levier email marketing dans votre stratégie e-commerce, c’est comme avoir Tony Parker dans votre équipe commerciale. Il vous fait de magnifiques passes au moment décisif !

Vous mesurez l’impact ?

Vous pouvez faire beaucoup de paniers simplement en automatisant intelligemment des offres commerciales pertinentes dans le parcours du client. Cela fait une énorme différence en termes de rentabilité ! N’est-ce pas ?

Pour cela, il vous faut une solution email marketing axée sur la segmentation comportementale des clients et sur l’automatisation des offres commerciales. C’est la condition sine qua non !

Besoin d’aide pour implémenter une stratégie email marketing digne de ce nom et accélérer votre développement commercial ? Formez-vous, ou contactez-nous pour un accompagnement marketing et commercial sur mesure qui propulse votre activité au niveau supérieur.

performance commerciale

Qu’est-ce que la performance commerciale ? Comment arriver à développer la performance commerciale ? Comment améliorer ses ventes au fil du temps avec un plan d’action commercial ciblé ? C’est ce que nous allons voir dans cet article ….


Qu’est ce que la performance commerciale ? Définition


Alors, qu’est-ce que la performance commerciale ? C’est un terme aujourd’hui qu’on entend de plus en plus souvent et qui est utilisé à toutes les sauces. Revenons-en aux basiques :

La performance commerciale, c’est tout simplement de générer PLUS de résultats avec MOINS de ressources.

Donc, c’est le fait de générer plus de ventes, ou plus de rentabilité commerciale avec moins de temps, avec moins de clients, avec moins d’énergie, moins d’actions commerciales…

Ça peut être décliné à toutes les sauces.

Mais l’idée centrale c’est toujours celle de faire plus avec moins. On reste dans une logique qui va dans le sens de la loi de Pareto, c’est-à-dire comment obtenir 80 % du résultat avec 20 % d’actions.

Il convient d’identifier les 20 % d’actions qui vont générer 80 % de la performance commerciale. Tout le reste, c’est en fin de compte du brassage d’air, cela devient anecdotique…

Donc, la performance commerciale c’est ça !

On peut mettre des indicateurs de performance commerciale derrière. On peut mettre des théories, des équations… mais le maitre mot c’est celui-là : comment je fais en sorte de mettre à profit mon temps pour être plus efficace au quotidien et pour que mes actions génèrent plus de résultats afin d’obtenir un effet de levier ?

Voyons 3 conseils pour y parvenir…


1. Pour augmenter la performance commerciale, améliorez les taux de transformation


Le 1er levier de la performance commerciale, c’est le taux de transformation. Sur le nombre d’actions commerciales que vous avez réalisé, combien de clients y a-t-il à la sortie ?

Cela va dépendre de l’action commerciale en question bien sûr.

Par exemple : sur le nombre d’appels que vous passez, combien vous arrivez à avoir de prospects qualifiés au bout du téléphone et à émettre de propositions commerciales ?

Sur le nombre de rendez-vous téléphoniques que vous effectuez, visite terrain, ou sur le nombre de propositions envoyées, combien deviennent des clients effectifs ?

Ça, c’est le point clé aujourd’hui !

Quel est l’indicateur n°1 que vous devriez considérer en matière de gestion de la performance commerciale ?

C’est le taux de transformation !

Aujourd’hui, vous pouvez brasser autant d’air que vous le voulez. Vous pouvez tirer dans tous les sens comme Sam le pirate… Mais ce qui compte : c’est quel est le score dans la cible ? Pas vrai ?

Une fois les calculs faits, si les taux de transformation ne sont pas à la hauteur de vos espérances, il convient de réfléchir stratégiquement…

Aujourd’hui, si vous êtes par exemple en dessous de 50 % de taux de transformation entre les propositions émises et le nombre de signature, vous devriez prendre le temps de réviser votre processus de vente. Ainsi que les actions que vous émettez au quotidien. Parce que probablement que vous vous dispersez.

Probablement que :

  • vous passez votre temps à passer des appels non stratégiques
  • à envoyer des emails à des contacts non ciblés
  • faire des actions diverses et variées qui ne vous permettent pas d’atteindre les objectifs business

Donc, si votre taux de transformation n’est pas au rendez-vous, vous devriez passer une couche de révision sur votre processus de vente et revoir étape par étape, comment vous pourriez optimiser ça. Du ciblage, de la définition de la stratégie / du positionnement concurrentiel jusqu’au closing.

Pourquoi ?

Parce que le temps que vous allez passer à travailler là-dessus, vous allez le gagner ensuite en rentabilité sur vos actions du quotidien.

Donc, ça vaut le coup de prendre une semaine (même un mois) sur une refonte globale de vos processus et méthode de vente. Plutôt que de continuer comme un hamster dans une roue, à marcher, marcher, et marcher pour au final obtenir les mêmes résultats que vous connaissez déjà par coeur.


2e levier de Performance Commerciale : travailler la valeur par client


La deuxième composante de la performance commerciale, après le taux de transformation, c’est votre valeur par client. Et en extrapolant, je dirais même la valeur à vie du client.

C’est-à-dire : combien vous rapporte une affaire en moyenne avec un client ?

Et combien vaut un client chez vous pendant toute la durée où il va être client ?

Là encore, il y a un effet de levier qui est considérable. Réfléchissez à votre business modèle au travers toute la gamme de produits et services, et non plus en one-shot sur la vente d’un produit ou d’un service.

Réfléchissez de manière globale comment permettre aux clients d’obtenir une transformation plus profonde qui va dans le sens de leurs objectifs ou de la résolution de leurs problématiques.

Vous allez pouvoir peut-être développer des produits ou services complémentaires en intégrant de la vente additionnelle immédiatement dans votre process de vente.

Vous allez peut-être aussi intégrer de la revente, ou des stratégies actives de demande de recommandation commerciale / d’introduction d’affaires pour transformer vos clients en prescripteurs.

Il y a énormément de choses à faire pour faire en sorte que votre valeur par client augmente. Et qu’elle agisse sur la performance commerciale globale !

En fin de compte, je vous laisse faire vos calculs. Mais si vous améliorez le taux de transformation ne serait-ce que de 10 %, ce qui n’est pas grand-chose. Et si vous arrivez à améliorer de 10 % votre valeur par client (ce qui n’est pas grand-chose non plus). Alors, par effet cumulé, votre performance commerciale se démultiplie.

C’est pour ça que c’est intéressant de travailler sur ces petits indicateurs de manière séparée. Parce que la combinaison de ces améliorations va opérer un cocktail détonant dans votre efficacité commerciale.

Il y a autant d’exemples que de business modèle. Mais si par exemple, vous vendez un produit, pourquoi ne pas réfléchir à vendre du service à côté. Comme une formation à l’utilisation du produit que vous vendez ?

Si vous vendez un logiciel de gestion commerciale par exemple. Vous offrez peut-être une formation de base à l’utilisation… mais pourquoi ne pas envisager de vendre une formation avancée mettant en exergue les 5 automatisations qui permettent d’accroître la productivité de 30% (ou autre promesse de gain) ?

Ou alors, dans la même logique, pourquoi ne pas vendre une prestation clé en main à l’installation du produit que vous vendez ?

Et si vous vendez du service, pourquoi ne pas vendre une méthode accélérée / un accompagnement accéléré pour faire en sorte que ce service soit intégré en 1h, 1 semaine ou 1 mois au sein l’entreprise (au lieu du double de temps).

Il n’y a pas de limites à cette réflexion stratégique !

Encore une fois, les seules limites que vous mettez sont dans votre tête. On peut toujours, lorsqu’on place le client au centre de la démarche commerciale, voir comment l’aider à obtenir une meilleure expérience de transformation ou un résultat plus rapide.

Et bien évidemment, qui dit résultat plus rapide et qui dit facilitateur de transformation, dit produit ou service complémentaire avec facturation additionnelle. Voilà pourquoi ça devient intéressant de réfléchir à ça. 😉


3. Rentabiliser votre temps et vos actions commerciales


Le 3e levier de la performance commerciale, c’est de savoir combien rapporte le temps investi. Ça passe par une mesure de vos actions commerciales :

  • par canaux de communication / distribution,
  • typologies de clients,
  • par cibles,
  • par types de produits et services au sein de votre gamme.
  • etc.

Cela permet d’effectuer des mesures et d’avoir des indicateurs de performance commerciale.

Par exemple, vous pourriez simplement créer un fichier Excel (si vous n’avez pas de CRM). Et si vous en avez un alors votre CRM peut vous retranscrire ces informations-là afin de savoir combien vous rapporte le temps investi ?

Cela vous permet de savoir, au bout d’un moment, qu’il y a des canaux qui sont plus rentables que d’autres.


Exemples d’analyse de Performance commerciale


Si vous mesurez tout, peut-être que le temps que vous passez à effectuer des demandes de contact en prospection LinkedIn en envoyant des séquences e-mail manuelles / automatisées sur LinkedIn est beaucoup plus rentable que d’écrire des articles ou tourner des vidéos pour faire du marketing de contenu ?

Peut-être que c’est beaucoup plus rentable que d’aller faire des visites sur le terrain / dans des points de vente ? Peut-être que c’est beaucoup plus rentable que de faire des campagnes publicitaires sur Google Adwords, Facebook Ads, etc. ?

Charge à vous de bien analyser les chiffres pour piloter l’activité commerciale et pouvoir arbitrer entre les différents canaux.

Idem avec les typologies de clients !

Peut-être qu’il y a au sein de votre marché des segments de clientèles qui sont beaucoup plus rentables, qui sont beaucoup plus enclin à se décider rapidement et qui sont beaucoup plus enclin à acheter davantage de produits et services additionnels, et qui sont moins consommateurs de votre temps.


Exemple de mesure de la Performance Commerciale


Ce que je vous invite à faire, c’est de vraiment mesurer pour chaque client :

  • Combien de temps vous avez passé en phase de prospection pour obtenir un contact ?
  • Quel est le temps passé à émettre la proposition commerciale ?
  • Combien de temps vous avez passé pour conclure l’affaire ?
  • Le temps vous avez passé pour livrer le produit / service (+ temps de service après-vente) ?
  • Combien vous a rapporté la vente in fine (rentabilité brute / nette) ?

Cela vous permet de diviser le chiffre d’affaires / la rentabilité par le temps passé !

Cela permet de relativiser et de voir que certains clients, que vous pourriez penser rentable de prime abord, vous consomment deux fois plus de temps pour les signer, pour les livrer, ou en service après-vente… et ne vont donc pas dans le sens de l’amélioration de la performance commerciale.

Certaines affaires ne vont pas dans le sens du développement commercial rentable !

Cette analyse-là vous permettra tout simplement de pouvoir arbitrer. Car certains clients, certains canaux, certaines actions du quotidien font meilleur usage de votre temps.

Charge à vous d’arbitrer et de pouvoir vous concentrer sur les canaux, les cibles et les produits et services best-seller par exemple. Ceux qui ont besoin de moins d’accompagnement, de moins de SAV…

Cette combinaison-là vous permettra de focaliser sur les actifs les plus rentables de votre entreprise.


Vidéo synthèse : les 3 Leviers de performance commerciale




Si vous travaillez sur votre taux de transformation, votre valeur par client, et si vous focalisez votre temps / énergie sur les canaux et les clients les plus rentables ainsi que sur les produits best-seller, alors vous allez booster radicalement la rentabilité de vos actions commerciales.

Et c’est ça la performance commerciale in fine, même s’il existe beaucoup d’indicateurs pour la mesurer ! C’est faire PLUS avec MOINS comme je le disais au début de article. Maintenant, charge à vous de prendre tout ça en considération et de l’implémenter dans votre quotidien commercial…

présentation commerciale

Comment réussir votre prise de contact et la présentation commerciale qui s’en suit ? Quels sont les facteurs clés de succès pour susciter l’intérêt et capter l’attention de clients sur-sollicités ? Quels sont les outils commerciaux à disposition ?

Nous n’allons pas revenir sur les leviers de la prospection commerciale ou l’art du pitch commercial – déjà abordés dans de nombreux articles sur ce blog – mais bel et bien nous focaliser sur l’art de dérouler vos présentations commerciales en impliquant plus efficacement le client.

La présentation commerciale n’échappe pas à la transformation digitale amorcée depuis déjà quelques années. Les Smartphones et tablettes sont devenus un véritable support à la présentation et à l’argumentation commerciale !


Quels outils au service de la digitalisation de la présentation commerciale ?


En recherche permanente de techniques et d’outils permettant de faciliter / booster les ventes, nous avons décidé de vous présenter aujourd’hui une application commerciale qui a retenu notre attention.

Dédiée à la performance commerciale et à l’accompagnement digitalisé des forces de vente, Touch & Sell a déjà été adopté par plus de 4 000 commerciaux !


Le concept de l’application commerciale Touch & Sell


Le concept est relativement simple. Il s’agit d’une application tablette dédiée au moment de la présentation commerciale durant un entretien de vente. Véritable outil digital d’aide à la vente, Touch & Sell permet aux commerciaux et / ou dirigeants d’avoir à portée de tablette l’ensemble des documents marketing et commerciaux stratégiques qui permettront d’avoir plus d’impact en rendez-vous physique ou visio.


Exemple de l’impact du digital en entretien commercial


Je me rappelle encore il y a quelques années de cela avoir enchainé les rendez-vous commerciaux avec la photo d’une opération événementielle Desperados sur mon Smartphone. Avec cette stratégie, durant le temps fort de la marque qui a duré un mois, j’ai dupliqué la même opération en entrée de magasin dans tous les points de vente de la zone de chalandise, obtenant ainsi une visibilité maximale et un pic part de marché.

Une simple photo permettait au client de se projeter avec une opération qualitative. Tout en démontrant que ses concurrents avaient déjà été convaincu par la mise en place d’une telle opération. Ce qui sous-entendait qu’il était en train de passer à coté d’une opportunité sur une marque forte plébiscitée par les consommateurs !

Et pour l’anecdote, je me souviens très bien de la réaction de mon chef des ventes durant l’une des journées accompagnement terrain : « Bien joué le coup du Smartphone, bonne initiative!« 

Aujourd’hui, ce type de pratiques commerciales n’a rien d’exceptionnel, bien au contraire. Mais il faut dire que cela était assez rare à l’époque… D’ailleurs il s’agissait du premier smartphone Samsung Galaxy dont je m’étais équipé à titre personnel !

Mes concurrents avaient plutôt l’habitude de sortir une plaquette commerciale ou leur ordinateur. Ce qui était monnaie courante et rallongeait le temps de présentation. Sans compter les détails logistiques : le fait de pouvoir se poser autour d’un bureau, etc.

Aujourd’hui, les choses sont devenus beaucoup plus simples avec les outils digitaux à disposition. Et vous pouvez donc vous démarquer de la concurrence encore plus facilement !


L’effet Wow durant vos présentations commerciales


Grâce à des contenus innovants (vidéo, 3D, HTML…), disponibles partout et tout le temps, même en mode déconnecté, vous pouvez offrir une nouvelle expérience à vos clients.


Exemple d’application durant la présentation commerciale


  • Montrer où et comment le produit est fabriqué (transparence, gage de qualité…)
  • Mise en valeur du produit au travers la théatralisation d’un point de vente (créer l’envie, aider le client à se projeter…)
  • Visualiser la maquette d’un projet (rassurer le client sur le résultat final…)
  • Exemples d’utilisation du produit étape par étape (déjouer les objections techniques, simplicité d’utilisation…)
  • Montrer des indices de preuves sociales (nombre d’utilisateurs, indicateurs sociaux, clients ambassadeurs…)
  • Visite guidée de l’entreprise et du personnel (créer du lien, facteurs de sympathie…)
  • Etc.

Comment ça marche ?

En utilisant l’application commerciale Touch & Sell par exemple, vous intégrez tous les documents que vous souhaitez (Vidéo, Powerpoint, PDF, Excel, formulaires, bons de commande…), de manière autonome, depuis un accès back-office sécurisé en amont lors de votre préparation commerciale.


Un outil digital efficace : aussitôt intégré, aussitôt déployé


Il suffit de synchroniser votre smartphone ou tablette pour recevoir vos mise-à-jour. Et puis c’est parti ! De plus, Touch & Sell est disponible sur toutes les tablettes. Et ce quelque soit le système d’exploitation (iOS, Android et Windows) ainsi que sur PC.

Alors soyons franc, il s’agit bien sûr d’un outil de vente complémentaire aux différentes compétences commerciales requises pour remporter une vente ! Il ne remplace en rien les différentes qualités d’un commercial. Mais il peut créer la différence à plusieurs niveaux…


Quels sont les bénéfices de Touch and Sell pour la force de vente ?


  • Un discours et des supports harmonisés => Gardez le controle de votre stratégie commerciale et cadrez le discours de vos commerciaux
  • Un pilotage de vos forces de vente en temps réel => analysez en temps réel et managez vos commerciaux en conséquence
  • Des rendez-vous commerciaux plus efficaces => mettez-en plein la vue à vos clients avec des supports à l’argumentation
  • Une augmentation de la productivité des forces de vente => Plus besoin de chercher des documents dans une sacoche, vous accédez à tous ce dont vous avez besoin pour convaincre et signer en quelques clics…
  • Une image de marque valorisée => le taux d’équipement est encore relativement bas, c’est l’occasion de se différencier de la concurrence
  • Un lien siège/terrain renforcé => Accès rapide à l’information et reporting facilité

Pourquoi tester la solution Touch & Sell ?


La digitalisation de la présentation commerciale est une excellente chose pour celui qui maitrise son processus de vente. Et Touch & Sell représente la solution la plus efficace pour réaliser vos présentations commerciales de manière interactive et percutante !

Cette application commerciale est proposée par l’éditeur logiciel français: The App Lab. Avec une équipe composée de 13 salariés, la start-up connait une forte croissance à 3 chiffres. Et compte déjà des clients prestigieux, en France et à l’international. Comme Universal Music France, Canal+ Régie, Cafés Richard, Colgate Palmolive, InExtenso, Air Liquide, Lagardère Métropoles, Le Petit Futé… Et nul doute que cette solution commerciale équipera de plus en plus de force de vente à très court terme !

Vous avez envie d’en savoir plus ? Demandez une démo …

diagnostic externe de l'entreprise

Le diagnostic externe, kezako ? Quel apport pour la stratégie d’entreprise et l’évaluation de ses performances ? Comment réaliser l’analyse stratégique du macro & micro environnement (analyse externe de la matrice SWOT ) pour déceler les opportunités et menaces susceptibles d’influencer l’entreprise ?

Analysons tout cela en détail. Et approfondissons le diagnostic externe de l’analyse SWOT pour vous permettre d’affiner la stratégie marketing et commerciale de votre entreprise.


L’analyse externe des opportunités et menaces


Toute activité / entreprise performante se doit d’analyser à la fois le macroenvironnement (environnement démographique, économique, technologique, politiquo-réglementaire et socioculturel) et le microenvironnement (clients, concurrents, circuits de distribution, fournisseurs). Pourquoi ?

Parce que c’est précisément ce qui permettra d’identifier les éléments qui pourraient favoriser / nuire à son développement.


Analyse du macro environnement (macro économie)


L’analyse PESTEL est parfaitement adaptée et efficace dans l’étude de l’environnement macroéconomique. Il s’agit d’un moyen mnémotechnique pour analyser les facteurs environnementaux :

  • Politique
  • Economique
  • Socioculturel
  • Technologique
  • Ecologique
  • Legal

Chaque entreprise agit dans un environnement externe macro-économique qui lui est propre.

Elle devra donc établir une check-list exhaustive pour lui permettre d’identifier et de hiérarchiser les éléments de l’environnement susceptibles de l’influencer positivement ou négativement.


Exemple d’Analyse PESTEL (check-list)


PESTEL Diagnostic Externe

Analyse du micro environnement (micro économie)


Le microenvironnement est plus proche de l’entreprise. Cet environnement représente tous les facteurs extérieurs que subit l’entreprise et qui peuvent également influencer le cadre de son action et par conséquent, sa performance économique.

Le micro-environnement comprend les différentes parties prenantes du marché analysé et les relations inter entreprises.


Exemple de parties prenantes

  • Marché des capitaux : banques centrales, banques, investisseurs institutionnels, épargnants, assurances, fonds de pension, actionnaires, fonds de garantie…
  • Le marché du travail : employeurs, salariés, syndicats, chômeurs, organismes (Afpa, Pôle emploi…), etc.
  • Marché des biens et services : clients / consommateurs, associations de consommateurs, fournisseurs, concurrents, réseaux de distribution, intermédiaires, grossistes, transporteurs, prescripteurs…

Pour analyser l’environnement micro économique, un modèle se dégage : l’analyse des forces de Porter. Cette méthode permet d’analyser dans l’environnement micro-économique les points suivants :


1. Pression concurrentielle

Pour l’entreprise diagnostiquée, la concurrence peut être plus ou moins intense selon le nombre d’entreprises dans le secteur, la taille de l’entreprise et sa position concurrentielle (leader / suiveur / outsider), etc.


2. Nouveaux entrants sur le marché

Il convient de surveiller l’apparition de nouveaux acteurs sur le marché, ainsi que le rapprochement d’acteurs déjà présents (fusion, acquisition, etc.). Demandez-vous quelles sont les barrières à l’entrée pour de nouveaux concurrents ?


3. Produits de substitution

Par quoi le consommateur pourrait-il remplacer votre produit / service ? Quels sont les projets innovants qui pourraient bouleverser le secteur (exemple : le DVD a rendu obsolète le magnétoscope)


4. Pouvoir de négociation des fournisseurs

Les fournisseurs peuvent exercer leur domination pour plusieurs raisons : Monopole d’approvisionnement, domination technique, domination commerciale (exemple : franchiseur/franchisé), domination financière,  domination juridique…


5. Pouvoir de négociation ou pas sur le client

Plus les clients sont de grande taille ou en petit nombre et plus ils ont de pouvoir ! En petit nombre, les clients peuvent être plus exigeants en matière de prix, qualité, délai d’approvisionnement, garanties, conditions générales de vente…


6. Pouvoirs publics

Ils peuvent complètement chambouler la structure d’un secteur économique en fonction des intérêts. Exemple : attribution d’une licence à Free pour développer son réseau mobile.


L’analyse des forces de Porter 5+1 (schéma exemple)


Analyse des FORCES de PORTER 5+1

Le mécanisme est donc le suivant. Il faut à chaque fois déceler les tendances actuelles et déterminer les opportunités et menaces qu’elles impliquent pour l’activité et l’entreprise.

Commençons donc par nous intéresser aux opportunités de l’environnement externe…


Les opportunités du diagnostic externe


Définition de la notion d’opportunité


Pour une activité / entreprise, une opportunité, c’est un évènement externe qui aura (probablement) un impact positif sur elle. Mais entendons-nous bien, les opportunités liées au macro-environnement peuvent avoir différents aspects.


Exemples d’opportunités liées au macro-environnement

  • l’augmentation du nombre de personnes équipées de Smartphone constitue une opportunité pour les annonceurs publicitaires
  • la pression fiscale en France favorise l’apparition de nouveaux produits en défiscalisation
  • l’évolution des taux de change va inciter les entreprises à se fournir en local ou bien à importer les matières premières
  • le verdict d’un gros procès va faire office de jurisprudence dans votre secteur d’activité en permettant aux fournisseurs de contourner certaines règles contraignantes en matière de sourcing
  • etc.

Les opportunités liées au micro-environnement


Au niveau du micro-environnement (et notamment du marché), il existe trois types d’opportunités :

  • 1er type d’opportunité : S’attaquer à un produit ou la demande est plus forte que l’offre, c’est-à-dire un produit en pénurie. Dans ce cas, nous avons un besoin déjà existant, et de ce fait, il n’y a pas vraiment besoin d’avoir de grandes compétences en marketing pour performer.
  • 2e type d’opportunité : Il s’agit de se positionner sur des produits déjà existants en y apportant une amélioration / une innovation / un facteur de différenciation. En clair, ce que vous proposez doit être plus performant que ce qui existe déjà sur le marché. Pour identifier les axes d’amélioration à apporter à un produit, je vous conseille d’interroger les utilisateurs / clients via un sondage ou une étude de marché.
  • 3e type d’opportunité : il faut identifier des produits et services innovants / radicalement nouveaux, qui créent de nouvelles catégories et qui comblent de nouveaux besoins (ou bien qui créent le besoin : exemple => Apple)

Cependant, il faut bien prendre conscience que toutes les opportunités ne sont pas égales. Il faut savoir être sélectif…


Comment savoir si une opportunité sera rentable ?


Selon le « Marketing Management » de Kotler, Keller & Manceau, La valeur d’une opportunité est liée à son attrait et à la probabilité de succès de l’entreprise, qui dépend de ses compétences distinctives et de sa maîtrise des facteurs clés de succès de l’opportunité identifiée.

Par exemple, si l’on observe l’émergence d’une tendance sur le marché susceptible de donner lieu à un nouveau produit, il faut prendre le temps de se poser quelques questions :

  • L’idée fondée sur l’opportunité identifiée peut-elle attirer une cible de clientèle définie ?
  • Peut-on toucher cette cible via des médias et des réseaux de distribution efficients ?
  • L’entreprise a-t-elle les compétences et les ressources critiques pour fournir les bénéfices considérés aux clients ciblés ?
  • L’entreprise peut-elle mieux faire que ses concurrents actuels et potentiels sur le marché ?
  • La rentabilité probable répond-elle aux critères financiers de l’entreprise ?

Il convient ensuite de recenser les différentes opportunités du diagnostic externe dans une matrice afin d’y voir plus clair. Et d’avoir sous la main un véritable outil d’aide à la décision !

Pour ce faire, il est judicieux de croiser l’attrait pour l’entreprise avec la probabilité de réussite de l’entreprise sur l’opportunité en question.

Prenons par exemple le site E-Commerce BonPrix.fr qui est une filiale du groupe OTTO Versand (leader mondial de la vente à distance). Puis analysons succinctement 4 catégories d’opportunités au travers cette matrice décisionnelle.


Exemple de matrice des opportunités

Analyse externe des opportunités SWOT

L’outil stratégique d’aide à la décision fait apparaitre quelques opportunités dont pourrait tirer parti BonPrix.fr :

  1. la plus attrayante est la première, car elle a le plus fort impact et les meilleures chances de se réaliser
  2. La seconde est intéressante, mais les ressources et le savoir-faire de l’entreprise ne garantissent pas son succès
  3. La troisième est facile à concrétiser, mais n’a guère d’impact sur la durée
  4. Enfin, la dernière peut être délaissée (pour le moment)

Passons maintenant à l’analyse des menaces au sein de l’analyse externe de la matrice SWOT…


Les menaces liées au diagnostic externe


Définition d’une menace


En analyse stratégique, au niveau du diagnostic interne et externe, une menace est un problème posé par une tendance défavorable / une perturbation de l’environnement. Qui, en l’absence d’une réponse marketing appropriée, conduirait à une détérioration de la position concurrentielle de l’entreprise.

Une menace est d’autant plus grave qu’elle affectera en profondeur la rentabilité de l’entreprise et qu’elle a de grandes chances de se réaliser.

Un exemple classique de menace est l’augmentation de la concurrence qui oblige à sortir du lot et à se démarquer sur un marché mature et saturé.


Exemple de Matrice des Menaces


De la même manière que pour les opportunités, il est judicieux d’analyser en détail les menaces de l’environnement externe en croisant deux facteurs :

  1. La probabilité de réalisation de la menace en question
  2. Le niveau d’impact pour l’entreprise si la menace venait à se réaliser

Reprenons l’exemple de Bonprix.fr afin d’illustrer cette matrice décisionnelle :

Analyse Externe des Menaces SWOT

Selon ces 2 critères, voici succintement 4 typologies de menaces auxquelles Bonprix.fr pourrait être confronté :

  1. La direction générale devra faire particulièrement attention à la menace n°1, compte tenu de la probabilité de réalisation et du niveau d’impact sur l’entreprise. Il faut se demander comment anticiper et prendre une longueur d’avance.
  2. La menace n°2 pourrait affecter sensiblement l’entreprise, mais n’a guère de chances de se concrétiser à court terme.
  3. La n°3 a de fortes chances de se produire, mais cela aurait un faible impact sur l’activité.
  4. Enfin la menace n°4, quant à elle, semble relativement secondaire à date…

Voilà, vous êtes à présent armé pour réaliser le diagnostic externe d’une entreprise au niveau macroéconomique (avec le modèle Pestel) et microéconomique (avec l’analyse des 5+1 Forces de Porter). C’est l’une des pierres angulaires de l’Analyse Swot et de la prise de décision stratégique marketing et commerciale en entreprise.

Prenez le temps de bien utiliser ces différents outils stratégiques. Et votre performance commerciale et économique s’en ressentira !

Envie d’aller + loin ? Voici des articles complémentaires :

Télétravail commercial

Au delà du contexte sanitaire, le télétravail séduit de plus en plus de salariés et d’entrepreneurs. Le secteur commercial ne fait pas exception à cette tendance de fond. Vous êtes manager / dirigeant, et souhaitez proposer le télétravail à vos équipes commerciales ?

Ou bien vous êtes commercial, et vous souhaitez vendre l’idée du travail à distance à votre employeur ? Dans cet article, Cadre Emploi décrypte pour vous les clés du télétravail dans la fonction commerciale…


Qu’est ce que le Télétravail ? Définition


Savez-vous ce qu’est le télétravail ? Il s’agit d’une forme d’organisation du travail dans laquelle le travail est effectué par un salarié hors des locaux de l’entreprise, de manière volontaire et régulière et en utilisant les technologies de l’information et de la communication dans le cadre d’un contrat de travail.

Le télétravail d’entreprise peut prendre différentes formes : à domicile, en nomade ou encore en télécentres. Qu’en est-il dans le secteur commercial ?


Quand emploi commercial rime avec télétravail


Le télétravail s’immisce de plus en plus dans le secteur commercial. Quelle forme prend-il et qu’apporte-t-il ? Direct Emploi se propose de nous éclairer sur le sujet.


Qu’est-ce qu’un télécommercial ?


De nombreuses qualités personnelles sont requises pour être un bon télécommercial :

  • une aisance relationnelle
  • un très fort sens commercial
  • des connaissances techniques sur le plan informatique et dans le domaine de la vente
  • ainsi qu’une parfaite élocution

Le rôle du télécommercial est de contacter les professionnels afin de leur présenter les produits et les services de ses clients. Ce métier s’exerce dans des secteurs d’activité très variés comme la santé, l’informatique ou le bâtiment par exemple.

Ses outils de travail ? Les mails, les SMS ou encore les réseaux sociaux et le social selling

Pour avoir le meilleur profil de télécommercial, il vous faudra être cultivé, venir d’univers variés du monde de l’entreprise, avoir déjà exercé le métier et connaître la gestion de la relation client au sein d’un service commercial ou d’un plateau téléphonique.

Enfin, il pourra être judicieux de suivre une formation en télévente afin de corriger certains tics de langage et recentrer votre discours vers plus de directivité ou plus d’écoute.


Les commerciaux sont en général des télétravailleurs nomades


Comment cela se caractérise-t-il ?

  • Pas de lieu de travail fixe : ils travaillent depuis leur domicile, chez leurs clients ou encore dans les transports
  • Ils exercent une partie seulement de leur activité en dehors de l’entreprise
  • Conservation d’un poste de travail au sein de leur entreprise
  • Utilisation des technologies de l’information pour travailler lors de leurs déplacements

Le télétravail dans le secteur commercial : oui, mais pourquoi ?


Le travail à domicile et à distance semble améliorer la productivité des équipes commerciales en favorisant notamment l’autonomie et l’initiative. Comment le télétravail peut-il être un levier de performance dans le secteur commercial ?


1. Le travail à distance : un facteur d’efficacité


Pour un collaborateur, le travail à distance est source d’autonomie et une preuve de confiance. En effet, par la mise en pratique du travail à distance, le manager reconnait le travail et la valeur de ses employés et leur fait confiance.

Ainsi, le salarié se sentira valorisé et donc plus performant.

Pour lui, le télétravail à domicile et à distance sera synonyme d’une réelle opportunité professionnelle : montrer ses compétences et prouver qu’il est autonome et performant. De plus, se sachant important aux yeux du manager, le commercial sera d’autant plus consciencieux afin de mériter son avantage et éviter toute critique de la part de ses collègues et de ses supérieurs.

Le travail à distance apporte du temps aux télécommerciaux. Du temps pour se recentrer sur leurs dossiers, du temps pour prendre du recul sur leur méthode de travail. Et tout ça chez eux, dans une ambiance calme et détendue.

De retour dans l’entreprise, ils partageront leurs réflexions et auront ainsi l’occasion de progresser. Dans cette optique, le télétravail commercial sera vu comme un tremplin dont le but est de repenser l’organisation de l’équipe et la perfectionner.


2.La mise en œuvre du télétravail pour un commercial


Pour que le télétravail porte ses fruits au sein de l’équipe commerciale, il doit être installé convenablement :

  • Le télétravail doit venir d’une réflexion commune et d’une volonté réelle des salariés d’une entreprise. En tant que manager, il vous faudra vérifier leurs motivations et les impliquer dans une réflexion concertée.
  • Vous devez également répartir les jours de travail à domicile et conservez des temps de réunion avec l’équipe des commerciaux afin d’échanger et de rester liés.
  • Afin de fluidifier les échanges, ayez recours à des applications intuitives et fonctionnelles comme Dropbox, Zoom ou Skype, qui permettront à vos commerciaux de rester en contact et d’échanger sur les dossiers en temps réel.
  • La pratique du télétravail doit régulièrement être évaluée ! En tant que manager, vous devez faire un point régulier avec vos employés afin d’évaluer la progression de leurs performances et encourager leur proactivité. Le risque d’un non-encadrement du télétravail ? Le commercial peut perdre le contact avec son équipe et son manager et peut donc s’isoler.

Le télétravail dans le secteur commercial est source de productivité, d’efficacité et de performance. Mais qu’il s’agisse de télétravail à domicile et/ou à distance, ça s’entretient !

Si vous êtes manager et que vous souhaitez instaurer cette pratique au sein vos équipes commerciales, petit conseil : discutez-en d’abord avec vos collaborateurs pour être sûr que tous le monde adhère au projet.

Enfin, si vous êtes commercial et que vous souhaitez vendre le projet à votre employeur, il vous faudra démontrer que c’est réalisable d’une part. Mais surtout, et c’est le plus important : mettre en avant le retour sur investissement du télétravail (gain de temps, amélioration de la productivité, réduction des coûts…).

Quelques articles complémentaires pour aller plus loin :